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L'Alliance Pour la République ( APR) traverse des moments difficiles à Linguère à quelques jours du démarrage de la campagne pour les législatives du 17 Novembre prochain. Quatre maires dont 3 de l’APR et un de l'Union pour le renouveau démocratique sur les 19 tournent le dos à leur désormais ex-mentor Macky Sall pour rejoindre la mouvance présidentielle notamment le Pastef.
L'Alliance Pour la République ( APR) traverse des moments difficiles à Linguère à quelques jours du démarrage de la campagne pour les législatives du 17 Novembre prochain. Quatre maires dont 3 de l’APR et un de l'Union pour le renouveau démocratique sur les 19 tournent le dos à leur désormais ex-mentor Macky Sall pour rejoindre la mouvance présidentielle notamment le Pastef.
Après les étudiants, les maires montent au créneau pour réclamer leurs fonds de concours et de dotation
La majorité des maires du département de Dakar a affiché sa volonté ferme de tourner le dos à la Coalition Taxawu Dakar de Khalifa Sall à la prochaine élection du Haut conseil des collectivités territoriales (Hcct).
La présidente du Conseil départemental de Tivaouane estime que les résultats obtenus par Benno Bokk Yakaar et ses alliés de la coalition du «Oui», aurait pu être meilleurs à Tivaouane où le Oui totalise 46.539 voix, contre 34.233 voix pour le Non, avec un taux de participation de 32% selon les résultats provisoires rendus publics par la commission départementale de recensement des votes. Dans un entretien à Seneweb, Seynabou Gaye Touré revient sur le travail d’équipe et de longue haleine qui a consacré, dimanche, la victoire du camp présidentiel, dans la cité religieuse de El Hadji Malick Sy. Morceaux choisis.
Ancien Ministre et ex-porte-parole du Président de la République, Serigne Mbacké Ndiaye était la voix de Me Wade, aux côtés de qui il s’est battu durant l’élection présidentielle de 2012. Dans cette interview accordée à Seneweb, il s’épanche sur les rapports qu’entretiennent Me Abdoulaye Wade et le Président Macky Sall, d’hier à aujourd’hui, dans un discours ponctué de révélations.
Khalifa Sall, le maire de la Ville de Dakar devrait surveiller davantage ses arrières, s’il ne veut se retrouver bientôt « délesté » d’une bonne partie des ressources collectées à partir de la patente payée par les entreprises logées dans l’agglomération de la capitale.
L’APR, votre parti, vient d’entériner votre candidature à la présidence de l’Association des maires du Sénégal. Quel commentaire cela vous inspire ? Après le secrétariat national, la commission Ad hoc qui a piloté les discussions, je remercie mes collègues maires qui étaient candidats et des candidats légitimes, qui ont accepté de sacrifier leurs candidatures en se désistant pour permettre à notre parti de présenter un seul et unique candidat. Ils auraient pu maintenir leurs candidatures car, aucun statut, aucun règlement intérieur ne pouvait les empêcher d’être candidats au poste de président de l’AMS. Ils ont compris que l’intérêt collectif était supérieur aux intérêts individuels. Ils ont compris que l’AMS gagnerait à conserver une longue tradition de consensus de partage et d’équilibre.
La grève des travailleurs des Collectivités locales serait liée à une guerre entre les maires des Dakar et le gouvernement, en guise de protestation contre l’Acte 3 de la décentralisation. «Libération» informe que l’Etat avait viré 700 millions à la Mairie de Dakar. Somme qui devait être ventilée vers les 19 communes d’arrondissement de Dakar pour payer les salaires des travailleurs des collectivités locales. Salaires qui tournent autour de 150 millions par mois.
A la tête du célèbre holding CCBM, l'homme d'affaire Serigne Mboup, qui s'active dans la distribution, le commerce, l'Agriculture pour ne citer que ces centres d’activité, ne voit pas l'ouverture des frontières et l'arrivée tous azimuts d'entrepreneurs étrangers d'un œil rassurant. Autant considère-t-il que des pays comme la Chine, les Etats-Unis, la France défendent bien le business de leurs propres entreprises, autant estime-t-il que le privé sénégalais est aujourd'hui délaissé, par la faute conjuguée de l’État et des Sénégalais de façon générale.
C’est confirmé. L’Etat va respecter le rendez-vous du 1er août 2013, retenu pour la livraison définitive des travaux de l’Autoroute à péage Dakar-Diamniadio (25 Km). C’est ce qui ressort, hier, de la rencontre entre le Directeur général de l’Agence chargée de la réalisation des Grands travaux de l’Etat (Apix), Diène Farba Sarr, le concessionnaire de l’Autoroute à péage Senac-Sa et les maires des communes impactées par les travaux du péage. «Nous avions dit que l’autoroute va ouvrir le 1er août. Alors ce 1er août est pour nous une date contractuelle que nous allons respecter», a confié le Dg de l’Apix.
