Visage dur, ton sentencieux et amer, hoquets virils et surenchère à l'autorité. C'est ainsi qu'est apparu le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, devant les membres de son parti dans une adresse pour le moins surréaliste. Sur le fond du propos, guère mieux. Pêle-mêle, cibles de son acrimonie : les magistrats insoumis, entraves désignées à l'assainissement affiché en ambition du pouvoir, jadis qualifiés de lâches, dont certains purgés pour ces griefs en début de mandature. Pas en reste : la société civile, clientéliste et sous le démon d'influences extérieures, menacée d'être mise à la diète financière – ses membres, eux, qualifiés de fumiers. Autre cible notable : les cadres de son propre parti Pastef, taclés car ingrats et en voie d'embourgeoisement. Et pour couronner la généreuse distribution : une interpellation directe et martiale, tenant du sermon voire de la menace, du président de la République Bassirou Diomaye Faye, sommé d'intervenir plus sévèrement contre pléthore de contempteurs, insulteurs, et reliques de l'ancien régime attelés à acculer le Premier ministre.
Seul en scène, Ousmane Sonko redéfinit un cap, appelle à un retour aux fondements de son « projet », et fustige l'allégeance encore molle à sa personne, le peu de soutien des siens, et le manque de célérité du président, le rendant ainsi « empêché de gouverner ». Tableau à peine exhaustif d'un gladiateur au pouvoir mais qui estime ne pas suffisamment en disposer.
Ziguinchor, le laboratoire gronde
Un propos qui étonne voire agace tant l'état du pays est préoccupant. La rue ne se prive pas de crier sa colère. Amorce d'une grogne réelle. Dans une ville comme Ziguinchor, son laboratoire politique en tant que maire, la défiance n'est plus silencieuse. Rencontrés au printemps dernier, nombreux sont les taximen, jeunes étudiants, ou citoyens qui enfourchent la même acrimonie pour appeler à moins de bavardage et à plus de travail. Dans cette région, base électorale forte, où il s'était réfugié lors de ses ennuis avec la justice et surtout avec Macky Sall, l'inversion perceptible du sentiment de soutien, qui semblait pourtant indéfectible, est éloquente pour mesurer les impasses du régime.
Même énergie atone et amère sur les marchés à Dakar, dans les assemblées publiques, formelles ou informelles, où un malaise prend forme. Se serait-on trompé sur Pastef ? Murmure tenace qui s'étend, même si encore embryonnaire. Le moins que l'on puisse dire est que les déceptions commencent à poindre. Clignotants économiques au rouge, cacophonie au sommet de l'État, élan conservateur envers les femmes et leur vêture, propos martiaux et inquisitoriaux, soupçon non étayé jeté sur nombre d'opérateurs : le grand espoir soulevé retombe.
Dans le même temps tous les démons de Pastef, que la dynamique révolutionnaire pouvait écraser ou taire, rejaillissent sur un parti dont la radicalité constitutive ne cessera de grandir tant que la météo économique restera ennuagée. Horizon sombre d'autant plus que rien n'indique une éclaircie à venir, pour preuve la deuxième baisse récente de la note économique du pays par les agences de notations. Dans à ce contexte morose, ce pouvoir qui s'acharne à rester centré sur un parti et sur une personne est d'autant plus incompréhensible.
Le crash-test du pouvoir
Pour tempérer cet étonnement, il faut ramener de la perspective, et comprendre que ramené à ses propres standards, dans la grammaire politique d'Ousmane Sonko, l'exercice de l'attaque frontale n'est pas nouveau. Il est coutumier de ces manœuvres, plébiscitées par ses partisans, et décriées par les autres. Devant ce parterre du conseil national de son parti, membres interdits et à l'applaudimètre saccadé par une tétanie perceptible, le Premier ministre a trahi un secret pourtant ébruité depuis des mois : celui des jours intranquilles au pouvoir. Il met en lumière la genèse d'un malaise, moins vis-à-vis du président lui-même, qu'émanant d'une impression diffuse : celle d'une impuissance devant les urgences nombreuses, impuissance due a minima à une impréparation, au pire à une incompétence, sur lit de conjoncture défavorable alourdie par le passif de l'ancien régime.
Si la séquence a été relayée à grand bruit médiatique, surcommentée, ouvrant sur la possibilité d'une querelle au sommet voire sur l'esquisse d'un schisme, il serait pourtant bien hâtif de lui prêter un caractère prédictif ou une vertu révélatrice. La suranalyser serait abonder, à partir d'une matière très partielle, sur la voie psychologisante. La séquence donne en revanche à analyser finement les jours fébriles d'un pouvoir aux manettes depuis 15 mois. Tandem exécutif triomphalement élu et qui pourtant n'aura pas le temps pour allié, et dont une partie de l'ADN populiste achoppe au révélateur du crash test du pouvoir. Et pour cause, la séquence 2021 – 2024 au Sénégal n'a pas encore été soldée, ni suffisamment documentée pour offrir les bases d'une réelle unité post-traumatique. Elle reste l'abcès qui peut gangrener tous les élans. Cette entaille reste vive, et ses angles morts – les soupçons, la part de désir de vengeance, le tout coiffé par une loi d'amnistie et toute la farce de son abrogation partielle retoquée par le conseil constitutionnel – ont fait naître un doute sur les intentions réelles du pouvoir désormais en place.
Identité trouble d'un jeune parti
Il serait bien sûr précoce de disqualifier Pastef, comme s'y emploie une opposition qui cherche toute ouverture pour les accabler, recourant au besoin à la malveillance, sinon à l'amnésie de ses propres forfaits. Il a été tout aussi précoce de verser dans un romantisme élogieux sur la « révolution », en passant outre une série de problèmes sérieux dans son rapport conflictuel aux institutions. Héritant d'un pays en difficulté, endetté, fragilisé par un climat politique polarisé, miné par la fin de règne despotique de Macky Sall, il était naturellement impossible au nouveau pouvoir d'obtenir des résultats instantanés, malgré les imprudences des déclarations passées du Premier ministre. Il était toutefois attendu de Pastef de la grandeur, d'assainir un lexique, de remiser les rancœurs, d'inclure, de taire une inclination radicale, d'embrasser une ingénierie politique et d'administrer par l'exemple et moins par le slogan. En somme de gouverner, au sens responsable du mot.
Sur une formidable plateforme de légitimité, porté par un élan salué dans le monde, avec l'appui de la jeunesse, jouissant d'un sursis d'état de grâce, avec une constante popularité, quelques choix incompréhensibles sont venus jeter le doute sur le jeune pouvoir, voire ouvrir pour la possibilité du reniement. Nominations partisanes dans la pure tradition politique sénégalaise, double standard quant à la reddition de compte des incriminés, promotion de profils à contre-emploi à des postes importants, reconduite d'agences budgétivores, climat inquisitorial, et implacable miroir des promesses reniées par ces VAR cruelles : l'anti-systémisme a donné lieu à une réplique du système, revêtant tout juste des couleurs différentes. Mais bien plus regrettable, une conception amère du pouvoir, tranchant avec l'allégresse de la victoire. Cet Etat-Pastef a eu ses thuriféraires, et le primat de la compétence sur l'appartenance, belle aspiration de rupture hélas vite sabordée, a été le premier fracas d'une dédite.
