Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Fiscalité du tabac et de l’alcool : Lansana Gagny Sakho alerte sur les risques de désindustrialisation
Taxes sur les transferts d’argent : Les explications du ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba
Fiscalité : Thérèse Faye et Cie veulent une surtaxe sur les bouillons et produits de dépigmentation, après les jeux du hasard
Le Cadre permanent de concertation des prestataires du transfert d’argent a exprimé, dans un communiqué publié le 17 septembre, ses « vives préoccupations » face aux nouvelles mesures fiscales appliquées au mobile money.
Face au secteur privé, Ousmane Sonko a souligné l'importance de la fiscalité. "Un pays vit de fiscalité, mais elle ne doit pas l'étouffer", a-t-il déclaré.
Le Premier ministre Ousmane Sonko a reçu, ce mercredi, les membres du secteur privé national. Il leur a présenté, comme promis, son plan de redressement.
Plan Sonko : poids de la fiscalité, une stratégie risquée
Alors que le monde redessine ses politiques énergétiques sous la pression climatique, le Sénégal vient de confirmer le maintien de prix stables sur les hydrocarbures, malgré une révision en cours de sa structure tarifaire.
Alors que le Sénégal entame la mise en œuvre de son ambitieux Plan de redressement économique et social, l’expert en finances publiques Maleine Amadou Niang partage son analyse
Le Plan de Redressement Économique et Social (PRES) 2025–2028, dévoilé par le gouvernement sénégalais, ambitionne de mobiliser 6 400 milliards FCFA sur quatre ans via la rationalisation des dépenses, le recyclage d’actifs publics, la fiscalité et des financements endogènes. Cependant, selon Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-USEG, cette enveloppe reste largement insuffisante face aux besoins réels. Une estimation synthétique révèle un besoin total de 22 480 milliards FCFA sur la période, incluant 5 715 milliards FCFA en 2025 (déficit budgétaire + amortissement + OPEX), 2 925 milliards FCFA de déficits cumulés (2026–2028), et 13 840 milliards FCFA d’amortissement de la dette publique (probablement sous-estimé selon les données du BSDP 2024).