Cristiano Ronaldo ne veut pas arrêter le foot, malgré les commentaires de sa famille
Le célèbre footballeur portugais, Cristiano Ronaldo, a reçu, hier mardi, le prix Globo Prestigio, lors d’un gala étoilé organisé par la Fédération portugaise de football (FPF). Dans le discours prononcé à l’occasion, le quintuple Ballon d’Or a exprimé tout son amour pour le Portugal et la Selecçao.
« Si je pouvais, je ne jouerais que pour l’équipe nationale, je ne jouerais pour aucun autre club, car c’est le point culminant et le sommet d’un footballeur », a-t-il déclaré, avant de partager ses premières appréhensions sur le prix reçu.
« J’étais un peu nerveux et je me suis dit : « C’est impossible »
« Je dois avouer que cet après-midi, j’étais à table pour étudier ce que j’allais dire dans ce discours. Je me suis demandé : 'Qu’est-ce qu’un prix de prestige ? S’agit-il d’un prix de fin de carrière ?' J’étais un peu nerveux et je me suis dit : 'C’est impossible'. J’ai donc fait quelques recherches sur Perplexity et j’ai reçu un peu d’aide. Plus sérieusement, ce trophée est une grande source de fierté pour moi. Je ne le vois pas comme la fin d’une carrière, mais comme la continuation de tout ce que j’ai accompli dans toute ma carrière » a déclaré la star d’Al Nassr.
L’homme n’envisage donc pas d'arrêter le foot. En tout cas, pas de sitôt.
« Les gens, surtout ma famille, me disent : ‘Il est temps que tu arrêtes…' »
Et pourtant, sa famille aimerait bien le voir raccrocher les crampons. « Les gens, surtout ma famille, me disent ; ‘Il est temps que tu arrêtes. Tu as tout fait. Pourquoi veux-tu marquer 1 000 buts ?’ Mais je n’y crois pas. Je pense que je continue à apporter de bonnes choses, j’aide mon club et l’équipe nationale, alors pourquoi ne pas continuer ? Je suis sûr qu’une fois que j’aurai terminé, j’aurai un sentiment d’accomplissement, car j’aurai tout donné », a lâché le vainqueur de la dernière Ligue des nations.
II reconnait toutefois qu’il ne lui reste plus beaucoup d’années au plus haut niveau.
Commentaires (1)
Il risque d’être humilier dans les stades ou sur le terrain il faut savoir arrêter. Nitt dou foukhalé
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