Cela repose la question de l'identité de ce jeune parti. Véritable Patchwork depuis sa formation et lors de son évolution, entre son noyau dur de fonctionnaires des impôts aux tentations néopuritaines, vieux marxistes qui ont trouvé un nouveau véhicule de leur aspiration, jeunesse déshéritée, jeunes diplômés diasporiques en quête de meilleur avenir, universitaires plus pointus, déçus de Macky Sall, et indécis qui ont basculé. Sacré attelage ! Conservateurs et progressistes, libéraux et marxistes, des contradictions qui impactent les lignes politiques et dévident des notions comme le souverainisme, mantra surutilisé mais fébrile à l'épreuve des faits. Pour preuve, cette scène irréelle du président Bassirou Diomaye Faye en position d'allégeance face à Donald Trump. Pourtant quelques jours avant, on pouvait noter la sortie gaillarde de Ousmane Sonko contre les mêmes USA, à la suite de leur refus de visa pour les basketteuses sénégalaises. Même essoufflement de cette ligne de « révolution pragmatique » dans les relations avec la France, avec la verdeur des discours et la réalité moins assumée des coulisses. Sur tous les fronts, diplomatie régionale comme internationale, aucun véritable acquis solide, plutôt des tâtonnements.
Quand la radicalité devient un piège
Il n'est bien sûr pas trop tard pour que Pastef rectifie le tir. Quinze mois ne suffisent pour un procès définitif, cela va sans dire. Il faut saluer toute volonté de redresser et de rectitude comme l'enseigne leur mantra Jub Jubbal Jubbanti. Cela se fera par une gouvernance apaisée, inspirée, pas uniquement tournée vers le passé. Il leur faudra beaucoup d'humilité, d'élégance morale, d'intelligence diplomatique, et de respect de la démocratie souvent décriée et qui pourtant les a portés au pouvoir. Mais cela se fera nécessairement par une réforme de Pastef, par l'apurement des passifs populistes qui ont ciblé nombre de partenaires potentiels, le FMI entre autres, et par la constante volonté de s'amender pour concilier l'élan de transformation et la traque des responsables de malversations financières.
La récente sortie d'Ousmane Sonko n'aide pas, et elle doit être lue à cette aune. Elle est grave par son ton guerrier et le message qu'il véhicule. Les recettes d'opposants ne font pas celles de gouvernance, et on est Premier ministre d'un pays, pas d'un parti – quoiqu'en disent nombre d'irréductibles sur un parti qui serait un ovni auquel on ne pourrait appliquer aucune analyse fonctionnelle. Cette galvanisation constante, sous prétexte de ne pas se couper des masses, est une recette éprouvée de démagogie. Cette surenchère de radicalité malvenue, et une conception du pouvoir liberticide, avec nombre de chroniqueurs arrêtés et emprisonnés pour des délits d'opinion, sont les germes d'autoritarisme précoces. Comme si en être victime n'avait pas été un enseignement. C'est probablement le raté le plus inquiétant : le plus grand mérite de Pastef est d'avoir intéressé les jeunes à la politique, à sa technicité, en cassant les dévolutions d'apparatchiks et en créant la possibilité d'ascensions de sans-grade et sans diplômes. Une inclusion en somme, de profils nouveaux qui se détournent des lieux habituels de la politique. Et ce sont eux qu'ils ciblent aujourd'hui, dans une facilité à incarcérer déconcertante, et un climat de tétanie à émettre des critiques jusqu'à une forme de morosité intellectuelle intérieure.
Ces différents défis sont cruciaux pour la scène politique sénégalaise. Pour Pastef d'abord, au pouvoir et seul comptable. Pour l'opposition ensuite, avec pour charge d'y contribuer, aux intellectuels de ne pas se taire, et à chacun faire amende honorable. Président par défaut, sous l'ombre écrasante du vrai artisan de la victoire, avec les péripéties du pouvoir, il est commun de voir émerger des conflits d'ego et dette de gratitude à la tête de l'État. Au tandem d'éviter le venin et de ne pas abîmer la chance qui leur est donnée, fragile mais encore bien réelle, d'écrire une belle page de l'Histoire du pays.
À deux et complices, c'était déjà difficile. Avec une rupture franche, ce serait l'amorce de brutales désillusions.
Journaliste, écrivain et docteur en sociologie sénégalais né en 1988, Elgas est l'auteur de plusieurs ouvrages, dont Un Dieu et des mœurs (carnet de voyage, 2015), Mâle Noir (roman, 2021), Fadilou Diop, un Juste (biographie, 2021), Inventaire des idoles (chroniques, 2022) et Les Bons Ressentiments (essai, 2023), texte cinglant sur le malaise post-colonial. Il anime également l'émission Afrique, mémoires d'un continent sur RFI.
En clair, on ne s'en sortira pas tant qu'Ousmane Sonko sera Pm.
Par ailleurs, ce duel est annoncé depuis leur élection. Dans les premiers temps, le tandem était célébré à coup de Diomaye moye Sonko prévenant un conflit de loyauté du président. Maintenant que la lune de miel est passée, la réalité politique s'impose. O.S. se rendant compte que son ambition de devenir président est menacée devient nerveux. Et cette nervosité ira s'accentuant à mesure que les prochaines élections approchent.
Enfin, le régime actuel a hérité de belles réalisations et d'un cadre pour l'émergence; l'erreur commise a été de tout vouloir jeté à la poubelle pour recommencer avec un projet inexistant.
Un gouvernement s'inscrit toujours dans la continuité !
reply_authoril y a 1 mois
Deug kani leu, kou gnou ko touff nga tokhognou. Ousmane SONKO n'a dit que la vérité, tous ceux qui s'agitent pour le contredire par la fumisterie et le mensonge y laisserons leurs plumes. Défendre des magistrats véreux, de hauts fonctionnaires comploteurs et voleurs de deniers publics ainsi que des insulteurs, c'est confirmer son appartenance au camp des traitres et collabos du système...
Répondre à Nit
dieureudieufil y a 1 mois
tres beau texte merci d'avoir amelioré mon vocabulaire mais malheureusement ceux à qui vous vous adressez ne comprendront rien degouniou toubab
Répondre à dieureudieuf
il y a 1 mois
c un fan de la Fr et oui un défenseur de la Fr Afriq. On n'a pas oublié les sorties pour défendre la Fr et ses intérêts avec bec et ongles
des passages avec beaucoup de lourdeurs qu'on peut sauter allègrement et filer à la conclusion sans rien perdre du sens du texte
les dernières phrases sont parmi les plus appréciables
Répondre à
senegalais lambdail y a 1 mois
INTRANQUILLES? Heureusement pour nous LE PRECEDENT PRESIDENT on le voyait toujours avec une SILHOUETTE DE MALABAR sans soucis aucun de la situation du pays. NOUS FAISONS CONFIANCE ABSOLUE EN PASTEF pour remettre le pays à l'endroit.
Répondre à senegalais lambda
Indyil y a 1 mois
Nous avons choisi la démocratie alors nous devons accepter tout ce qui va avec. Et dans une démocratie chers pastefiens stout le monde a droit à la parole. “Tu n’es pas d’accord avec moi mais je me battrai toujours pour que tu gardes cette liberté de ne pas être d’accord”.
Répondre à Indy
Dahueil y a 1 mois
Ton message est très confus. Je n'ai rien compris.
Ah ....
Un journaliste de surcroît.
