Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Transfert en Angleterre : Liverpool dépense un demi-milliard d'euros
Le gouvernement sénégalais a ajusté ses prévisions budgétaires pour la période 2026-2028, selon un communiqué publié ce vendredi.
Une mission du Fonds monétaire international (Fmi) séjourne actuellement au Sénégal. Mission dont les enjeux sont très élevés pour le gouvernement du Sénégal qui fait actuellement face à d’énormes difficultés budgétaires, depuis que l’affaire de la dette cachée a été mise sur la place publique.
Il y a quelques mois, une riche Gambienne dénommée Nenneh Cheyassim Secka-Kebe a fait étalage de sa fortune lors d’un concert du chanteur sénégalais Wally Seck. Madame Cheyassim, a dépensé ce soir-là, près d’un million de Dalasis (7 796.000 FCFA). Dans une récente interview accordée à "The Standard", elle explique son accès de générosité par l’envie de créer le buzz.
Le Ministère des Finances a publié son rapport d'exécution budgétaire pour le second trimestre de l’année 2025. Rapport qui a dévoilé les grosses dépenses de l’Etat durant la période.
Face à une dette publique record et un déficit budgétaire préoccupant, le Sénégal s’engage dans un programme de réformes pour tenter de rétablir ses équilibres macroéconomiques.
Derrière l’apparente stabilité des prix des hydrocarbures se dissimule un angle mort rarement interrogé mais profondément structurant, celui de l’uniformité tarifaire. Qu’il s’agisse de Dakar ou d’un village enclavé du Fouta, d’un cadre urbain ou d’un petit exploitant agricole, le litre de carburant est facturé au même prix, comme si la dépense représentait partout la même charge, le même effort, le même renoncement.
Le Plan de Redressement Économique et Social (PRES) 2025–2028, dévoilé par le gouvernement sénégalais, ambitionne de mobiliser 6 400 milliards FCFA sur quatre ans via la rationalisation des dépenses, le recyclage d’actifs publics, la fiscalité et des financements endogènes. Cependant, selon Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-USEG, cette enveloppe reste largement insuffisante face aux besoins réels. Une estimation synthétique révèle un besoin total de 22 480 milliards FCFA sur la période, incluant 5 715 milliards FCFA en 2025 (déficit budgétaire + amortissement + OPEX), 2 925 milliards FCFA de déficits cumulés (2026–2028), et 13 840 milliards FCFA d’amortissement de la dette publique (probablement sous-estimé selon les données du BSDP 2024).
Hausse des ressources et baisse des dépenses au premier trimestre 2025
Ter : « Les recettes de l’exploitation ne couvrent que 60% des dépenses » (Ministre)
le Président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a dressé un premier bilan de ses réformes, axées notamment sur la rationalisation des dépenses publiques
Le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, a sorti mercredi 23 juillet une circulaire relative à la préparation du projet de Loi de finances initiale 2026. Le document, repris par Libération, fixe les orientations générales de la politique budgétaire.
Le Premier ministre français François Bayrou a dévoilé mardi son plan choc pour redresser les finances d'un pays soumis au "danger mortel" de "l'écrasement par la dette", prévoyant notamment de geler les dépenses de l'Etat et de supprimer deux jours fériés.
Le Sénégal investit 45 milliards de FCFA par an pour la restauration des étudiants, a révélé le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (Mesri), Abdourahmane Diouf, lors d’un déjeuner avec la presse, mardi 15 juillet 2025.
« Au Sénégal, il y a environ 6 milliards de FCFA dépensés chaque année pour soigner une cohorte qui ne dépasse pas 1500 malades dans le secteur public, alors que nous avons une très forte demande qui n'est pas satisfaite.
Le ministère des Finances et du Budget (MFB) est revenu, ce samedi, sur la gestion des finances publiques 2024-2025
Alors que les comparaisons entre les dépenses de fonctionnement et celles d'investissement au premier trimestre suscitent débats et interprétations diverses, Khadim Bamba Fall, membre de Pastef, appelle à la prudence.
Depuis sa sortie dénonçant des pratiques qu’il juge budgétivores et contraires à la rationalisation des dépenses, le député Guy Marius Sagna continue de susciter le débat.
Le député Guy Marius Sagna a dressé un bilan détaillé de ses six premiers mois à l’Assemblée nationale, tout en dénonçant avec vigueur certaines dérives qu’il qualifie de « pratiques d’un autre âge » au sein de l’institution parlementaire.
Thierno Bocoum, président du mouvement AGIR-Les Leaders, a réagi avec vigueur à l’annonce par le ministère des Finances et du Budget d’une « réforme majeure » visant à imputer les dépenses extrabudgétaires à l’année de leur exécution réelle.