Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Burkina: une cinquantaine de civils tués dans des attaques jihadistes depuis mai, selon HRW
Les jihadistes du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM) mènent une forme de "jihad économique" dans l'ouest du Mali visant à fragiliser la région, estime le think tank Timbuktu Institute dans un rapport publié vendredi.
Les jihadistes au Mali ont imposé ces derniers jours un blocus dans le sud et l'ouest du pays, zones frontalières avec le Sénégal et la Mauritanie d'où proviennent chaque jour des produits vitaux pour l'économie du pays.
Libéré sain et sauf, à l’instar de ses cinq collègues kidnappés en territoire malien, Birane Ndiaye raconte à L’Observateur leur calvaire
Des jihadistes ont tué au moins 63 personnes lors d'une attaque vendredi soir dans une ville du nord-est du Nigeria, a indiqué le gouverneur de l'Etat de Borno.
Le porte-parole du gouvernement sénégalais, Moustapha Njekk Sarré, a confirmé à l'AFP : « C'est confirmé », concernant l'enlèvement de six chauffeurs routiers sénégalais par des jihadistes présumés dans l'ouest du Mali, jeudi.
Les jihadistes du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM) ont imposé un "blocus" de zones de l'ouest du Mali, attaquant des véhicules de transport et perturbant les échanges avec le Sénégal d'où proviennent des produits essentiels comme le carburant, ont affirmé vendredi à l'AFP des opérateurs économiques maliens.
L’Union des Routiers du Sénégal (URS) exprime sa profonde inquiétude après l’enlèvement de six de ses membres au Mali par des groupes armés djihadistes.
Mali: des jihadistes prennent le contrôle d'une localité stratégique
Côte d'Ivoire: quatre morts et un disparu dans une attaque d'hommes armés près de la frontière du Burkina
Un proche du chef du groupe jihadiste Boko Haram a démenti vendredi la mort de ce dernier, annoncée la veille par l'armée du Niger qui avait assuré l'avoir tué lors d'une frappe aérienne dans le bassin du lac Tchad.
Dans le nord du Togo, confronté à des incursions de groupes islamistes présents de l'autre côté de la frontière au Burkina Faso, les violences jihadistes s'intensifient depuis le début de l'année, malgré un silence assumé des autorités pour "ne pas démoraliser" les troupes.
La junte burkinabè a déclaré lundi la coordonnatrice résidente de l'ONU "persona non grata" pour sa "responsabilité" dans un rapport "véhiculant des informations graves et mensongères" du secrétaire général de l'ONU sur les enfants et le conflit armé au Burkina Faso, miné par des violences jihadistes.
Le président en exercice de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao), le Sierra léonais Julius Maada Bio, a plaidé jeudi pour un retour au sein de l'organisation des pays "frères" de l'Alliance des États du Sahel, lors d'une visite officielle en Guinée-Bissau.
Recrudescence des attaques jihadistes, très fortes réductions de l'aide internationale, hausse du coût de la vie: la faim menace dans le nord-est du Nigeria, région frontalière du Niger et du Cameroun, où plus d'un million de personnes sont confrontées à des malnutritions sévères.
Ce retrait français, amorcé ces dernières années, intervient alors que la région du Sahel est confrontée à des attaques jihadistes croissantes et très meurtrières au Mali, au Burkina Faso et au Niger.
Mardi dernier, des jihadistes présumés ont mené des attaques coordonnées à Niono, Molodo, Sandaré, Nioro du Sahel, Gogui, Kayes et Diboli, des localités du Mali.
Raids sanglants au Mali, incursions dans de grandes villes au Burkina, lourdes pertes militaires au Niger: les jihadistes ont intensifié ces dernières semaines leurs offensives contre les armées au Sahel.
L'armée malienne s'est retirée vendredi 6 juin 2025 d'un de ses principaux camps militaires dans le centre du pays, après deux attaques attribuées à des jihadistes ayant coûté la vie à des dizaines de soldats en quelques jours dans un contexte de recrudescence des violences au Sahel, selon des sources militaires et des autorités locales.
L'armée malienne s'est retirée vendredi d'un de ses principaux camps militaires dans le centre du pays, après deux attaques attribuées à des jihadistes ayant coûté la vie à des dizaines de soldats en quelques jours dans un contexte de recrudescence des violences au Sahel, selon des sources militaires et des autorités locales.