Répondre à Dahue
LOLil y a 1 mois
Encore un kuluna de la plume. Le chien aboie, la caravane passe
Répondre à LOL
il y a 1 mois
wa APR aller repondre au FMI mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
Répondre à
BEBERTil y a 1 mois
un profiteur de gamine miséreuse qu'il traite ensuite de guenon cest la seule merde que vous méritez !!
Répondre à BEBERT
il y a 1 mois
un texte de haute facture qui dépasse le niveau de comprehension de certains
Répondre à
il y a 1 mois
GARS YI NOPEULEKOULENE SONKO AK DIOMAYE c'est une longue très longue histoire
Répondre à
Djibson il y a 1 mois
Le copain de Mbougar Sarr . Qu'est ce qu'il pense de ton analyse. Moom ak son autre copain Felwine Sarr étaient plus bavards il n'y guère longtemps. Ils ne sont obligés de rien nak. Mais leur silence soudain interpelle.
Répondre à Djibson
Maodoil y a 1 mois
Chapeau pour la qualité du texte la justesse de l'analyse. J'ai rarement eu plaisir à lire un aussi beau texte.
Répondre à Maodo
il y a 1 mois
Vous êtes seuls à trouver que les Sénégalais sont déçus. Un sociologue travaille sur la longue durée, tu sors de chez toi tu rencontres deux personnes et tu généralisés. N'as-tu pas constaté que l'opposition ne parle plus du coût de la vie ? Porte-voix de la Françafrique tu perds ton temps
Répondre à
il y a 1 mois
Analyse juste dt surtout une plume exquise. Mais remarquez la différence entre la qualité du Texte et le niveau des commentaires. A vous de juger.
Balakossil y a 1 mois
Elgass est une fierté (inter )nationale!
Un talent pur
Tout Saint-Louis du Sénégal 🇸🇳 te remercie et t'encourage!
Zig t'aime, et tu le sais...
Tilène, Nèma...et tous ces quartiers au nom savoureux et qui vous laisse pantois...
Tu vois, du nord au sud...de l'est à l'ouest, tout le monde te salue, te suit et te dit:
"Bravo jeune homme!"
Respect et longue vie à la grande sœur!
Un p'
Répondre à
SSFSFFFFil y a 1 mois
Rétablir la vérité : réponse aux contrevérités de M. Aly Bathily
Coordonnateur de la République des Valeurs/Réewum Ngor – France
M. Aly Bathily vos sorties alarmistes et les contrevérités, cherchant à jeter le discrédit sur l’action du gouvernement. Ses propos, empreints de subjectivité, relèvent moins d’une analyse rigoureuse que d’une posture politicienne. Il est temps de rétablir les faits.
1. Une gouvernance responsable : rationalisation et transparence
Contrairement à ce que prétend M. Bathily, le gouvernement actuel ne s’adonne pas à des querelles stériles. Il agit. Et il agit avec responsabilité. Dès les premiers mois, des mesures fortes ont été prises pour réduire le train de vie de l’État :
Suppression ou fusion de structures administratives redondantes ;
Réduction drastique des budgets de fonctionnement non prioritaires ;
Réforme de la gestion du parc automobile de l’État ;
Audit et plafonnement des missions à l’étranger ;
Lancement d’un processus de digitalisation de la commande publique.
Ces décisions, loin d’être spectaculaires, sont structurelles et pérennes. Elles traduisent une volonté claire : mettre fin au gaspillage, restaurer l’intégrité de l’État, et libérer des ressources pour les secteurs vitaux.
2. Des finances publiques mieux orientées, pour les priorités nationales
La rationalisation n’est pas une fin en soi. Elle permet de réorienter les dépenses publiques vers l’essentiel :
Investissements accrus dans la santé communautaire, avec la réhabilitation de plusieurs postes de santé en zone rurale ;
Revalorisation progressive des bourses et des infrastructures universitaires ;
Soutien renforcé à la production agricole locale et aux PME innovantes.
Ainsi, loin du « chaos » décrit par M. Bathily, c’est une réorganisation courageuse et méthodique de l’appareil d’État qui est en cours.
3. Une justice désormais indépendante et active
L’un des engagements majeurs du Président de la République était clair : aucun dossier de justice ne sera enterré. Cette promesse se matérialise. Plusieurs affaires restées sous le coude durant la dernière décennie ont été réouvertes ou accélérées, dans le strict respect du droit. La justice, autrefois bridée, agit aujourd’hui sans pression. Il ne s’agit pas de vengeance politique, mais de rendre des comptes. Et les Sénégalais savent faire la différence.
4. La traque des criminels financiers est une réalité
Le Sénégal ne sera plus un havre pour les détourneurs de fonds publics. Depuis le changement de régime :
Des enquêtes ont été rouvertes sur de présumés détournements massifs dans des agences stratégiques ;
Des mandats de justice ont été relancés ou émis à l’encontre d’individus soupçonnés d’enrichissement illicite ;
La Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF) a été renforcée pour mieux détecter les flux financiers suspects ;
Le Patrimoine de l’État est en cours de recensement, afin de récupérer les biens mal acquis.
Ce sont là des actes concrets, pas des slogans.
5. Un discours de diversion, face à une réalité de changement
Les invectives de M. Bathily ne masqueront pas l’essentiel : le Sénégal change. Lentement, certes, mais sûrement et profondément. Ce changement dérange ceux qui, hier, profitaient du système. Ceux qui, aujourd’hui, veulent saboter l’élan populaire en criant au feu pendant que l’on reconstruit.
Mais les Sénégalais ne sont pas dupes.
Ils savent qui travaille, et qui joue la comédie.
Conclusion : gouverner, c’est rendre compte
Nous n’avons rien à cacher. Nos comptes sont clairs, nos objectifs sont publics, nos résultats sont tangibles. Le gouvernement est ouvert à la critique – dès lors qu’elle est fondée. Mais il restera ferme face aux manipulations et résolu dans sa mission de redressement.
L’heure n’est pas au cynisme, mais à l’action. L’heure n’est pas aux jeux de couloirs, mais à la reconstruction.
Amadou Makhtar Thiam
Makhtarthiam55@gmail.com
Sympathisant du PROS
Répondre à SSFSFFFF
SSFSFFFFil y a 1 mois
Rétablir la vérité : réponse aux contrevérités de M. Aly Bathily
Coordonnateur de la République des Valeurs/Réewum Ngor – France
M. Aly Bathily vos sorties alarmistes et les contrevérités, cherchant à jeter le discrédit sur l’action du gouvernement. Ses propos, empreints de subjectivité, relèvent moins d’une analyse rigoureuse que d’une posture politicienne. Il est temps de rétablir les faits.
1. Une gouvernance responsable : rationalisation et transparence
Contrairement à ce que prétend M. Bathily, le gouvernement actuel ne s’adonne pas à des querelles stériles. Il agit. Et il agit avec responsabilité. Dès les premiers mois, des mesures fortes ont été prises pour réduire le train de vie de l’État :
Suppression ou fusion de structures administratives redondantes ;
Réduction drastique des budgets de fonctionnement non prioritaires ;
Réforme de la gestion du parc automobile de l’État ;
Audit et plafonnement des missions à l’étranger ;
Lancement d’un processus de digitalisation de la commande publique.
Ces décisions, loin d’être spectaculaires, sont structurelles et pérennes. Elles traduisent une volonté claire : mettre fin au gaspillage, restaurer l’intégrité de l’État, et libérer des ressources pour les secteurs vitaux.
