La lutte contre le trafic illicite du bois se fait rage à Kolda, plus précisément dans le département de Vélingara.
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La lutte contre le trafic illicite du bois se fait rage à Kolda, plus précisément dans le département de Vélingara.
Devant les autorités administratives et territoriales, les élus, les chefs de services déconcentrés et de nombreux acteurs du secteur minier des régions de Saint-Louis, Louga et Matam, le ministre des Mines, Birame Soulèye Diop, a relevé la pressante nécessité de réglementer l’exploitation non autorisée du sable, de la latérite et des matériaux de construction.
La direction régionale de l’Énergie et des Mines de Fatick veut donner une seconde vie à une ancienne carrière de sable située à Tattaguine
Exploitation minière dans le pôle Sud : 68 sites clandestins, selon le ministre Birame Souleye Diop
L’exploitation minière est un véritable problème à Ziguinchor, où plusieurs sites opèrent dans la clandestinité, selon le directeur régional de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, Daniel Ngom, qui a présenté un état des lieux partiel débuté depuis son arrivée dans la région.
L’exploitation minière est un véritable problème à Ziguinchor, où plusieurs sites opèrent dans la clandestinité, selon le directeur régional de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, Daniel Ngom, qui a présenté un état des lieux partiel débuté depuis son arrivée dans la région.
Goudomp - 5 personnes arrêtées et leur logistique saisie pour coupe et trafic de bois
Lesplaintes et complaintes des chefs des villages de Kambounda, de Darri Dialaly, d'Ampountoun et de Broghone, situés dans la commune de Sansamba (ouest de Sedhiou commune) ne se compte plus. Ils ont interpellé leur maire Ousmane Badji pour occupation irrégulière sans titre de leurs terres, pour destruction de la forêt avec abattage sauvage des gros arbres, pour installation de huttes à usage d'habitation, pour plantation sur des hectares d'anacardiers par des étrangers venus de la Guinée-Bissau.
Des conducteurs de "Waar gaïndé" ou taxis clandestins sont peu loquaces sur le sujet de cette voie routière qui relierait Dakar à Saint-Louis par la côte.
Lesplaintes et complaintes des chefs des villages de Kambounda, de Darri Dialaly, d'Ampountoun et de Broghone, situés dans la commune de Sansamba (ouest de Sedhiou commune) ne se compte plus. Ils ont interpellé leur maire Ousmane Badji pour occupation irrégulière sans titre de leurs terres, pour destruction de la forêt avec abattage sauvage des gros arbres, pour installation de huttes à usage d'habitation, pour plantation sur des hectares d'anacardiers par des étrangers venus de la Guinée-Bissau.
A l’occasion de la journée internationale de la forêt célébrée hier, les autorités en charge de la protection de l’environnement ont marqué l’évènement par une plantation symbolique d’arbres à l’école élémentaire Dembo Coly. Le choix du milieu scolaire s’explique par le fait que les bérets verts, conformément à la thématique de la journée, veulent instaurer l’éducation environnementale chez les futurs adultes de demain.
Dès l’apparition du virus Ebola en Guinée au mois de mars dernier, les autorités médicales du Sénégal avaient mis en place un dispositif sanitaire pour minimiser les risques de propagation de la pandémie du virus Ebola dans notre pays. Cette mesure avait été suive par un arrêté préfectoral autorisant la fermeture des frontières dans les zones à forte concentration humaine. Ce fut notamment le cas du marché hebdomadaire du Diaobé situé dans la région de Kolda.
TOUBA - À 48 heures de la célébration du Magal du Kazurajab 2011, les exploitants de débit de boissons clandestins se multiplient dans la périphérie de Mbacké et dans le centre ville et commencent à faire le plein. Une voiture de type Pick-up remplie de bouteilles de bières et de cartons de vin rouge et rose a été aperçue tard dans la nuit du 25 au 26 juin au quartier Palène. Après avoir déchargé sa marchandise, des témoins oculaires informent que le conducteur du Pick-up, venu du centre ville où il aurait déjà ravitaillé d'autres exploitants a pris la nouvelle route qui relie Mbacké à la ville sainte de Touba. La vente de boisson alcoolisée étant interdite à Touba et à Mbacké, la plupart des consommateurs en provenance de la ville sainte de Touba, commencent à investir les lieux créant une insécurité totale avec des vols récurrents, des agressions et un tapage nocturne infernal.
