Budget 2026-2028 : Le gouvernement mise sur la rigueur et les priorités stratégique
Le gouvernement sénégalais a présenté des projections budgétaires révisées pour 2026-2028, avec des ressources prévues à 16 638,7 milliards FCFA contre 19 364,4 milliards FCFA de charges, soit un ajustement nécessaire de près de 1 000 milliards FCFA sur les dépenses et 364 milliards FCFA sur les recettes. Cette révision traduit une volonté de maintenir l’équilibre budgétaire sans alourdir la pression fiscale ni accroître la dette publique.
Dans le détail, les arbitrages montrent une rationalisation des dépenses de fonctionnement de l’État. Les coûts administratifs, notamment les subventions et certains frais de fonctionnement des ministères, sont réduits, tout comme certaines dépenses non essentielles dans les secteurs moins stratégiques. À l’inverse, les projets prioritaires pour la Vision 2050, comme l’industrialisation, les infrastructures énergétiques et la digitalisation, conservent leurs enveloppes budgétaires, reflétant une hiérarchisation claire des investissements publics.
Le gouvernement mise également sur une optimisation des mécanismes de transfert et des programmes sociaux, en ciblant davantage les bénéficiaires et en évitant les gaspillages, pour préserver l’impact social des dépenses malgré la contraction globale. Cette approche permet de continuer à soutenir la croissance et l’inclusion sans fragiliser les comptes publics.
Cette révision budgétaire montre que Dakar adopte une stratégie prudente et réaliste, où chaque franc est scruté et alloué selon sa contribution à la compétitivité nationale et à la résilience économique. Plutôt qu’une simple correction comptable, il s’agit d’un exercice de gouvernance fine qui prépare le pays à affronter un contexte économique incertain tout en consolidant ses priorités stratégiques.
Commentaires (13)
Et la santé ? Il n’en parle presque jamais. Des milliers de sénégalais meurent faute d’accès aux soins de qualité ! C’est clair que ça ne les intéresse pas… Guy Marius SAGNA avec sa grande geulle tatoué de France dégage a amener sa femme accoucher récemment à Paris …
Champ de 2 hectares plus a Diogo après mboro en 2em position du piste laterique
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La question n'est pas d'avoir un gros budget ou un plan d'exécution intelligent dans la situation actuelle du Sénégal !! Non, du tout !! Mais de la maîtrise parfaite de son exécution. Et ces gens que l'histoire a si malheureusement accidentellement mis au pouvoir en sont absolument, absolument, incapables.
Pourvu seulement que cet accident dramatique ne perdure après eux.
« 15h00 : La journée se conclura avec le projet de loi n°14/2025 portant sur l’accès à l’information, un pilier fondamental pour la démocratie et la participation citoyenne.». On va présenter un projet de loi pour l’accès à l’information, pendant qu’on met de journalistes en prison, pendant qu’on arrête l’aide à presse et pendant qu’on empêche les membres de son gouvernement à aller aux médias privés pour informer le peuple ?? Pas cohérent ni logique! Mais cela ne m’étonne pas puisqu’on est en Afrique !!!
Vous parlez de rigueur ? commencez par reduire le train de vie que vous menez depuis votre accession au pouvoir. Vous prenez chacun 10 kg en moins d un an et c est a nous senegalais qui vous ont elus de serrer la ceinture ? On s y laissera pas prendre 2 fois .
Depuis sa arrivée au poste du ministère des Finances et du budget, Cheikh DIBA a justement œuvré pour une rupture avec les pratiques du passé. Ses rapports budgétaires trimestriels disponibles au grand public témoignent d’une volonté de transparence inédite aux yeux de tous les sénégalais car pour lui la transparence budgétaire se mesure à l’aune de clarté des indicateurs financiers, à la maîtrise de la dette, à la gestion budgétaire rigoureuse, à la cohérence des prévisions, à l’accessibilité de l’information, à l’équilibre prudent et une place particulière à l’investissement particulièrement dans la transformation numérique, la digitalisation….
Brillantissme technocrate pointilleux, méticuleux, reconnu, rigoureux et très respecté dans les cercles des institutions financières et attaché à l’intérêt de la stabilité économique et financière du pays afin de consolider la trajectoire vers un développement inclusif et souverain.
Son ambition est de construire une trajectoire de redressement des finances publiques, durable et souveraine au service du peuple sénégalais et de la stabilité macroéconomique du pays à travers une gestion budgétaire rigoureuse qui accorde une importance particulière à la programmation et la responsabilité dans la programmation du budget. Désormais c’est le retour à l'orthodoxie des finances publiques.