2. Des finances publiques mieux orientées, pour les priorités nationales
La rationalisation n’est pas une fin en soi. Elle permet de réorienter les dépenses publiques vers l’essentiel :
Investissements accrus dans la santé communautaire, avec la réhabilitation de plusieurs postes de santé en zone rurale ;
Revalorisation progressive des bourses et des infrastructures universitaires ;
Soutien renforcé à la production agricole locale et aux PME innovantes.
Ainsi, loin du « chaos » décrit par M. Bathily, c’est une réorganisation courageuse et méthodique de l’appareil d’État qui est en cours.
3. Une justice désormais indépendante et active
L’un des engagements majeurs du Président de la République était clair : aucun dossier de justice ne sera enterré. Cette promesse se matérialise. Plusieurs affaires restées sous le coude durant la dernière décennie ont été réouvertes ou accélérées, dans le strict respect du droit. La justice, autrefois bridée, agit aujourd’hui sans pression. Il ne s’agit pas de vengeance politique, mais de rendre des comptes. Et les Sénégalais savent faire la différence.
4. La traque des criminels financiers est une réalité
Le Sénégal ne sera plus un havre pour les détourneurs de fonds publics. Depuis le changement de régime :
Des enquêtes ont été rouvertes sur de présumés détournements massifs dans des agences stratégiques ;
Des mandats de justice ont été relancés ou émis à l’encontre d’individus soupçonnés d’enrichissement illicite ;
La Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF) a été renforcée pour mieux détecter les flux financiers suspects ;
Le Patrimoine de l’État est en cours de recensement, afin de récupérer les biens mal acquis.
Ce sont là des actes concrets, pas des slogans.
5. Un discours de diversion, face à une réalité de changement
Les invectives de M. Bathily ne masqueront pas l’essentiel : le Sénégal change. Lentement, certes, mais sûrement et profondément. Ce changement dérange ceux qui, hier, profitaient du système. Ceux qui, aujourd’hui, veulent saboter l’élan populaire en criant au feu pendant que l’on reconstruit.
Mais les Sénégalais ne sont pas dupes.
Ils savent qui travaille, et qui joue la comédie.
Conclusion : gouverner, c’est rendre compte
Nous n’avons rien à cacher. Nos comptes sont clairs, nos objectifs sont publics, nos résultats sont tangibles. Le gouvernement est ouvert à la critique – dès lors qu’elle est fondée. Mais il restera ferme face aux manipulations et résolu dans sa mission de redressement.
L’heure n’est pas au cynisme, mais à l’action. L’heure n’est pas aux jeux de couloirs, mais à la reconstruction.
Amadou Makhtar Thiam
Makhtarthiam55@gmail.com
Sympathisant du PROS
Répondre à SSFSFFFF
Merci Elgas!il y a 1 mois
Analyse touffue, juste et équilibrée. Par contre espérer du Pastef de l'humilité, de l'élégance morale, d'intelligence diplomatique, et de respect de la démocratie, c'est peut-être, c'est sand doute rêver les yeux grand ouverts...
reply_authoril y a 1 mois
Cet elgas est un fumier parmi tant d"autres prostitués intellectuels qui ont vendu leurs sciences aux souteneurs malheureus de la continuité du benno bok bakkar. Ses élucubrations de suppôt du systèmes ne servent qu'à remonter un peu le moral des kulunas guettés par une léthargie fatale face à la déferlante du jub jubbeul jubbeunety. Il est trop minuscule tel un ver de terre pour ébraler l'espoir et l'engagement des dignes Sénégalais...
Répondre à Merci Elgas!
V9om il y a 1 mois
Cet évolué destine ses réflexions sur le Sénégal à un journal français d'extrême droite et à un public français. Son disque mental n'a pas changé; il continue de nous mépriser nous peuple du Sénégal et est prêt à s'allier avec le diable impérialiste pour nous faire regretter notre libre choix. La révolution démocratique sénégalaise a des ennemis tenaces et ce gars en est un.
Répondre à V9om
il y a 1 mois
Beaucoup de routes à construire
Beaucoup d’écoles à construire
Beaucoup d’écoles d’ingénieurs à construire
Beaucoup d’hôpitaux à construire et à équiper
Une agriculture à développer
Des infrastructures en urbanisme à construire
Tout ceci ne semble pas préoccuper ces deux guignols qui se sont prématurément lancé dans une guerre de succession aux prochaines élections présidentielles. Des querelles et des invectives enfantins , galvanisés par des militants moutons qui ne semblent pas être doté d’un cerveau. Une grosse déception d’avoir élu ces attardés mentaux.
Répondre à
SeNeGal. il y a 1 mois
Et pas un mot sur le kidnapping du capitaine et d'autres djambars entre les mains de ces camarades de mfdc.
Répondre à SeNeGal.
il y a 1 mois
Tant que sonko est premier ministre le senegal reculera. il est trop nul
reply_authoril y a 1 mois
Il n'y a que les koulounas déclassés pour ne pas voir que le pays se porte infiniment mieux sous Sonko que sous ceux de tous les régimes précédents.
Répondre à
Antikulunasil y a 1 mois
Diomaye de grâce respecte les 54% de Sénégalais qui (grâce à O. Sonko) t'ont confié les destinées du pays. Ton histoire de réconciliation ne concerne que toi et les kulunas qui rigolent en douce. Le mandat du 26 mars est clair comme l'eau de roche : traque des kulunas, reddition des comptes (pas seulement financiers) et punitions fermés pour les dëumms bby qui ont pillé ce pays.
Pour finir, aïe du respect pour les martyrs et leurs familles.
reply_authoril y a 1 mois
Y'a pas de martyrs, y'a juste des gens qui sont morts bêtement pour sauver une seule personne qui avait un problème privée de par son insouciance. Diomaye ne dirige pas les 54 pourcent uniquement il dirige tous les 100 pourcent senegalais.
reply_authoril y a 1 mois
Toi qui parle tu es sûrement un diola
reply_authoril y a 1 mois
Tu racontes ta vie avec tes martyrs. Ils sont morts pour rien, manipulés par un violeur qui n'a pas osé s'assumer. La mort de ces pauvres est sur la conscience de Sonko. Nul ne sait qui les a tués, cette enquête prendra du temps et les résultats seront maigres. Pastef a pris le pouvoir démocratiquement pas par une révolution. Occupez vous du quotidien des populations, tout le reste est une volonté de détourner les gens des vraies questions en faisant de la politique matin, midi et soir. En vérité le PM est un incompétent notoire, il n'a aucune solution pour notre pays sinon chercher à le diviser et à être le premier rebelle président du Sénégal. Cela n'arrivera jamais, il fera face aux remparts qui protègent ce pays des aventuriers.
reply_authoril y a 1 mois
Tu racontes ta vie avec tes martyrs. Ils sont morts pour rien, manipulés par un violeur qui n'a pas osé s'assumer. La mort de ces pauvres est sur la conscience de Sonko. Nul ne sait qui les a tués, cette enquête prendra du temps et les résultats seront maigres. Pastef a pris le pouvoir démocratiquement pas par une révolution. Occupez vous du quotidien des populations, tout le reste est une volonté de détourner les gens des vraies questions en faisant de la politique matin, midi et soir. En vérité le PM est un incompétent notoire, il n'a aucune solution pour notre pays sinon chercher à le diviser et à être le premier rebelle président du Sénégal. Cela n'arrivera jamais, il fera face aux remparts qui protègent ce pays des aventuriers.
reply_authoril y a 1 mois
Tu racontes ta vie avec tes martyrs. Ils sont morts pour rien, manipulés par un violeur qui n'a pas osé s'assumer. La mort de ces pauvres est sur la conscience de Sonko. Nul ne sait qui les a tués, cette enquête prendra du temps et les résultats seront maigres. Pastef a pris le pouvoir démocratiquement pas par une révolution. Occupez vous du quotidien des populations, tout le reste est une volonté de détourner les gens des vraies questions en faisant de la politique matin, midi et soir. En vérité le PM est un incompétent notoire, il n'a aucune solution pour notre pays sinon chercher à le diviser et à être le premier rebelle président du Sénégal. Cela n'arrivera jamais, il fera face aux remparts qui protègent ce pays des aventuriers.