Tour d’horizon de ces putschs qui n’ont pas fait long feu par malchance, coup du sort ou amateurisme. Ou qui ont eu des effets désastreux sur les pays qui en ont été victimes.
Le maire de Ziguinchor, Abdoulaye Baldé estime que la crise casamançaise trouvera son épilogue si sa gestion est confiée à un organisme international neutre qui n’a aucun intérêt politique et économique dans ce dossier. Suffisant pour exclure tout ressortissant sénégalais de la gestion de ce conflit qui, selon lui, en fera un « fonds de commerce politique ». Par ailleurs, il considère l’annonce des 360 milliards du gouvernement pour le développement de la Casamance, comme des « promesses politiciennes qui ne vont pas être tenues »
Dans un pays démocratique, personne ne devrait se permettre de reprocher aux organisations syndicales de revendiquer, d’exiger l’amélioration des conditions de travail de leurs membres. Des grèves, nous en avons toujours connues, avec les Socialistes comme avec les autorités coloniales. Elles se sont cependant exacerbées avec l’avènement la gouvernance des Wade, se signalant en particulier par leur régularité, leur étendue et le caractère généralement matériel de leurs revendications. Rares sont les secteurs et sous secteurs qui sont épargnés aujourd’hui par ces grèves. Pour ne prendre que l’exemple de l’Éducation nationale, l’année (scolaire et universitaire) 2011-2012 est pratiquement compromise. Il convient donc de s’employer rapidement à cerner les problèmes sérieux et les dégâts qu’elles n’ont pas manqué de causer, et à leur trouver des solutions.
Dans un pays démocratique, personne ne devrait se permettre de reprocher aux organisations syndicales de revendiquer, d’exiger l’amélioration des conditions de travail de leurs membres. Des grèves, nous en avons toujours connues, avec les Socialistes comme avec les autorités coloniales. Elles se sont cependant exacerbées avec l’avènement la gouvernance des Wade, se signalant en particulier par leur régularité, leur étendue et le caractère généralement matériel de leurs revendications.
Le vieillard a le visage délavé, les yeux livides et le regard assombri. Les spécialistes de la retouche n’ont fait aucun effort pour le rajeunir. Il doit rester vieux pour la circonstance. Devant lui se tient sa propre copie en plus jeune, les sourcils froncés, les yeux plissés comme pour affronter un avenir qui certes inquiète, mais ne lui fait pas peur. Il apparaît au premier plan sous des couleurs plus gaies, qui tranchent d’avec la silhouette en noir et blanc du père, la lèvre tuméfiée et le menton replié. Pour le reste
Le Pds va-t-il reprendre du poil de la bête dans certaines communes d’arrondissement de la banlieue ? En tout cas, c’est tout comme, à voir ces vagues de démissions de conseillers municipaux au profit du Pds. Ce week-end, ce sont 25 conseillers de Bennoo Siggil Senegaal qui ont décidé de rejoindre les prairies bleues grâce à l’entremise de Serigne Mamadou Bousso Lèye.
Voyez vous-même ! Pour couvrir des failles et suppléer des carences, Bennoo Siggil Sénégal soigne les apparences. Séminaires, journées d’études et ateliers, l’opposition à palabres s’enracine. Sur le terreau fertile d’intérêts fatalement contradictoires, elle cultive la montre et récolte du temps.
Le maire de Dakar et sa caravane ont échangé, hier, avec les marchands ambulants qui occupent les alentours du terminus de Liberté 5 pour les convaincre de quitter les lieux avant octobre, date de démarrage du projet de pavage des rues de Dakar. Les ambulants adhèrent au projet, mais posent leurs doléances. «Le pays n'est pas dur, mais c'est la loi qui l'est.» Ces propos sont de Khalifa Ababacar Sall, maire de la ville de Dakar, qui s'adressait hier aux marchands ambulants de la commune d'arrondissement de Dieupeul-Derklé dans le cadre de la caravane d'échanges, de communication et d'information qui en est à son deuxième jour.
Pour accélérer le processus de modernisation des villes et permettre aux citoyens de construire en toute légalité, le Chef de l’Etat a décidé hier, en réunion de Conseil des ministres, de transformer les permis d’occuper en titres fonciers, à des coûts sociaux. Des répercussions sont attendues sur le prix de cession des maisons et le coût du loyer. Le Conseil des ministres s’est réuni le jeudi 21 janvier 2010, à partir de 10 heures, au Palais de la République, sous la présidence de Son Excellence Maître Abdoulaye Wade, président de la République. Le Chef de l’Etat a fait part au Conseil des audiences qu’il a accordées à diverses personnalités parmi lesquelles :
