Mame Mbaye Niang assène : « Ousmane Sonko ne sera plus jamais candidat et je n’ai aucun remords »
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Mame Mbaye Niang assène : « Ousmane Sonko ne sera plus jamais candidat et je n’ai aucun remords »
Les Ivoiriens résidant au Sénégal ont commencé à voter, ce samedi 25 octobre 2025, à l’Ambassade de Côte d'Ivoire à Dakar...
De l’impérieuse nécessité de poursuivre la révolution patriotique africaine développée au Sénégal avec son continuum de ruptures et sa cohorte de tumultes inhérents à toute révolution à l’instar de l’historique révolution française de 1789 ou du contemporain printemps arabe.
Le réseau social devenu Meta aurait en partie permis à l’ex-chef de l’État d’obtenir son second mandat.
Lababa Faye, professeur de mathématiques et Data Scientist, a salué la volonté du président Bassirou Diomaye Faye de faire de l’indépendance de la justice le socle d’une nouvelle cohésion nationale, dans une note parvenue à Seneweb.
Le 6 septembre 2025, le président Bassirou Diomaye Faye a opéré un remaniement ministériel, marquant un tournant après 18 mois de gouvernance
Le journaliste et chroniqueur politique, Assane Samb, a déclaré que les querelles entre Khalifa Sall et Barthélemy Dias ont permis au parti au pouvoir de prendre le contrôle de Dakar, un échec de plus pour l’opposition qui pourrait en souffrir fortement.
Le karma, dans son acception populaire, est cette idée que nos actions passées, bonnes ou mauvaises, finissent par nous rattraper, comme un boomerang lancé dans l’univers.
«Il y a eu des changements positifs significatifs dans la situation des droits de l'homme au Sénégal au cours de l'année ».
Avant la période 2021-2023, le Sénégal avait connu une autre série de violentes manifestations. C'était entre 2011 et 2012, lorsque le président Wade voulait forcer un 3e mandat. Pour la première fois, l'ancien ministre de l'Éducation, Kalidou Diallo, qui a vécu de près la situation, a raconté à "Jeune Afrique" les coulisses de la chute du pouvoir d'Abdoulaye Wade.
Un rapport récent du Département d’État américain sur les droits humains au Sénégal en 2024 met en lumière des avancées notables, mais aussi des défis persistants
Cheikh Bâ, président de l’UMS : cinq choses à savoir sur le nouveau «berger» des magistrats
Dans le vaste chantier de la fondation du mouridisme, Cheikh Ahmadou Bamba (le fondateur), ses disciples et ses frères de sang et d’idéologie ont réussi, dans un contexte colonial hostile, à planter les socles d’une cité-État grandissante (Touba) adossé à une doctrine religieuse soufie profondément ancrée. Un riche héritage jalousement préservé par ses fils et perpétué par ses petits-fils qui ont joué un rôle actif dans le rayonnement du mouridisme.
Serigne Mbaye Thiam, a défendu sa gestion du contrat signé avec ACWA Power le 27 mars 2024, trois jours après l’élection présidentielle
Serigne Mbaye Thiam, a défendu sa gestion du contrat signé avec ACWA Power le 27 mars 2024, trois jours après l’élection présidentielle
Aly Ngouille Sarr, banquier et candidat à l'élection présidentielle de 2024, met en garde contre les risques des Adjudications de Bons et Obligations du Trésor (APE) pour le secteur bancaire sénégalais. Il appelle à limiter ces émissions pour préserver la capacité des banques à financer l'économie.
Secrétaire général de l’ONU : Macky Sall plombé par une décision controversée
DÉCLARATION SUR LA SITUATION DU SÉNÉGAL : PRIVILÉGIER L’HUMILITÉ, L’OUVERTURE, LA CONCERTATION ET LE DIALOGUE INCLUSIF !
La situation financière héritée des douze ans de pouvoir du président Macky Sall et son lot de conséquences continue d’alimenter les débats. Manœuvres budgétaires frauduleuses, dettes cachées… Le retour de bâton est très violent pour le nouveau régime qui, accablé par l’effondrement de sa note souveraine, n’a plus aucune marge de manœuvre.
Depuis la décision rendue vendredi 25 juillet par le Conseil constitutionnel, invalidant certaines dispositions du nouveau règlement intérieur de l’Assemblée nationale, les réactions politiques n’ont pas tardé. Du côté de la majorité présidentielle, certains responsables du Pastef ont même appelé – sans trembler – à la dissolution pure et simple du Conseil. Un réflexe pavlovien devenu tristement banal : quand la loi gêne, on attaque ceux qui l’interprètent.