Leukil y a 1 mois
Fier de faire partie des 46 pourcent qui n’ont pas voté pour Diomaye. Nous sommes du bon coté de l’histoire.
R T S toujours sous Macky il y a 1 mois
COMMENT LA RTS A RÉHABILITÉ LES « KULUNAS » (CHIMÈRE JUNIOR LOPY)
Aly Ngouille Ndiaye dans l’émission « Den kumpa » de la RTS, dimanche 27 juillet 2025. Il a eu largement le temps de se victimiser. L’ancien ministre de l’Intérieur zélé de Macky Sall cité dans l’affaire des licences de pétrole avec Pétro Tim et qui a empêché, par des subterfuges politiciens, plus de 3 millions de Sénégalais de voter, a même versé quelques larmes. Emouvant, non ? Quelques heures plus tôt, Hamidou Anne, nouvellement promu par Macky Sall depuis Marrakech, déclarait, tenez-vous bien, sur la RTS dans l’émission « En vérité », que « l’APR a les moyens de reconquérir le pouvoir. » Quelle audace, après tant de mal infligé au peuple sénégalais ! Il y a une semaine, c’est le maire de Mbao Abdou Karim Sall qui se félicitait de la présence de la RTS pour le bilan de sa mairie. L’ancien ministre de l’Environnement cité dans une affaire d’armement à hauteur de 45 milliards F CFA se voit aujourd’hui « réhabilité » par les médias publics.
L’essentiel de la presse privée a – c’est un secret de polichinelle- une ligne éditoriale anti régime Pastefien. Alors, les médias publics devraient constituer un rempart pour le nouveau régime. Mais que nenni ! Après 15 mois d’exercice du pouvoir, le constat est que la RTS a grandement participé à la « réhabilitation » des membres de l’ancien régime APR, responsable de 83 morts, plus de 5 000 milliards F CFA de dette cachée et d’une dette dépassant les 100% du PIB.
Depuis son arrivée à la tête de la RTS, Pape Alé Niang, tel un funambule sur une corde raide, s’évertue à chercher un prétendu équilibre, somme toute précaire, entre le pouvoir et l’opposition. Sauf qu’il n’a pas l’habileté, la concentration et le sens aigu de l’équilibre des funambules pour éviter de léser le parti au pouvoir. Car, Pastef est largement torpillé. On se rappelle encore la retransmission en direct de la conférence de presse de l’APR qui répondait au Gouvernement sur le rapport de la Cour des comptes. En le faisant, la RTS place l’APR au niveau du Gouvernement. Les insultes de Abdou Mbow en direct de la RTS, il y a 5 mois, sont encore fraiches dans les mémoires. Le député « kuluna » aura même droit à de chaleureux remerciements de la part du journaliste. « Merci honorable, merci de nous avoir accordé de votre temps », a-t-il glissé poliment sans prendre la moindre peine de le recadrer ou de présenter des excuses au public. A la RTS, à la télé comme à la Radio, les membres de l’ancien régime, souvent peu recommandables, sont régulièrement invités pour se laver à grande eau des crimes de sang et financiers. Et ils se permettent, à chaque occasion avec culot, de critiquer le régime actuel qui s’évertue à nettoyer leurs déchets.
Aujourd’hui, les membres de l’APR qui rasaient les murs au début de la perte du pouvoir, se sentent poussés des ailes au point de procéder à une réorganisation de leur parti. Parce qu’on constate que tous les segments du « système » (Justice, Administration, Médias, Syndicats…) sont libérés. Et ils posent des actes à l’encontre de la bonne marche du pays. La recherche de l’équilibre dans la Justice, les médias… donne au « système », les moyens de se réorganiser et de faire face. Dans un pays normal, APR aurait été rejetée dans les poubelles de l’histoire politique "
PS: sous Racine Talla le stratège com de Macky Sall, en 12 ans de pouvoir, la RTS n'avait invité aucun opposant, même le plus gentil en critiques.
reply_authoril y a 1 mois
ELGAS, un élément de la France Afrique qui a toujours méprisé le peuple sénégalais a travers ses écrits.
Sène il y a 1 mois
Voici un gars que je n’ai jamais vu sortir contre Macky Sall malgré tout son lourd passif. Emprisonnements abusifs de masse, justice inféodée et partiale, refus d’autorisation de manifester, complot contre Sonko et verdict loufoque d’un procès commandité, plus de 80 morts sans début d’enquête, des médias aux ordres contre exonérations fiscales indues, détournements de deniers publics impunis, des rapports de cour des comptes volontairement cachés aux Sénégalais, etc.
Et aujourd’hui, il sort distribuer des leçons de démocratie, de bonne tenue, de respect des institutions, et patati patata.
Le plus triste est qu’il appelle « chroniqueurs » ces hommes politiques en perte de vitesse qui ont tapé aux portes de tous les partis politiques auparavant et qu’une certaine presse de connivence avec les milliardaires déchus, recrute aujourd’hui pour diaboliser le nouveau régime.
Estimez-vous heureux de n’avoir pas été une des victimes de la répression sanglante de celui que vous défendez dans votre texte, en taisant son lourd héritage, mais les Sénégalais ont eu raison de demander justice après 15 mois de pouvoir.
Et Sonko a eu raison de taper sur la table pour que ces magistrats payés avec l’argent du contribuable et ce président qui semble ranger son balai de campagne, puissent se réveiller.
Tout le reste de votre texte n’est qu’un jeu d’équilibriste pour mieux s’attaquer à Sonko, en donnant l’impression d’être objectif. On sait lire entre les lignes.
Demandez seulement pourquoi la popularité de Sonko ne cesse de grimper à chacune de ses apparitions publiques. Les Sénégalais savent distinguer ceux qui aiment désintéressement ce pays aux pommes pourries qui ne rêvent que d’un retour à la table du festin national.
reply_authoril y a 1 mois
Bien écrit et très objectif. Dans un an, ce sera la désillusion totale.
Commentaires (23)
En clair, on ne s'en sortira pas tant qu'Ousmane Sonko sera Pm.
Par ailleurs, ce duel est annoncé depuis leur élection. Dans les premiers temps, le tandem était célébré à coup de Diomaye moye Sonko prévenant un conflit de loyauté du président. Maintenant que la lune de miel est passée, la réalité politique s'impose. O.S. se rendant compte que son ambition de devenir président est menacée devient nerveux. Et cette nervosité ira s'accentuant à mesure que les prochaines élections approchent.
