Justice et populisme : échange tendu entre le président sortant de l’UMS et le député Pastef Amadou Bâ
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Justice et populisme : échange tendu entre le président sortant de l’UMS et le député Pastef Amadou Bâ
Chimère Diouf, le président sortant de l’Union des magistrats du Sénégal (Ums) a profité de l’Assemblée générale de l’organisation qu’il dirigeait jusqu’ici, pour s’exprimer sur les «attaques» contre la Justice.
Le président sortant, le juge Amadou Chimère Diouf, a réaffirmé son ouverture à la critique tout en mettant en garde contre le discrédit et...
Lors de l’assemblée générale de l’Union des Magistrats du Sénégal (UMS), le président Amadou Chimère Diouf a réaffirmé l’ouverture de l’organisation au dialogue et aux réformes...
26 septembre 2002-26septembre 2015. Il y a 13 ans, le Joola chavirait aux larges des côtes gambiennes. Malgré le temps, la douleur est aussi vive dans les cœurs des familles des 1 863 personnes disparues tragiquement. Cette année, la Tabaski risque d’éclipser les commémorations de cette tragédie qui hantera l’histoire du Sénégal éternellement. Le Quotidien a décidé «d’ouvrir le ventre de l’Atlantique» en publiant la liste des victimes pour lutter contre l’oubli.
Me Amadou Sall n'en démords pas. Récemment sorti de prison à la faveur d’une liberté provisoire, l'avocat de Karim Wade qui attend son procès prévu le 30 juin a tenu un discours de guerrier pour dire qu’il n’entendait pas baisser les bras et qu’il va continuer le combat. Et si une de ses déclarations lui avait valu son arrestation et un séjour carcéral long de 3 mois, Me Sall persiste dans sa volonté de toujours exprimer ses idées et ses convictions.
C’est à l’Hôpital Américain de Neuilly, en France, où j’étais en traitement, que me sont parvenus les échos de la contribution de Monsieur le Président du Bureau de l’’’Association des Anciens Gouverneurs’’, mon condisciple Souleymane Diène.
La planification familiale peut permettre d’éviter 140.000 grossesses non désirées, au Sénégal, d’ici à 2015, a-t-on appris samedi de source médicale.
Les personnalités élevées mardi aux différents ordres nationaux ''constituent le socle des valeurs nécessaires à l’émergence des citoyens modèles'', a déclaré le président la République, Macky Sall, dans des propos rapportés par le quotidien Le Soleil.
Le président de la République, Macky Sall, procédera mardi à partir de 16h à la remise de décoration dans les différents ordres nationaux à d’anciens ministres, hauts magistrats, enseignants du supérieur et officiers généraux et supérieurs de l’Armée sénégalaise, annonce le quotidien Le Soleil.
Voici l'arrêt du Conseil constitutionnel sur les résultants définitifs des élections législatives du 1-er juillet 2012.
L’ancien ambassadeur du Sénégal à Londres, El Hadji Amadou Niang, la rage au ventre, a fait l'analyse du premier tour de la présidentielle qui a vu la montée en puissance de l’ancien Premier ministre du Sénégal, candidat de l’opposition, Macky Sall. Ce dernier, qui fera face au président sortant, Me Abdoulaye Wade, au second tour de la présidentielle, est présenté comme le président du changement aux yeux des Sénégalais. Dans une entrevue accordée à Seneweb, M. Niang estime que « le processus démocratique est devenu irréversible ".
Qui pour diriger le Sénégal en 2012? La liste des candidats est longue. Des profils d'espoir et de rêve aux candidats du chaos et de la confusion. Tout le monde s'y met. L'enjeu est à la mesure du réveil des fibres patriotiques les plus solides d'une part, et des ambitions les plus démoniaques d'autre part. Chacun y va avec ses prétentions. Mais le tout est, comme s'interroge la malienne Aminata Traoré (L'Afrique humiliée, fayard, 2008), « de savoir si nos hommes politiques, qui ne se passionnent que pour la conquête du pouvoir, sont capables et désireux de ne pas prendre l'ombre pour la proie ».
