C’est une manipulation politique. Ce n’est pas un scandale économique
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C’est une manipulation politique. Ce n’est pas un scandale économique
Le principal opposant en Guinée-Bissau, l'ex-Premier ministre Domingos Simoes Pereira, ne figure pas parmi les candidats autorisés à se présenter à l'élection présidentielle du 23 novembre, selon une liste provisoire incluant le chef de l'État sortant Umaro Sissoco Embalo et publiée lundi par la Cour suprême.
La scène politique française connaît depuis plusieurs mois un bouleversement inédit. Réélu en 2022 mais privé d’une majorité stable à l’Assemblée nationale en 2024, le chef de l’État se trouve confronté à une crise institutionnelle majeure.
Vision Sénégal 2050 : Une souveraineté de façade selon Babacar Lo Ndiaye
Lanceurs d’alerte au Sénégal : entre espoir de transparence et nécessité de prudence (par Alassane B. DIARRA)
La CPI rejette les sanctions américaines contre ses responsables
« La vérité est un chemin qui n'a pas peur de la solitude. » Cette citation de Confucius résonne avec une acuité particulière dans les démocraties qui peinent à se réguler. Au Sénégal, le projet de loi n°13/2025 sur les lanceurs d'alerte est une initiative législative majeure, présentée comme un pilier de la transparence. Toutefois, son principal dispositif, une prime de 10 %, soulève des questions fondamentales sur la santé de la gouvernance publique.
Une arrestation injustifiable, une humiliation pour l’expert et un précédent dangereux pour la République.
Les avocats de cinq anciens ministres sénégalais inculpés pour des malversations présumées ont dénoncé jeudi des procédures "inéquitables et illégales" visant l'entourage de l'ex-président Macky Sall, annonçant la saisine de deux instances onusiennes.
Dans une analyse intitulée « La souveraineté économique : entre mythe politique et dépendance structurelle », Pr Amath Ndiaye, économiste et Professeur à la FASEG-UCAD, décortique la notion de souveraineté économique, souvent invoquée dans les discours politiques, notamment au Sénégal
Le 26 mars 1991, le peuple malien écrivait l'une des pages les plus vibrantes de son histoire contemporaine.
En pleine phase de consolidation institutionnelle, le Mali vient de doter l'une de ses principales structures de contrôle d’un nouveau visage.
«Monsieur le Président de l’Assemblée nationale, il s'agit de la nouvelle Cour de justice.
Après une lecture de l’œuvre de l’historienne Séverine Awenengo Dalberto, force est de reconnaître la qualité certaine de la production articulée autour d’une documentation riche et variée. Résultat de deux décennies de recherche.
Un an après l’accession au pouvoir du président Bassirou Diomaye Diakhar Faye, la liberté de la presse au Sénégal traverse une période critique et agonisante, marquée par des atteintes sans précédent. La convocation de plusieurs journalistes, le 25 avril 2025, pour leur notifier l’interdiction de diffusion de leurs médias, illustre la dégradation rapide de l’environnement médiatique.
Le Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT-Sénégal) dénonce une « entreprise de liquidation » de la presse nationale orchestrée par le régime en place. Dans une déclaration, le parti pointe l’annulation de l’effacement fiscal post-Covid, le blocage des comptes bancaires de médias, la suspension des subventions et contrats publics, ainsi que la confiscation des bouquets audiovisuels d’EXCAF.
Par une décision rendue le 23 avril 2025, le Conseil constitutionnel du Sénégal a déclaré inconstitutionnelle la Loi d’interprétation de la Loi d’amnistie, adoptée par l’Assemblée nationale, le 02 avril 2025.
Invité de l’émission Point de Vue de la RTS, Déthié Fall, président du Parti Républicain pour le Progrès (PRP), a salué la décision du Conseil Constitutionnel d’invalider la loi interprétative de l’amnistie. Pour lui, ce verdict illustre l’indépendance de la justice sénégalaise et la séparation des pouvoirs, des principes chers au président Bassirou Diomaye Faye et au Premier ministre Ousmane Sonko.
"Contre mauvaise fortune, bon coeur". La loi portant amnistie de 2024 était mauvaise ; celle dite interprétative de 2025 est pire.
Alors que les révélations sur la mauvaise gestion des Fonds Force Covid-19 ravivent l’indignation populaire, une question majeure refait surface :