Enfin, le régime actuel a hérité de belles réalisations et d'un cadre pour l'émergence; l'erreur commise a été de tout vouloir jeté à la poubelle pour recommencer avec un projet inexistant.
Un gouvernement s'inscrit toujours dans la continuité !
Deug kani leu, kou gnou ko touff nga tokhognou. Ousmane SONKO n'a dit que la vérité, tous ceux qui s'agitent pour le contredire par la fumisterie et le mensonge y laisserons leurs plumes. Défendre des magistrats véreux, de hauts fonctionnaires comploteurs et voleurs de deniers publics ainsi que des insulteurs, c'est confirmer son appartenance au camp des traitres et collabos du système...
tres beau texte merci d'avoir amelioré mon vocabulaire mais malheureusement ceux à qui vous vous adressez ne comprendront rien degouniou toubab
c un fan de la Fr et oui un défenseur de la Fr Afriq. On n'a pas oublié les sorties pour défendre la Fr et ses intérêts avec bec et ongles
des passages avec beaucoup de lourdeurs qu'on peut sauter allègrement et filer à la conclusion sans rien perdre du sens du texte
les dernières phrases sont parmi les plus appréciables
INTRANQUILLES? Heureusement pour nous LE PRECEDENT PRESIDENT on le voyait toujours avec une SILHOUETTE DE MALABAR sans soucis aucun de la situation du pays. NOUS FAISONS CONFIANCE ABSOLUE EN PASTEF pour remettre le pays à l'endroit.
Nous avons choisi la démocratie alors nous devons accepter tout ce qui va avec. Et dans une démocratie chers pastefiens stout le monde a droit à la parole. “Tu n’es pas d’accord avec moi mais je me battrai toujours pour que tu gardes cette liberté de ne pas être d’accord”.
Ton message est très confus. Je n'ai rien compris.
Ah ....
Un journaliste de surcroît.
Encore un kuluna de la plume. Le chien aboie, la caravane passe
wa APR aller repondre au FMI mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
un profiteur de gamine miséreuse qu'il traite ensuite de guenon cest la seule merde que vous méritez !!
un texte de haute facture qui dépasse le niveau de comprehension de certains
GARS YI NOPEULEKOULENE SONKO AK DIOMAYE c'est une longue très longue histoire
Le copain de Mbougar Sarr . Qu'est ce qu'il pense de ton analyse. Moom ak son autre copain Felwine Sarr étaient plus bavards il n'y guère longtemps. Ils ne sont obligés de rien nak. Mais leur silence soudain interpelle.
Chapeau pour la qualité du texte la justesse de l'analyse. J'ai rarement eu plaisir à lire un aussi beau texte.
Vous êtes seuls à trouver que les Sénégalais sont déçus. Un sociologue travaille sur la longue durée, tu sors de chez toi tu rencontres deux personnes et tu généralisés. N'as-tu pas constaté que l'opposition ne parle plus du coût de la vie ? Porte-voix de la Françafrique tu perds ton temps
Analyse juste dt surtout une plume exquise. Mais remarquez la différence entre la qualité du Texte et le niveau des commentaires. A vous de juger.
Elgass est une fierté (inter )nationale!
Un talent pur
Tout Saint-Louis du Sénégal 🇸🇳 te remercie et t'encourage!
Zig t'aime, et tu le sais...
Tilène, Nèma...et tous ces quartiers au nom savoureux et qui vous laisse pantois...
Tu vois, du nord au sud...de l'est à l'ouest, tout le monde te salue, te suit et te dit:
"Bravo jeune homme!"
Respect et longue vie à la grande sœur!
Un p'
Rétablir la vérité : réponse aux contrevérités de M. Aly Bathily
Coordonnateur de la République des Valeurs/Réewum Ngor – France
M. Aly Bathily vos sorties alarmistes et les contrevérités, cherchant à jeter le discrédit sur l’action du gouvernement. Ses propos, empreints de subjectivité, relèvent moins d’une analyse rigoureuse que d’une posture politicienne. Il est temps de rétablir les faits.
1. Une gouvernance responsable : rationalisation et transparence
Contrairement à ce que prétend M. Bathily, le gouvernement actuel ne s’adonne pas à des querelles stériles. Il agit. Et il agit avec responsabilité. Dès les premiers mois, des mesures fortes ont été prises pour réduire le train de vie de l’État :
Suppression ou fusion de structures administratives redondantes ;
Réduction drastique des budgets de fonctionnement non prioritaires ;
Réforme de la gestion du parc automobile de l’État ;
Audit et plafonnement des missions à l’étranger ;
Lancement d’un processus de digitalisation de la commande publique.
Ces décisions, loin d’être spectaculaires, sont structurelles et pérennes. Elles traduisent une volonté claire : mettre fin au gaspillage, restaurer l’intégrité de l’État, et libérer des ressources pour les secteurs vitaux.
2. Des finances publiques mieux orientées, pour les priorités nationales
La rationalisation n’est pas une fin en soi. Elle permet de réorienter les dépenses publiques vers l’essentiel :
Investissements accrus dans la santé communautaire, avec la réhabilitation de plusieurs postes de santé en zone rurale ;
Revalorisation progressive des bourses et des infrastructures universitaires ;
Soutien renforcé à la production agricole locale et aux PME innovantes.
Ainsi, loin du « chaos » décrit par M. Bathily, c’est une réorganisation courageuse et méthodique de l’appareil d’État qui est en cours.
3. Une justice désormais indépendante et active
L’un des engagements majeurs du Président de la République était clair : aucun dossier de justice ne sera enterré. Cette promesse se matérialise. Plusieurs affaires restées sous le coude durant la dernière décennie ont été réouvertes ou accélérées, dans le strict respect du droit. La justice, autrefois bridée, agit aujourd’hui sans pression. Il ne s’agit pas de vengeance politique, mais de rendre des comptes. Et les Sénégalais savent faire la différence.
4. La traque des criminels financiers est une réalité
Le Sénégal ne sera plus un havre pour les détourneurs de fonds publics. Depuis le changement de régime :
Des enquêtes ont été rouvertes sur de présumés détournements massifs dans des agences stratégiques ;
Des mandats de justice ont été relancés ou émis à l’encontre d’individus soupçonnés d’enrichissement illicite ;
La Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF) a été renforcée pour mieux détecter les flux financiers suspects ;
Le Patrimoine de l’État est en cours de recensement, afin de récupérer les biens mal acquis.
Ce sont là des actes concrets, pas des slogans.
5. Un discours de diversion, face à une réalité de changement
Les invectives de M. Bathily ne masqueront pas l’essentiel : le Sénégal change. Lentement, certes, mais sûrement et profondément. Ce changement dérange ceux qui, hier, profitaient du système. Ceux qui, aujourd’hui, veulent saboter l’élan populaire en criant au feu pendant que l’on reconstruit.
Mais les Sénégalais ne sont pas dupes.
Ils savent qui travaille, et qui joue la comédie.
Conclusion : gouverner, c’est rendre compte
Nous n’avons rien à cacher. Nos comptes sont clairs, nos objectifs sont publics, nos résultats sont tangibles. Le gouvernement est ouvert à la critique – dès lors qu’elle est fondée. Mais il restera ferme face aux manipulations et résolu dans sa mission de redressement.
L’heure n’est pas au cynisme, mais à l’action. L’heure n’est pas aux jeux de couloirs, mais à la reconstruction.
