C’est un secret de polichinelle.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
C’est un secret de polichinelle.
De l’impérieuse nécessité de poursuivre la révolution patriotique africaine développée au Sénégal avec son continuum de ruptures et sa cohorte de tumultes inhérents à toute révolution à l’instar de l’historique révolution française de 1789 ou du contemporain printemps arabe.
Cela fait 35 ans que Thomas Isidor Sankara à l’état civil dit Thomas Sankara est mort assassiné...
Qui se souvient de Thomas Sankara, ce jeune capitaine burkinabè qui prit le pouvoir en 1983, à 33 ans, et mourut assassiné par son bras droit quatre ans plus tard ?
Cela fait 35 ans que Thomas Isidor Sankara à l’état civil dit Thomas Sankara est mort assassiné...
Il est de cette race d’homme dont l’action reste indéfiniment inscrite dans les annales de l’histoire de leur Peuple
Mort à l’âge vénérable de 90 ans, Fidel Castro aura été à la fois l’un des personnages les plus adulés et les plus controversés du 20ème siècle. Le lider maximo, qui a vu défiler 11 présidents américains et se vantait d’avoir échappé à 638 tentatives d’assassinat ourdies par la Cia. Bien que formé chez les Jésuites, Fidel n’était pas pour autant un enfant de chœur.
Le père de la Révolution cubaine, Fidel Castro, mort ce samedi 26 novembre à 90 ans, avait noué des liens étroits avec l'Afrique, notamment par l'intermédiaire de son compagnon Ernesto Che Guevara. Et c'est à Cuba que Nelson Mandela avait consacré son premier voyage après sa sortie de prison.
Le continent africain a connu plusieurs périodes dans l’histoire. De la période précoloniale à la période de l’indépendance jusqu’à l’ère démocratique des années 1990, ils ont été plusieurs personnalités à marquer l’histoire de l’Afrique de par leurs actions, détermination et engagement en faveur de leur pays et du panafricanisme. Ces personnalités ont été de tous les combats pour la libération de l’Afrique des mains des colons.
Dans son dernier manifeste, « Lettre à l’Afrique » (1), Hugo Chavez exprime sa conviction totale que tôt ou tard les Africains et les Latino-américains se retrouveront comme un seul et même peuple mais qu’eux seuls sont capables d’accomplir ce destin. Nous publions en ce sens une interview du romancier sénégalais Boubacar Boris Diop (Dakar, 1946), une des plumes les plus importantes de l’Afrique contemporaine. En compagnie d’autres écrivains, il s’est rendu à plusieurs reprises au Rwanda et son roman : « Murambi, le livre des ossements » est un voyage au coeur du génocide qui s’est déroulé entre avril et juin 1994 (2). Cet entretien publié originalement par la revue mexicaine « Círculo de poesía » revient sur la nécessité de l’alliance entre Afrique et Amérique Latine, l’échange entre ses intellectuels, la révolution bolivarienne et l’exemple de Chavez, le besoin d’écrire dans la langue vernaculaire ou l’interminable colonialisme de la gauche française et occidentale.
Le Bob Marley africain vit depuis plus de dix ans à Bamako. À l'heure où le président par intérim se rend à Paris, le chanteur s'exprime sur son engagement.
Le Guide libyen n’est plus de ce monde, à cause de la volonté des nouveaux gendarmes du monde que sont la France et les Etats-Unis d’Amérique. Les Africains commencent déjà à déchanter après avoir chanté en cœur l’élection de Barack Obama comme président des USA.
Récit du parcours d'un homme du peupleTous ceux qui attendaient le rapport du secrétaire général du Pit à l’occasion de l’ouverture du cinquième ordinaire de son parti, le Pit, devront déchanter. Pour cause de retard dans le démarrage des travaux, Amath Dansokho a simplement décidé de surseoir à cet exercice, décidant toutefois de soumettre ledit rapport aux différentes commissions mais aussi à tous les partis d’opposition membres de la coalition Bennoo Siggil Senegaal. Aussi et en lieu et place, s’est-il penché sur la situation économique, sociale et politique du pays.
La vie de Moustapha Fall est loin d’être un long fleuve tranquille. L’homme s’identifie à un révolutionnaire, critique la Droite et digère mal la fin du bipolarisme. Le « Che » de Kaolack débute, haut et fort, ses quatre vérités en parlant de la crise financière mondiale, des assises nationales, des élections locales, etc. A quoi tient un destin ? À beaucoup de choses certes, mais à peu de choses sans doute. Celui de Moustapha Fall « Che » tient à un bout de papier. Petit garçon, il était chargé, par le pater, d’aller au kiosque du coin chercher des journaux dont la revue Africa Asia. À la deuxième page, on présentait d’habitudes de nouvelles publications.
Après « Merci » en 2002, il lui restait à tenir une promesse : ne plus mettre un album sur le marché tant que la paix ne serait pas revenue dans sa Côte d’Ivoire. Se sentant impliqué dans le processus de réconciliation, de réunification et de reconstruction, Alpha Blondy revient au premier plan avec un album explosif et à déguster sans modération. L’artiste aime à répéter l’adaptation qu’il a faite de la vieille maxime : « La raison du plus fort n’est pas toujours la meilleure ». Alpha Blondy l’avait dit dans son album Elohim (1999).