Les bars clandestins reviennent en force à Mbacké, chef lieu de département qui englobe la cité religieuse de Touba, selon le constat fait par le reporter de Walf Grand Place dans cette localité. Le quotidien « People » fait état d’un jeu de cache-cache auquel se livrent les forces de l’ordre et les exploitants de bars clandestins, depuis l’interdiction de la vente et de la consommation de l’alcool dans la ville sainte de Touba et la commune de Mbacké.
70.000 plants de jatropha cultivés sur 50 hectares, des aubergines, de l’arachide sur la moitié des 10 hectares de terre réservés à la production en contre saison. Un exemple séduisant pour le ministre de la Jeunesse, Mamadou Lamine Keïta, en tournée, mardi dernier, dans le cadre des vacances citoyennes. Beude Dieng, un village de la communauté rurale de Mérina Dakhar, département de Tivaouane, dans la région de Thiès, montre la voie aux jeunes attirés par l’émigration clandestine et le mirage de la ville.
L'idée du gouvernement de fermer les entreprises employant des étrangers en situation irrégulière fait débat en France, où la gauche réclame parallèlement une large régularisation des sans-papiers. Les ministres du Travail et de l'Immigration, Xavier Darcos et Eric Besson, ont annoncé pour les prochaines semaines un projet de loi punissant les patrons employant sciemment des sans-papiers dans les secteurs de la restauration, du bâtiment et du nettoyage notamment. Face à ces développements, Martine Aubry a déclaré dimanche que le PS était favorable à une "large" régularisation des étrangers qui revendiquent actuellement des papiers.
On a coutume de dire que quand les Ics éternuent, Darou Khoudoss s’enrhume. Il est vrai que le petit village très moderne accuse le coup des déboires des Industries chimiques du Sénégal. Soit. Il demeure que le conseil rural a pris en compte cette donne et fait preuve de beaucoup de créativité et d’ingéniosité pour faire face à la crise des Ics. Ainsi, un projet de 200 milliards, qui prend en compte toutes les dimensions du développement endogène et autocentré de la zone qui regorge de potentialités, est en incubation et se trouve à un stade très avancé. C’est un nouveau jour qui se lève sur Darou Khoudoss, qui connaît une morosité certaine...
L’odeur rebutante de l’eau empêche le visiteur de contempler ce beau spectacle des deux vis d’Archimède qui tournent et entraînent des mouvements ondulatoires de l’eau qui s’écrase sur les dents des vis telles des vagues qui harcèlent des blocs de roche sur le rivage. C’est à ce niveau que toutes les particules solides, les peaux de moutons, les morceaux de bois... sont recalés. « C’est dans ce poste de dégrillage que sont retenus des objets, des ordures lourdes », fait savoir El Hadji Lô, chef d’exploitation de l’usine. Derrière, se trouve le poste de dessablage avec son pont et ses dégraisseurs qui font des allers-retours en isolant, en même temps, la graisse et le sable.
Malgré son nouveau statut, Matam est encore loin d'être à la hauteur des autres capitales régionales de notre pays. Non seulement l'accès à la ville relève d'un véritable casse- tête du fait de son enclavement, mais il y a que l'inexistence d'une station d'essence constitue une très sérieuse contrainte pour les automobilistes. Avec l'isolement des trois ponts, suivi par des engagements des autorités administratives au plus haut niveau de l'Etat, les Matamois espéraient voir le problème de l'enclavement de leur ville définitivement résolu. Mais seulement aujourd'hui, la surprise est grande.
La police a procédé à Mbour à une opération de sécurisation le 12 mai dernier de 18 heures 30 à 5 heures du matin. Le bilan donne 108 interpellations pour divers motifs, 10 véhicules mis en fourrière et des pièces saisies. Cinq personnes ont été trouvées avec des armes blanches. Deux individus sont retenus dans les locaux de la police pour détention et usage de chanvre indien, tandis qu’une une fille de joie a été appréhendée pour défaut de carnet sanitaire. Deux exploitants de salle de cinéma sans autorisation administrative ont été conduits au commissariat de police avec leur matériel de projection (trois lecteurs Vcd).