Amadou Makhtar Thiam
Makhtarthiam55@gmail.com
Sympathisant du PROS
Rétablir la vérité : réponse aux contrevérités de M. Aly Bathily
Coordonnateur de la République des Valeurs/Réewum Ngor – France
M. Aly Bathily vos sorties alarmistes et les contrevérités, cherchant à jeter le discrédit sur l’action du gouvernement. Ses propos, empreints de subjectivité, relèvent moins d’une analyse rigoureuse que d’une posture politicienne. Il est temps de rétablir les faits.
1. Une gouvernance responsable : rationalisation et transparence
Contrairement à ce que prétend M. Bathily, le gouvernement actuel ne s’adonne pas à des querelles stériles. Il agit. Et il agit avec responsabilité. Dès les premiers mois, des mesures fortes ont été prises pour réduire le train de vie de l’État :
Suppression ou fusion de structures administratives redondantes ;
Réduction drastique des budgets de fonctionnement non prioritaires ;
Réforme de la gestion du parc automobile de l’État ;
Audit et plafonnement des missions à l’étranger ;
Lancement d’un processus de digitalisation de la commande publique.
Ces décisions, loin d’être spectaculaires, sont structurelles et pérennes. Elles traduisent une volonté claire : mettre fin au gaspillage, restaurer l’intégrité de l’État, et libérer des ressources pour les secteurs vitaux.
2. Des finances publiques mieux orientées, pour les priorités nationales
La rationalisation n’est pas une fin en soi. Elle permet de réorienter les dépenses publiques vers l’essentiel :
Investissements accrus dans la santé communautaire, avec la réhabilitation de plusieurs postes de santé en zone rurale ;
Revalorisation progressive des bourses et des infrastructures universitaires ;
Soutien renforcé à la production agricole locale et aux PME innovantes.
Ainsi, loin du « chaos » décrit par M. Bathily, c’est une réorganisation courageuse et méthodique de l’appareil d’État qui est en cours.
3. Une justice désormais indépendante et active
L’un des engagements majeurs du Président de la République était clair : aucun dossier de justice ne sera enterré. Cette promesse se matérialise. Plusieurs affaires restées sous le coude durant la dernière décennie ont été réouvertes ou accélérées, dans le strict respect du droit. La justice, autrefois bridée, agit aujourd’hui sans pression. Il ne s’agit pas de vengeance politique, mais de rendre des comptes. Et les Sénégalais savent faire la différence.
4. La traque des criminels financiers est une réalité
Le Sénégal ne sera plus un havre pour les détourneurs de fonds publics. Depuis le changement de régime :
Des enquêtes ont été rouvertes sur de présumés détournements massifs dans des agences stratégiques ;
Des mandats de justice ont été relancés ou émis à l’encontre d’individus soupçonnés d’enrichissement illicite ;
La Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF) a été renforcée pour mieux détecter les flux financiers suspects ;
Le Patrimoine de l’État est en cours de recensement, afin de récupérer les biens mal acquis.
Ce sont là des actes concrets, pas des slogans.
5. Un discours de diversion, face à une réalité de changement
Les invectives de M. Bathily ne masqueront pas l’essentiel : le Sénégal change. Lentement, certes, mais sûrement et profondément. Ce changement dérange ceux qui, hier, profitaient du système. Ceux qui, aujourd’hui, veulent saboter l’élan populaire en criant au feu pendant que l’on reconstruit.
Mais les Sénégalais ne sont pas dupes.
Ils savent qui travaille, et qui joue la comédie.
Conclusion : gouverner, c’est rendre compte
Nous n’avons rien à cacher. Nos comptes sont clairs, nos objectifs sont publics, nos résultats sont tangibles. Le gouvernement est ouvert à la critique – dès lors qu’elle est fondée. Mais il restera ferme face aux manipulations et résolu dans sa mission de redressement.
L’heure n’est pas au cynisme, mais à l’action. L’heure n’est pas aux jeux de couloirs, mais à la reconstruction.
Amadou Makhtar Thiam
Makhtarthiam55@gmail.com
Sympathisant du PROS
Analyse touffue, juste et équilibrée. Par contre espérer du Pastef de l'humilité, de l'élégance morale, d'intelligence diplomatique, et de respect de la démocratie, c'est peut-être, c'est sand doute rêver les yeux grand ouverts...
Cet elgas est un fumier parmi tant d"autres prostitués intellectuels qui ont vendu leurs sciences aux souteneurs malheureus de la continuité du benno bok bakkar. Ses élucubrations de suppôt du systèmes ne servent qu'à remonter un peu le moral des kulunas guettés par une léthargie fatale face à la déferlante du jub jubbeul jubbeunety. Il est trop minuscule tel un ver de terre pour ébraler l'espoir et l'engagement des dignes Sénégalais...
Cet évolué destine ses réflexions sur le Sénégal à un journal français d'extrême droite et à un public français. Son disque mental n'a pas changé; il continue de nous mépriser nous peuple du Sénégal et est prêt à s'allier avec le diable impérialiste pour nous faire regretter notre libre choix. La révolution démocratique sénégalaise a des ennemis tenaces et ce gars en est un.
Beaucoup de routes à construire
Beaucoup d’écoles à construire
Beaucoup d’écoles d’ingénieurs à construire
Beaucoup d’hôpitaux à construire et à équiper
Une agriculture à développer
Des infrastructures en urbanisme à construire
Tout ceci ne semble pas préoccuper ces deux guignols qui se sont prématurément lancé dans une guerre de succession aux prochaines élections présidentielles. Des querelles et des invectives enfantins , galvanisés par des militants moutons qui ne semblent pas être doté d’un cerveau. Une grosse déception d’avoir élu ces attardés mentaux.
Et pas un mot sur le kidnapping du capitaine et d'autres djambars entre les mains de ces camarades de mfdc.
Tant que sonko est premier ministre le senegal reculera. il est trop nul
Il n'y a que les koulounas déclassés pour ne pas voir que le pays se porte infiniment mieux sous Sonko que sous ceux de tous les régimes précédents.
Diomaye de grâce respecte les 54% de Sénégalais qui (grâce à O. Sonko) t'ont confié les destinées du pays. Ton histoire de réconciliation ne concerne que toi et les kulunas qui rigolent en douce. Le mandat du 26 mars est clair comme l'eau de roche : traque des kulunas, reddition des comptes (pas seulement financiers) et punitions fermés pour les dëumms bby qui ont pillé ce pays.
Pour finir, aïe du respect pour les martyrs et leurs familles.
Y'a pas de martyrs, y'a juste des gens qui sont morts bêtement pour sauver une seule personne qui avait un problème privée de par son insouciance. Diomaye ne dirige pas les 54 pourcent uniquement il dirige tous les 100 pourcent senegalais.
Toi qui parle tu es sûrement un diola
Tu racontes ta vie avec tes martyrs. Ils sont morts pour rien, manipulés par un violeur qui n'a pas osé s'assumer. La mort de ces pauvres est sur la conscience de Sonko. Nul ne sait qui les a tués, cette enquête prendra du temps et les résultats seront maigres. Pastef a pris le pouvoir démocratiquement pas par une révolution. Occupez vous du quotidien des populations, tout le reste est une volonté de détourner les gens des vraies questions en faisant de la politique matin, midi et soir. En vérité le PM est un incompétent notoire, il n'a aucune solution pour notre pays sinon chercher à le diviser et à être le premier rebelle président du Sénégal. Cela n'arrivera jamais, il fera face aux remparts qui protègent ce pays des aventuriers.
