Le tout nouveau ministre de la Pêche, Alioune Ndoye, n’est pas encore installé dans ses nouvelles fonctions, mais Greenpeace veut lui indiquer déjà la voie à suivre.
A travers un communiqué, l’Ong a listé les maux dont souffre le secteur. ‘’Les plus récurrents sont les choix inappropriés des politiques menées et la non application des textes réglementaires et documents stratégiques, notamment la lettre de politique sectorielle des pêches’’.
Soulignant les conséquences de tels manquements, surtout la menace supplémentaire sur une ressource déjà surexploitée, Greenpeace demande au ministre d’avoir une approche sous-régionale dans la gestion des stocks et de renforcer les prérogatives de la Commission sous-régionale des pêches (Csrp).
En plus de la surexploitation, il y a aussi le drame humain observé en haute mer. ‘’Le secteur de la pêche est aussi confronté, durant cette dernière décennie, à des disparitions récurrentes de pêcheurs en mer et des tensions sociales entre les communautés. Les principales causes sont, entre autres, la raréfaction de la ressource et la pêche Illicite non déclarée et non réglementée (Inn)’’. Il s’y ajoute la non-implication des acteurs, ajoute l’Ong.
Afin de garantir la sécurité des pêcheurs, Greenpeace recommande, ‘’l’amélioration des embarcations traditionnelles et la mise à disposition d’un système de géolocalisation et d’alerte précoce en temps réel, pour éviter les nombreuses disparitions en mer’’. L’Ong veut aussi plus de transparence dans la pêche industrielle, notamment ‘’la publication de l'état d'avancement du processus de re-jaugeage des navires de pêche industrielle’’.
En outre, il n’y pas que les pêcheurs qui sont menacés. Les acteurs de la transformation aussi sont en danger. ‘’ En 2019, le rapport “Poisson détourné” (4) lance une alerte sur le fléau des unités de farine de poissons qui sont en train de faire disparaître le métier de transformatrices dont dépendent des milliers de femmes, avec des effets néfastes sur l’environnement, la sécurité alimentaire et la ressource’’, rappelle le communiqué. D’où l’appel de Greenpeace à l’arrêt des attributions d’autorisations aux unités de production de farine de poisson.
“Les principales causes sont, entre autres, la raréfaction de la ressource et la pêche Illicite non déclarée et non réglementée (Inn)’’.
C’est en fait pour cela qu’elle est illicite, sinon elle serait déclarée et réglementée.
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il y a 5 ans
Vivement qu'il nous debarasse des usines de farine de poisson qui détruit plus d'emplois
Répondre à
Djeunil y a 5 ans
Faut imposer un moratoire sur Les bateaux industriels europeens. Nous me pouvons pas aller chasser Dan's leurs mers, donc q'ils arretent de venir nous affamer. Quant á Greenpeace il roule pour Les europeens. Faut faire comme Poutine qui interdit ces Ong sur son territoire, ils sont une nouvelle forme de colonialisme
Répondre à Djeun
BATHEil y a 5 ans
GREEN PEACE fait bien de conseiller monsieur le ministre mais ses conseils profitent plus aux industirels qu'aux piroguiers.
Monsieur le MINISTRE, il faut révolutionner le secteur en organisant les pêcheurs en groupements et leur trouver des financements pour l'acquisition de chalutiers.
Limiter les licences de pêche accorder aux chalutiers étrangers qui sont rotégés par l'union européenne via des accords de partenariat qui ne nous profitent pas.
imposer à tous les chalutiers des quotas (en fonction de leur taille) pour l'approvisionnement du marché intérieur.
Être plus regardant vis à vis des inspecteurs en charge de la surveillance des pêches
surveiller nos cotes..........
Répondre à BATHE
il y a 5 ans
il ne fera rien ce ministre à part rakhass ndap Marème faye Sall comme le fait la ministre Assome Diatta.
reply_authoril y a 5 ans
Y'a meuneu doul. Ki bamouy djang di am fitt djar prytanee militaire wath para djang le maniement des armes sa baay mi ngui waun si tatou djigueen ngi
Commentaires (5)
“Les principales causes sont, entre autres, la raréfaction de la ressource et la pêche Illicite non déclarée et non réglementée (Inn)’’.
C’est en fait pour cela qu’elle est illicite, sinon elle serait déclarée et réglementée.
Vivement qu'il nous debarasse des usines de farine de poisson qui détruit plus d'emplois
Faut imposer un moratoire sur Les bateaux industriels europeens. Nous me pouvons pas aller chasser Dan's leurs mers, donc q'ils arretent de venir nous affamer. Quant á Greenpeace il roule pour Les europeens. Faut faire comme Poutine qui interdit ces Ong sur son territoire, ils sont une nouvelle forme de colonialisme
GREEN PEACE fait bien de conseiller monsieur le ministre mais ses conseils profitent plus aux industirels qu'aux piroguiers.
Monsieur le MINISTRE, il faut révolutionner le secteur en organisant les pêcheurs en groupements et leur trouver des financements pour l'acquisition de chalutiers.
Limiter les licences de pêche accorder aux chalutiers étrangers qui sont rotégés par l'union européenne via des accords de partenariat qui ne nous profitent pas.
imposer à tous les chalutiers des quotas (en fonction de leur taille) pour l'approvisionnement du marché intérieur.
Être plus regardant vis à vis des inspecteurs en charge de la surveillance des pêches
surveiller nos cotes..........
il ne fera rien ce ministre à part rakhass ndap Marème faye Sall comme le fait la ministre Assome Diatta.
Y'a meuneu doul. Ki bamouy djang di am fitt djar prytanee militaire wath para djang le maniement des armes sa baay mi ngui waun si tatou djigueen ngi
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