De la part d’un prof de français et Master 1 en finance et gestion publique
BRO RIEN A CHANGER ICI , TON CHEICK DIBA TRAVAILLEZ POUR MACKY IL Y A QUELQUES MOIS
il ne joue qu'un role que beaucoup d'autres savent jouer basta
demandez des rigueur à des fonctionnaires dioutimanes
Cette bande ne connait rien du tout 😂😂
Chers journalistes,
Bonjour
Depuis deux mois, l'OAPI empêche les inventeurs de consulter sur son site les mémoires descriptifs de leurs inventions.
Or si l'on ne consulte pas les mémoires descriptifs, on ne peut pas connaître la portée des revendications des inventions, par conséquent on ne pas faire opposition aux autres brevets et on ne pas apporter des innovations aux inventions existantes.
Autrefois, il y a juste trois mois si l' on tape le nom d'un inventeur sur Google, on a accès aux informations sur ses inventions.
Aujourd'hui si vous faites la même recherche, Google vous donne le numéro de brevet d'invention de l'inventeur et son nom , son adresse.. et il vous renvoie sur le site de l'OAPI qui vous dit que ce brevet n'existe pas. Hélas ! Ça dure depuis deux mois.
Le conseil d'administration de l'OAPI garde le silence, le Directeur Denis B. garde lui aussi le silence etc.
Pendant ce temps, les investisseurs qui recherchent des informations sur les inventions en Afrique n'y trouvent pas sur le site de l'OAPI, les inventeurs ne peuvent pas rédiger leur demande de brevet faute d'accès aux mémoires descriptifs etc...
A qui profite cela ?
Le DG de l'OAPI peut- elle délibérément empêcher les inventeurs de sa juridiction de déposer leur demande dans le délai de priorité pour favoriser les inventeurs des autres juridictions ? Ou bien voudrait-il permettre aux inventeurs des autres juridictions de déposer dans sa juridiction. des demandes sur des inventions existantes , lui qui est à la fin de son mandat ?
Les ministres de l'industrie des pays membres de l'OAPI ne sont-ils pas informé de la situation ? Sinon , pourquoi gardent- ils eux-aussi le silence ?
Voilà autant de questions auxquelles les inventeurs africains de la zone OAPI attendent des réponses.
C'est de la poudre aux yeux. Tant que le premier ministre gardera sa caisse noire haraam de 8 milliards et que les salaires des DG resteront supérieurs à celui du président, vous ne réussirez rien. Vous utilisez l'argent du contribuable sénegalais à épouser des femmes et à mener la belle vie et vous voulez que les gens se sacrifient pour vous. Incompétents, inexpérimentés et arrogants. Mêmes pas capables de soulager les sinistrés des inondations.
Vous ne faites que bavarder et mentir sur les chiffres.
Pourquoi le premier ministre ne publie -t-il pas sa déclaration de patrimoine s'il est de bonne foi ?
@Jeudi, basta, avertisseur et M13@
Arrêtez de faire des affirmations gratuites et hasardeuses sur le Ministre Cheikh Diba. C’est un technocrate très sérieux et très respecté dans les institutions financières. Il est toujours au dessus de la mêlée. Je considère que vos arguments spécieux contre M. Cheikh DIBA, actuel ministre des Finances, s’inscrivent dans une volonté manifeste de nuire à sa réputation (ce qui est impossible au regard de son parcours) sans fondement sérieux. Pour votre gouverne, puisque vous vous comportez en ignorants, il me semble très important de remettre les faits en perspective, loin des jugements à l’emporte-pièce.
En tant qu’ancien directeur de la programmation budgétaire, il n’avait ni l’autorité politique ni la latitude décisionnelle pour empêcher l’ancien régime de faire le dépeçage des finances publiques. Je rappelle également que son rôle était technique cadré par des règles précises de gestion publique sous le contrôle hiérarchique et politique de l’exécutif. Assimiler sa fonction dans le passé à une quelconque responsabilité directe dans des pratiques est non injuste et contreproductif mais aussi relève d’une malhonnêteté intellectuelle criante.
De la part d’un Prof de français très attaché aux finances publiques
Master 1 en finance et gestion publique…..
Encore une fois, bravo à la dame Aïcha Fall pour la qualité et la concision de l'article.
Il ne peut pas y avoir de rigueur si vous cachez les dépenses de la Présidence, de la Primature et de l'Assemblée Nationale dans votre rapport budgétaire. Que cachez-vous ?
Vous savez bavarder mais dans les actes, vous faites le contraire de ce que vous dites.
C'est là où ce régime est dangereux. Les sénégalais veulent savoir où est ce que vous avez dépensé leur argent. Vous accusez vos prédécesseurs de cacher des chiffres et vous faites la même chose. Vous êtes vraiment bizarre. Vous allez rendre compte en 2029.
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