Tu racontes ta vie avec tes martyrs. Ils sont morts pour rien, manipulés par un violeur qui n'a pas osé s'assumer. La mort de ces pauvres est sur la conscience de Sonko. Nul ne sait qui les a tués, cette enquête prendra du temps et les résultats seront maigres. Pastef a pris le pouvoir démocratiquement pas par une révolution. Occupez vous du quotidien des populations, tout le reste est une volonté de détourner les gens des vraies questions en faisant de la politique matin, midi et soir. En vérité le PM est un incompétent notoire, il n'a aucune solution pour notre pays sinon chercher à le diviser et à être le premier rebelle président du Sénégal. Cela n'arrivera jamais, il fera face aux remparts qui protègent ce pays des aventuriers.
Tu racontes ta vie avec tes martyrs. Ils sont morts pour rien, manipulés par un violeur qui n'a pas osé s'assumer. La mort de ces pauvres est sur la conscience de Sonko. Nul ne sait qui les a tués, cette enquête prendra du temps et les résultats seront maigres. Pastef a pris le pouvoir démocratiquement pas par une révolution. Occupez vous du quotidien des populations, tout le reste est une volonté de détourner les gens des vraies questions en faisant de la politique matin, midi et soir. En vérité le PM est un incompétent notoire, il n'a aucune solution pour notre pays sinon chercher à le diviser et à être le premier rebelle président du Sénégal. Cela n'arrivera jamais, il fera face aux remparts qui protègent ce pays des aventuriers.
Fier de faire partie des 46 pourcent qui n’ont pas voté pour Diomaye. Nous sommes du bon coté de l’histoire.
COMMENT LA RTS A RÉHABILITÉ LES « KULUNAS » (CHIMÈRE JUNIOR LOPY)
Aly Ngouille Ndiaye dans l’émission « Den kumpa » de la RTS, dimanche 27 juillet 2025. Il a eu largement le temps de se victimiser. L’ancien ministre de l’Intérieur zélé de Macky Sall cité dans l’affaire des licences de pétrole avec Pétro Tim et qui a empêché, par des subterfuges politiciens, plus de 3 millions de Sénégalais de voter, a même versé quelques larmes. Emouvant, non ? Quelques heures plus tôt, Hamidou Anne, nouvellement promu par Macky Sall depuis Marrakech, déclarait, tenez-vous bien, sur la RTS dans l’émission « En vérité », que « l’APR a les moyens de reconquérir le pouvoir. » Quelle audace, après tant de mal infligé au peuple sénégalais ! Il y a une semaine, c’est le maire de Mbao Abdou Karim Sall qui se félicitait de la présence de la RTS pour le bilan de sa mairie. L’ancien ministre de l’Environnement cité dans une affaire d’armement à hauteur de 45 milliards F CFA se voit aujourd’hui « réhabilité » par les médias publics.
L’essentiel de la presse privée a – c’est un secret de polichinelle- une ligne éditoriale anti régime Pastefien. Alors, les médias publics devraient constituer un rempart pour le nouveau régime. Mais que nenni ! Après 15 mois d’exercice du pouvoir, le constat est que la RTS a grandement participé à la « réhabilitation » des membres de l’ancien régime APR, responsable de 83 morts, plus de 5 000 milliards F CFA de dette cachée et d’une dette dépassant les 100% du PIB.
Depuis son arrivée à la tête de la RTS, Pape Alé Niang, tel un funambule sur une corde raide, s’évertue à chercher un prétendu équilibre, somme toute précaire, entre le pouvoir et l’opposition. Sauf qu’il n’a pas l’habileté, la concentration et le sens aigu de l’équilibre des funambules pour éviter de léser le parti au pouvoir. Car, Pastef est largement torpillé. On se rappelle encore la retransmission en direct de la conférence de presse de l’APR qui répondait au Gouvernement sur le rapport de la Cour des comptes. En le faisant, la RTS place l’APR au niveau du Gouvernement. Les insultes de Abdou Mbow en direct de la RTS, il y a 5 mois, sont encore fraiches dans les mémoires. Le député « kuluna » aura même droit à de chaleureux remerciements de la part du journaliste. « Merci honorable, merci de nous avoir accordé de votre temps », a-t-il glissé poliment sans prendre la moindre peine de le recadrer ou de présenter des excuses au public. A la RTS, à la télé comme à la Radio, les membres de l’ancien régime, souvent peu recommandables, sont régulièrement invités pour se laver à grande eau des crimes de sang et financiers. Et ils se permettent, à chaque occasion avec culot, de critiquer le régime actuel qui s’évertue à nettoyer leurs déchets.
Aujourd’hui, les membres de l’APR qui rasaient les murs au début de la perte du pouvoir, se sentent poussés des ailes au point de procéder à une réorganisation de leur parti. Parce qu’on constate que tous les segments du « système » (Justice, Administration, Médias, Syndicats…) sont libérés. Et ils posent des actes à l’encontre de la bonne marche du pays. La recherche de l’équilibre dans la Justice, les médias… donne au « système », les moyens de se réorganiser et de faire face. Dans un pays normal, APR aurait été rejetée dans les poubelles de l’histoire politique "
PS: sous Racine Talla le stratège com de Macky Sall, en 12 ans de pouvoir, la RTS n'avait invité aucun opposant, même le plus gentil en critiques.
ELGAS, un élément de la France Afrique qui a toujours méprisé le peuple sénégalais a travers ses écrits.
Voici un gars que je n’ai jamais vu sortir contre Macky Sall malgré tout son lourd passif. Emprisonnements abusifs de masse, justice inféodée et partiale, refus d’autorisation de manifester, complot contre Sonko et verdict loufoque d’un procès commandité, plus de 80 morts sans début d’enquête, des médias aux ordres contre exonérations fiscales indues, détournements de deniers publics impunis, des rapports de cour des comptes volontairement cachés aux Sénégalais, etc.
Et aujourd’hui, il sort distribuer des leçons de démocratie, de bonne tenue, de respect des institutions, et patati patata.
Le plus triste est qu’il appelle « chroniqueurs » ces hommes politiques en perte de vitesse qui ont tapé aux portes de tous les partis politiques auparavant et qu’une certaine presse de connivence avec les milliardaires déchus, recrute aujourd’hui pour diaboliser le nouveau régime.
Estimez-vous heureux de n’avoir pas été une des victimes de la répression sanglante de celui que vous défendez dans votre texte, en taisant son lourd héritage, mais les Sénégalais ont eu raison de demander justice après 15 mois de pouvoir.
Et Sonko a eu raison de taper sur la table pour que ces magistrats payés avec l’argent du contribuable et ce président qui semble ranger son balai de campagne, puissent se réveiller.
Tout le reste de votre texte n’est qu’un jeu d’équilibriste pour mieux s’attaquer à Sonko, en donnant l’impression d’être objectif. On sait lire entre les lignes.
Demandez seulement pourquoi la popularité de Sonko ne cesse de grimper à chacune de ses apparitions publiques. Les Sénégalais savent distinguer ceux qui aiment désintéressement ce pays aux pommes pourries qui ne rêvent que d’un retour à la table du festin national.
Bien écrit et très objectif. Dans un an, ce sera la désillusion totale.
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