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La distributeur public d'électricité du Ghana a lancé mardi une vaste campagne visant à recouvrer les dettes des institutions publiques et privées et a procédé à la coupure de l'électricité de plusieurs sociétés stratégiques.
O. T., laveur de voiture, sera déféré ce mercredi au parquet du Tribunal de grande instance de Pikine-Guédiawaye.
Deux fusillades dans des bars en Afrique du Sud, où les assaillants semblent avoir tiré au hasard sur la clientèle...
Des stationnements anarchiques, des commerçants qui s'installent sur l'axe routier jusqu'à créer un réel désordre, des points de lavages qui pullulent dans tous les coins de rue avec les ruissellements des eaux qui envahissent les quartiers...
C’est une fin tragique pour une cavale sur fond de romance qui passionnait l’Amérique: la police a arrêté lundi dans l’État de l’Indiana un détenu “extrêmement dangereux”, tandis que l’agente pénitentiaire, qui l’avait aidé à s’évader fin avril et était également en fuite...
Durant la fête de Tabaski, les domestiques se font rares à Dakar.
Un jeune homme âgé d'une trentaine d'années répondant au nom d'Hady Niang, laveur de...
Outre les bouchons qu’elles génèrent à tous les coins de rue de Dakar, les nombreux véhicules en circulation dans la capitale sénégalaise ont favorisé l’expansion d’un travail informel : laveur de voitures.
Il fleure bon un parfum de corruption et de népotisme dans les procédures d'attribution des marchés du Programme d'appui au développement agricole et à l'entreprenariat rural (Padaer).
Il existe un risque plus certain de contaminations infectieuses dans les voitures que dans les toilettes. Vos toilettes sont-elles plus propres que l'habitacle de votre voiture ? Oui, selon les résultats d'une étude commandée par CosmétiCar, un spécialiste du lavage auto sans eau.
La communauté chrétienne de Saint-Louis exige la délocalisation du foirail et du garage qui jouxtent leur cimetière. Elle tient à la tranquillité de ses morts. La communauté chrétienne de la ville de Saint-Louis ne veut plus que la devanture de son cimetière serve de lieu de vente de moutons et de lavage de voitures. Elle l’a fait savoir en marge d’une opération de nettoiement et de désherbage de ces lieux en prélude à la fête de la Toussaint prévue le 1er novembre prochain.
Pour des milliers de jeunes venus à Dakar en faveur de l’exode rural, être laveur de voitures est devenu un job d’avenir. Sans être juteux et lucratif à souhait, le job fait florès. Et serait pour eux, la porte d’entrée à une nouvelle vie.
La Tabaski, fête du sacrifice certes, mais aussi une période faste pour les commerçants et préposés à certains métiers. A côté des tailleurs, cordonniers et commerçants de condiments, on note une série de petits métiers qui se développent autour des foirails de fortune. Ces petites activités vont de la vente de cordes, au lavage ou décrassage de moutons en passant par le marquage du bétail et la vente de foin. Seulement, tous ces préposés au petit commerce ne retrouvent pas le sourire comme les années passées. Ce n’est pas encore le business. Les affaires marchent timidement s’accordent-ils à dire.
Les éléments de la brigade de gendarmerie de Mbour ont intercepté des hommes qui étaient en possession de faux billets de francs cfa d’une valeur de 50 millions. Un informateur a mis les hommes de l’adjudant-chef, Mbaye Seck, sur leur chemin. Les faussaires, à bord de deux véhicules, avaient quitté Dakar pour se rendre à Touba où le lavage des billets noirs devait se faire. Mais ils ont dû bifurquer à Mbour où un rendez-vous était fixé pour peaufiner la stratégie à suivre. Le réseau est fort d’une dizaine de personnes. Un instituteur se trouve être le cerveau. Malheureusement, ils n’auront pas l’occasion de se servir des faux billets en coupures de 10.000 francs cfa. Ils ont été interceptés par les gendarmes à qui le signalement des voitures a été donné. Placés en garde à vue, ils ont finalement été déférés au parquet.
Accusé et trainé dans la boue par le régime en place pour un supposé vol de tableaux et autres objets au Palais de la République, le Chef de l’Etat sortant du Sénégal vient d’être réhabilité dans son honorabilité et sa dignité. En effet, le Palais vient de transmettre à Me Wade, par l’entremise de la gouvernante, une liste de 163 objets lui appartenant.
Accusé et trainé dans la boue par le régime en place pour un supposé vol de tableaux et autres objets au Palais de la République, le Chef de l’Etat sortant du Sénégal vient d’être réhabilité dans son honorabilité et sa dignité. En effet, le Palais vient de transmettre à Me Wade, par l’entremise de la gouvernante, une liste de 163 objets lui appartenant.
Le pèlerinage à La Mecque, outre son aspect religieux, est devenu un moment privilégié pour faire fortune pour des Saoudiens et des étrangers. Par son biais, des secteurs comme l’hôtellerie, la restauration et le petit commerce sont en plein essor dans tout le royaume. Et des milliards de rials entrent chaque année dans le pays.
Le Professeur Abdoulaye Bathily, secrétaire général de la Ld ne s’en cache pas. Wade vu son âge ne peut faire l’objet de poursuites lorsqu’il quittera le pouvoir, mais son action ne peut demeurer impunie, et surtout ceux qui ont bénéficié de son système devront répondre de leurs actes. Que dirons nous aux générations futures lorsqu’elles nous interpellerons sur le gaspillage, les magouilles et le clientélisme dont elles seront victimes à cause du régime libéral ? C’est à cette question qu’il pose lui-même que le Professeur Abdoulaye Bathily répond dans un entretien vidéo qu’il a accordé à Sununews.
Dakar, Seneweb.com - Les habitants des localités de Diaxay 1,Diaxay2 et de la cité gendarmerie de Keur Massar sont dans le désarroi total. Car, ils n'ont pas vu, depuis le vendredi 2octobre une gouttelette d'eau sortir de leur robinet. Une situation qui a ralenti leurs activités domestiques ce week-end comme le lavage des linges sales. En effet, une coupure d'eau s'est signalée depuis trois jours dans cette zone. Alors que les enfants vont à l'école ce matin(5 octobre 2009) pour la rentrée scolaire, ils n'ont même pas de quoi rincer la figure. Bassines à la main, les femmes, accompagnées des hommes qui tiennent eux des bouteilles vides de 20 litres ont parcouru durant le week-end, des kilomètres pour rechercher de l'eau.
«Il n’y a pas de sot métier», a-t-on coutume de dire. Même bon nombre d’individus préfèrent tirer le diable par la queue et rester sans travail plutôt que de faire de petits boulots. Cireur, vendeur de journaux, laveur de voitures et autres sont aujourd’hui de petits boulots qui nourrissent pourtant bien leur homme et leur assurent une vie décente. Cependant, force est de reconnaître qu’il est extrêmement rare de voir, au Sénégal, des jeunes issus des villes s’adonner à ce type de travail. Si les jeunes citadins disent que «ces boulots ne permettent pas d’avoir une vie correcte», leurs compatriotes qui sont issus des zones rurales font le contraire et ne se plaignent pas outre mesure.
