Guy Marius Sagna alerte : corruption au service des Mines et Transports, permis à prix d’or
Le député Guy Marius Sagna a interpellé le gouvernement sénégalais sur les dysfonctionnements persistants et les pratiques de corruption au sein des services des Mines et de la Direction des Transports Terrestres. Selon lui, ces problèmes impacteraient directement la sécurité routière et la qualité de la formation des conducteurs.
Dans une question écrite adressée au ministre en charge, M. Sagna souligne que l’un des principaux facteurs d’accidents de la circulation reste le manque de formation sérieuse et structurée des conducteurs. Il pointe du doigt l’absence d’examen de certification pour les moniteurs de conduite depuis huit ans, ainsi que la détention de nombreuses auto-écoles par des agents de l’administration ou des prête-noms, une situation qui créerait un conflit d’intérêts et nuirait à l’accès équitable au permis de conduire.
Le député s’interroge également sur l’organisation des examens du code de la route : irrégularités, absence d’examen dans certaines régions, corrections arbitraires sont évoquées comme des pratiques pouvant compromettre l’équité et la transparence du système.
La question de la corruption financière
Selon M. Sagna, des montants de 20 000 FCFA pour les auto-écoles et 30 000 FCFA pour les candidats libres seraient exigés illégalement pour réussir les examens du code et de conduite. Cette situation rendrait l’obtention du permis quasi impossible sans versement de pots-de-vin, compromettant ainsi tout effort de formation sérieuse.
Le député appelle le ministre à prendre des mesures concrètes pour assainir les services des Mines, garantir la transparence et la régularité des examens, et protéger les candidats libres contre les pressions et intimidations. Il propose notamment l’utilisation obligatoire de la plateforme Capkarangue, permettant aux citoyens de suivre leurs dossiers et de renforcer l’accès à l’information.
Enfin, Guy Marius Sagna insiste sur la nécessité de faire prévaloir l’excellence à chaque étape du processus d’obtention du permis de conduire sénégalais, afin de sécuriser la circulation et d’améliorer la formation des conducteurs.
Commentaires (40)
EN TOUT CAS MACKY CES TEMPS CI IL EST DANS LE DJEUFEUROU TOTALE, PANIQUE TOTALE. PLUS LE NOUVEAU REGIME TARDE SUR SON CAS ET PLUS MACKY PERD LES PEDALES DANS SA STUPIDE STRATEGIE DE " LA MEILLEURE DEFENCE C'EST L'ATTAQUE " .
SI LA JUSTICE REHABILITWE CONTINUE A TRAINER SUR SON DOSSIER - AH LE BONHOMME QUI BOUZILLE DES MILLIONS DE DOLLARS A GAUCHE ET A DROITE POUR SE PRENDRE EN PHOTO AVEC DES NOTORIETE PUBLIQUES RESPECTABLES AVANT DE LES AFFICHER SUR RESEAUX SOCIAUX, PAYANT ALLEGREMENT POUR DES SPOTS AVEC DES BLIGGEURS, MAINTENANT RECRUTANT DES AVOCATS DE NOTORIETE MONDIALE AUX HONORAIRES EN MILLIONS DE DOLLARDS POUR ACCELERER SA JUDICIARISATION - ALORS QU'IL N'EST ENCORE ACCUSE DE RIEN ......HEUN!!!!! SI LA JUSTICE N'EVACUE PAS VITE SON CAS MACKY RISQUE DE COURIR NU UN MATIN DANS LES RUES DE MARAKESH JUSQU'A LA PLACE " Jemma El Fetna " la grande place folklore pour touriste avec les charmers de serpent et magiciens cracheurs de feu ect...
GAWLEEN TCHI MOM - TCHEDDO O TEMPI DEHH - BEGNIGANNAH - SAMAYRAAM MOOLO BAROOKO - HOLTO TCHEDDO TCHEDDO NGUIDJILONAAADJO O WONNI - MACKY SALL TCHEDDO KOLIAADIO TCHAKKITO DJAAMDDEH GNAMAANII - MARAKESH NANAANI - OUJDDAJ NANAANI - TETOUAN NANAANI - OUARZIZAAKH NANAANI - MBEGNOUGANNA SALL.
Hypocrites comme dab
Ce pays est gangrené et corrompu jusqu a l os.
On croyais que les nouvelles autorités allaient sanctionner sévèrement les auteurs de ces magouilles mais 18 mois après rien n'a changé.
J'espère que le nouveau ministre de l'intérieur va lutter farouchement contre la corruption sur les routes.
Le problème est bien posé.
Des candidats honnêtes sont recalés tandis que d'autres moins scrupuleux obtiennent leurs permis.
Il a toujours évité de parler de la mafia au service des impôts et domaines, des 3 caisses noires du Président de la République. du premier ministre et du president de l'assemblée nationale.....des procès-verbaux des enquêtes sur les événements entre 2021 et 2024
Champ de 2 hectares a Diogo après mboro en 1er position de la route nationale zone agricole très fertile, prix : prix 2 800 000 FCFA par hectares
Infos et vidéo : 7 7 3 7 7 8 1 4 5
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Malgré tous les changements de régime, le système est le même. Au minimum il faut donner 5000 à votre interlocuteur pour qu'il s'occupe de vous.
Son adresse e-mail : drnelsonsalim10@ gmail. com
Ou son WhatsApp au +15513493414
Je le recommande à toute personne souffrant de diabète, de cancers, de détoxification complète du corps, de VPH, d'EBV, de fibromes, de gale, d'arthrite, de coagulation sanguine, de prostate, d'herpès et de poussées, de dysfonction érectile, de cholestérol, de BPCO, de maladie de Lyme, d'asthme, de psoriasis ou d'infection à levures.
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
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ya pire au ministere des transports avec le ministre qui s est emparé de tout le carburant de tous le miinstere
les agents souffrent, pas meme de carburant de bus, pas d e salaire
on dénonçait maquis sale mais on est enrain de voir pire
Au service des Mines, il est désormais de notoriété publique que le directeur reçoit entre 6h et 8h du matin, dans des conditions suspectes, avant même l’ouverture officielle du service. Durant ces heures « privées », aucune demande ne peut aboutir sans enveloppe glissée sous la table, même pour les démarches les plus simples.
Comment peut-on encore parler de service public quand les citoyens doivent payer deux fois — une fois à la caisse de l’État, et une autre dans les poches d’individus corrompus ?
Cette situation déshonore l’administration et décourage les citoyens honnêtes. Il est temps que les autorités compétentes ouvrent une enquête sérieuse et que les responsables soient sanctionnés à la hauteur du préjudice causé.
Le Sénégal mérite une administration intègre, moderne et transparente — pas un système où la corruption est devenue la règle et l’honnêteté, l’exception.
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