À Guédiawaye, Mame Diarra G., 19 ans, a été déférée au parquet pour avoir étranglé à mort son nouveau-né
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À Guédiawaye, Mame Diarra G., 19 ans, a été déférée au parquet pour avoir étranglé à mort son nouveau-né
Le maraboutage est une pratique bien ancrée dans la société sénégalaise.
Elle entretenait une relation amoureuse avec un autre homme.
Elle n’a pas peur des critiques
Selon TMZ, Kylie Jenner et Travis Scott ont rompu après deux ans et demi de relation.
Adja Diallo et Mansour Dieng se retrouvent et …
Adja Diallo répond à Mansour Dieng
Mansour Dieng : Adja Diallo et sa grossesse cachée
Un jeune garçon de vingt ans, Vieux Touré et une jeune fille de quinze ans, Mariama Dramé, sont en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Sédhiou pour infanticide volontaire. La fillette, après avoir accouché, suite à une grossesse cachée à ses parents, a infligé des blessures à son bébé. Celui-ci, a fini par succomber à ses blessures. C’était le 19 octobre à l’hôpital régional de Sédhiou.
En voilà encore une qui ne veut pas donner la vie. Victime d’une grossesse indésirable qu’elle avait cachée, une jeune femme de 25 ans, a éventré son enfant avec une lame. Pour certains, elle voulait couper le cordon ombilical alors que pour d’autres, il s’agit tout bonnement d’un acte criminel.
Un couple de jeunes Chinois risque la prison pour avoir vendu leur fille, selon plusieurs médias anglo-saxons qui citent la presse locale, vendredi 18 octobre. L'argent récolté leur a notamment permis d'acheter un iPhone ainsi que des produits de luxe, selon The Independent (en anglais).
Pilule contraceptive d’urgence, NorLevo, comprimé de 1,5mg vendu dans une boîte à 1, est le nouveau médicament secret des jeunes filles sénégalaises. Utilisée après un rapport sexuel non protégé ou à risque, la pilule serait consommée aujourd’hui par presque 50% des filles qui ont atteint ou dépassé l’âge de la puberté, sans époux ou divorcées. L’Observateur a mené l’enquête !
Légalisation de l'avortement en cas d'inceste, de grossesse précoce et de grossesse non désirée, criminalisation et durcissement de la sanction en cas d'accidents de la route, Code de la presse... Tout le sens de l’interpellation du Législatif par la Justice, pour une révision des lois.
Née en 1985, Aïta Guèye est l’épouse d’un homme qui a émigré en Italie, quelque temps après leur mariage. La jeune dame ayant contracté une grossesse à l'occasion d'une relation adultérine avait accouché d'un enfant bien portant au centre de santé de Keur-Massar, où elle est retournée le lendemain avec le cadavre du bébé.
La césarienne, mode d’accouchement d’exception, prend, de nos jours, une place de plus en plus importante dans les hôpitaux et autres cliniques de Dakar. Sur quatre femmes, qui entrent en salle d’accouchement, au moins une passe sur la table d’intervention chirurgicale. Enquête sur une mafia organisée. Le nombre de femmes qui accouchent par césarienne a atteint, aujourd’hui, des proportions alarmantes à Dakar. Une fréquence trop élevée pour ne pas inquiéter. Sur quatre femmes qui entrent en salle d’accouchement, une passe sur la table d’intervention chirurgicale.
Phénomène de société ou fait banalisé? Qu’est ce qui pousse nos femmes à commettre un acte aussi ignoble que d’abréger la vie de leur enfant qu’elles ont porté pendant neuf mois dans leur ventre? Pauvreté? Honte? Peur de jeter l’opprobre sur sa famille ou d’entacher sa réputation? Rejet de leur partenaire en refusant d’assumer leur responsabilité? Les raisons avancées sont multiples, mais les causes profondes constituent bien souvent une énigme. Il ne se passe pas un seul jour sans que l’on ne relate à la Une des quotidiens des faits- divers d’une telle nature et avec une régularité ahurissante qui frise la mania.
Pourquoi de plus en plus de femmes accouchent par césarienne ? La question se pose actuellement dans la mesure où la pratique est devenue un phénomène de société. Ainsi, les principales concernées dans leur écrasante majorité fuient la redoutable table d'accouchement, au profit d'une opération indolore mais ô combien risquée, comme toute intervention chirurgicale. Les raisons qui expliquent cette situation sont multiples, selon un spécialiste de la place. Tout d'abord, les femmes ne veulent plus souffrir, ensuite cette pratique est gratuite dans les régions comme Thiès et Kolda, contrairement à la mise au monde par les voies naturelles, entre autres causes, explique le gynécologue. Tant que la table d'accouchement sera perçue comme une séance de torture, la césarienne aura toujours de beaux jours devant elle, surtout dans les cliniques.
Autrefois chez nous, la place de la femme était au foyer. Pour bien entretenir les enfants, leur donner une bonne éducation. Pendant que le mari se démène comme un beau diable pour trouver de quoi les nourrir. À cette époque, les jeunes filles ne partaient pas à l’aventure. Elles n’allaient même pas à l’école. Encore moins ne travaillaient. De nos jours, c’est tout à fait le contraire. Les femmes s’impliquent de plus en plus dans la vie active. Et ont de plus en plus un poids économique certain. Dans leur foyer conjugal ou plus généralement dans leur famille. Dans ce contexte de crise et de marasme économique, elles ne veulent plus être en rade dans la prise en charge économique du fonctionnement du foyer. Raison pour laquelle elles s’impliquent en tentant l’aventure. De nombreuses femmes s’y mettent. Mais surtout des étudiantes. Qui parlent dans l’inconnu. Pour se jeter souvent dans la gueule du loup de la dépravation des mœurs.
Célébré en grandes pompes, leur mariage n'a duré que le temps d'une rose. Indigné et surpris à la fois d'apprendre que sa toute nouvelle douce moitié traîne un début de grossesse qu'on lui a cachée, il ne se fait pas prier pour se débarrasser d'elle comme d'une vielle chaussette. Il réclame le remboursement de l'argent dépensé dans les plus brefs délais et menace d'ester en justice. L'affaire somme toute incroyable a pour cadre la Route de Boune avec pour acteurs le sieur Ch. L, 42 ans et une fille du nom de N. C. 24 ans. Longtemps émigré en Afrique du Sud, le bonhomme est revenu au bercail il y a tout juste quelques mois. Après avoir construit une maison à Thiaroye et ouvert une quincaillerie avec l’argent amassé au pays de Nelson Mandela durant plusieurs années de dur labeur, il n'avait qu'un seul souci :
Le département de Bakel en est tout retourné. Un marabout, dont l'identité est soigneusement cachée, a engrossé sa patiente, épouse d’un émigré. Coumba Touré, âgée de 30 ans, après avoir accouché d'un mignon bébé de sexe masculin, est allée déposer l'enfant entre les mains d'une commerçante pour prendre la poudre d'escampette. Arrêtée et déférée au parquet par la gendarmerie, Coumba est actuellement à la Maison d'arrêt et de correction de Tambacounda. Un grand marabout de la région orientale dont l'identité n'a pas été révélée est activement recherché.