Comment expliquer le caractère itératif des accusations « d’ethnicisme » portées contre des hommes politiques comme Djibo Ka, hier, ou Macky Sall aujourd’hui, qui ne sont pas de la même génération, qui ont des parcours politiques opposés, qui ont des attaches familiales dans deux provinces très différentes, qui, quoiqu’en pensent certains Sénégalais, ont des cultures différentes et ne parlent pas tout à fait le même pulaar ?
Il faut que les « wadistes » soient encore aveuglés par le pouvoir, pour ne pas voir que sous leurs yeux prend fin un épisode malheureux de notre histoire ; que les évènements qui s’enchaînent sont le signum d’une dictature finissante. Celle d’Abdoulaye Wade n’a pu prospérer qu’en abusant de la lâcheté des uns et de la passivité des autres. Beaucoup ont conspiré avec son système despotique pour le faire perdurer. Mais il s’est produit le 23 juin dernier un soulèvement qui a eu raison de ses dernières illusions de monarque.
La majeure partie des communicateurs traditionnels sont soit des homosexuels soit des maquereauxCommunicateur traditionnel de son État, Ibrahima Ndiaye Niokhobaye revient sur son enfance gâtée. Fils unique de sa maman, il se croyait tout permis au cours de sa jeunesse où il a divorcé à treize reprises. Entretien avec un polygame hors pair, un homme de médias qui nous fait des révélations et raconte des anecdotes. Qui est réellement Ibrahima Ndiaye et d’où vient le surnom «Niokhobaye» ?
Nous l’avons trouvé, ce soir-là, à table, aux environs de 19 heures. Etait-ce le repas de midi que Me Mbaye-Jacques Diop prenait tardivement ou le dîner à l’heure militaire, on ne saurait le dire. Mais cet homme d’une riche carrière politique avait des choses à dire. Et beaucoup de choses d’ailleurs. A bâtons rompus, l’ancien président du Conseil de la République abordera les sujets les plus divers, notamment son compagnonnage avec Me Abdoulaye Wade, l
Lamine Guèye qui n’a pas eu la chance d’être président de la République du Sénégal, n’est pas connu de la jeunesse actuelle. C’est pourquoi il est nécessaire d’évoquer sa vie et son œuvre à l’occasion du cent dix-septième anniversaire de sa naissance pour lui rendre un hommage qu’il mérite amplement. Il ne faut pas oublier qu’il fait partie des premiers universitaires que compte le Sénégal. Il a fait ses études universitaires avant Léopold Sédar Senghor. Il est le premier docteur d’Etat en droit africain en 1921. Ainsi il a pu obtenir à la Faculté de Droit de Paris le doctorat qui est le plus haut diplôme que l’université française peut délivrer.
Sous le « sceau de l’innovation dans les principes de répartition des emplois judiciaires », le vaste mouvement dans la magistrature, décidé en Conseil supérieur de la Magistrature, donnera une « nouvelle dynamique » dans les juridictions. Permettre aux plus jeunes d’acquérir davantage d’expériences à côté des aînés, prévenir la routine et renforcer en ressources humaines la chancellerie, tels sont les soubassements de ce mouvement. Le Conseil supérieur de la Magistrature, réuni jeudi dernier sous la présidence du chef de l’Etat, a procédé à un important mouvement dans les postes de la magistrature sénégalaise sur proposition du ministre d’Etat, Garde des Sceaux, ministre de la Justice.
Le Conseil constitutionnel, réuni jeudi à Dakar, a confirmé de manière définitive la victoire de la « Coalition Sopi 2007 » aux législatives du 3 juin dernier, suivant en cela les résultats provisoires donnés il y a une semaine par la Commission nationale de recensements des votes, a constaté l’Aps. Ainsi, après ’’les corrections nécessaires’’ et après avoir relevé qu’’aucun candidat’’ n’a contesté dans les délais prévus par la loi la régularité du scrutin, le verdict prononcé par le Greffier en chef du Conseil constitutionnel, Me Ndèye Maguette Mbengue, consacre la large victoire de la « Coalition Sopi 2007 », qui obtient 131 sièges de député sur les 150 de la future Assemblée nationale.