Thiès : Des bandes d'agresseurs sèment la terreur dans les rues, à la fin des combats de lutte
Vols de téléphones portables, agressions, manque de sécurité. Tel a été le décor dans les rues de Thiès, en particulier sur la route de Khombole, à la fin du grand combat de lutte organisé ce dimanche 7 décembre 2025, au champ de courses Ndiaw Macodou Diop, en face du camp Gmi Tropical.
Une foule de supporters a envahi les rues et semé la violence. Durant une trentaine de minutes, l'horreur et la peur ont secoué les riverains sur l'axe rond-point champ de courses - station Total qui relie les quartiers Hersent, Diamaguene et Mbambara Alé Lo.
Les agresseurs, constitués de pickpockets, d'individus armés de machette, dérobaient tout sur leur passage : téléphones, portefeuilles, bijoux. Même les conducteurs de motos-Jakarta étaient obligés de libérer leurs passagers pour échapper aux agresseurs.
Il a valu la prompte intervention des éléments du commissariat central, du commissariat du 1er arrondissement et du poste des Parcelles-Assainies pour y mettre un terme.
Les riverains ont dénoncé les manquements du côté des organisateurs dans le respect des horaires et les itinéraires des lutteurs, ce qui a exacerbé la violence.
Commentaires (9)
Sécurité zéro dans ce pays
L'urgence c'est la candidature de sonko en 2029,mougn lene focus rekk
Fofou la deuk mes li metina canp gmi policier yi louniouy def thi canp yi
On doit interdire la lutte, point.
La violence s invite dans les coins les plus paisibles d antan. Bel article grand Cheikh.le meilleur journaliste de Thies
La lutte avec frappe. Un sport créé par le colon pour abrutir la population urbaine. Il faut revenir à la lutte sans frappe et supprimer cette violence qui ne fait que stimuler la folie des agresseurs
Ana wa gmi wa. canp tropical
Es canp tropical danio wara guenne thi caserne yi ma babacar fofou
Ce pays va à la dérive. Toujours les mêmes scènes après les combats de lutte. Et ça fait plus de vingt ans que ça dure. Et bientôt, je ne serai pas surpris qu'on observe les mêmes scènes de violence après les matchs de football. Est-on condamné à vivre cette situation toute notre vie ?
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