Mauritania Hackers : Menace sur les banques sénégalaises !
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Mauritania Hackers : Menace sur les banques sénégalaises !
Une alerte préoccupante secoue le secteur financier sénégalais. Selon des informations récentes, des failles de sécurité potentielles menaceraient plusieurs institutions bancaires et entreprises spécialisées en cybersécurité au Sénégal.
Que Dieu fasse que l’année 2022 ne ressemble pas à l’année 2021, pour ce qui est de la paix civile, notre volonté commune de vivre ensemble !
Les yeux rivés sur Free, Orange Sénégal ne semble pas avoir vu venir la menace Wave sur le segment du mobile money.
«Injustices», «arnaques», «pratiques déloyales» Famara Ibrahima Cissé, ne mâche pas ses mots à l’endroit des banques. En effet, le Président de l’Association des clients et sociétaires des institutions financières (Acsif), dans cet entretien accordé à Seneweb, décrit, non sans le dénoncer, les «nombreuses arnaques» dont font l’objet la clientèle de banque.
Les entreprises nationales souffrent toutes de mêmes maux semble-t-il. Et pour une bonne part, leurs ennuis semblent aggravés par les politiques publiques, qui font la part belle à des étrangers, sans que les règles de la transparence ne soient respectées. Le Cnp leur sert de Mur des lamentations.
Pour justifier des transferts de fonds saisis, les dirigeants de la banque centrale de la République de Guinée expliquent qu’elles ont l’habitude d’opérer régulièrement ce genre de transaction. C’est leur droit. Ce n’était pas en leur pouvoir de dire qu’ils avaient contacté les douanes sénégalaises, alors qu’ils n’ont pu en apporter la preuve. Mieux, les justificatifs qu’ils présentent, les enfoncent encore plus.
Courtier d'affaires ! Une profession très libérale, peu connue, rentable mais risquée. Par le truchement de plusieurs scandales qui portent les noms d'Aïdara Sylla, Abdou Mangane et plus récemment Aïda Ndongue, les courtiers Vip sortent de l'ombre. Et de quelle manière... Face visible d'appareils financiers complexes, ces personnes rompues aux tâches obscures, ne sont pas que négatifs pour l'économie; l'argent n'aimant pas toujours le bruit...
Le je – première personne du singulier – est détestable ; tout comme le moi est haïssable. Mais, ils siéent amplement au moment. Détestable et haïs- sable à souhait, mais surtout alarmant. Détestable et haïssable, car puant à mille lieues un mensonge pensé par d’autres et architecturé pour partie par un corps de métier auquel j’appartiens. Des conséquences de ce qui précède, il m’est aussi donné à voir que le moment est singulièrement alarmant, car projetant une insoutenable image d’une Autorité qui se cherche, pour ne pas dire faible, écartelée, livrée aux influences des théoriciens et exécuteurs du mensonge.
Pas de répit pour Amath Dansokho.S’étant volontairement retiré de la direction du Pit, le flamboyant coordonnateur de Bennoo Siggil Senegaal sera devant le juge d’appel le 2 juillet prochain. Ce, pour la même affaire qui avait valu un séjour carcéral à son camarade Ibrahima Sène. Le désormais ex-secrétaire général du Pit répondra devant la Cour d’appel de Dakar, le 2 juillet prochain. Sa convocation est consécutive à l’affaire de blanchiment d’argent issu de Côte d’Ivoire,
ASI24 - (Dakar) La faillite de Dubaï, sanctuaire de la démesure, annoncée mercredi par la presse internationale, devrait intéresser particulièrement les autorités sénégalaises compte tenu du projet portuaire promu par Dubaï World et l’onde de choc quasi planétaire de l’annonce. Dubaï World, « épine dorsale de l’économie de cette petite nation du Golfe, pilier de la fédération des Emirats arabes unis », considéré, par ailleurs comme un « holding attrape-tout (transports, ports, immobilier, loisirs...) à Dubaï comme à l’étranger », selon le quotidien français Le Monde, doit le financement de son expansion effrénée « par un endettement colossal auprès des investisseurs, en particulier auprès du grand frère, l’émirat voisin d’Abou Dhabi, et des banques internationales ».
Dans son commentaire du 03 mars 2008 à la radio sud FM, sur la décision du Président de la république de recevoir l’opposition afin de renouer le dialogue, Abdou latif Coulibaly est resté égale à lui-même c'est-à-dire faisant une fois de plus montre d’un acharnement à l’égard de Me Wade qu’il accuse de tous les péchés d’Adam et d’Eve. Mais là n’est pas le problème pour qui connait la haine de ALC à l’égard de Me WADE et sa famille depuis 2004 c'est-à-dire depuis que ce dernier à renoncé à le nommer Directeur Général (DG) de la Radio et Télévision du Sénégal (RTS). Ce qui me pose problème c’est le fait qu’en tant que patriote et digne fils du pays ALC contrairement à la grande majorité des sénégalais ne s’est pas réjoui de cette initiative de dialogue.
Jeudi 12 juin 2008. Au journal télévisé, un communiqué de presse, suivi d’une cérémonie de signature de partenariat, est rendu public. Il parle de la présence de Pétrosen dans le capital du projet de dépôt de produits d’hydrocarbures et de produits liquides. Présentés comme deux vieux copains, M. Amadou Mbacké Sèye et M. Samuel Sarr jouent les acteurs. Ils annoncent l’entrée de l’Ètat du Sénégal dans le capital du dépôt; qui devient du coup Sen-Stock. Que s’est-il passé ? Comment en est-on arrivé là? Que se cache derrière cet accord?
L’insécurité dans laquelle notre pays est plongé, et l’absence totale de l’autorité étatique aujourd’huiNotre pays est en train de plonger dans une insécurité globale, sans que nous en prenions conscience tout à fait. L'insécurité globale, dans laquelle s’engouffre notre pays traduit l'absence notoire d'autorités étatiques conscientes de leurs responsabilités et de la gravité de la situation. Sans crier gare, avec le régime de l’Alternance, dans lequel, on peut noter sans conteste une dégradation inquiétante de l’autorité dans le plein sens du terme ou mieux, une absence quasi-totale, nous nous acheminons lentement, mais sûrement vers une insécurité totale dans l’ensemble du territoire national.
Entre schtroumpfage, complicité bancaire, transferts électroniques, raffinage, le fléau du blanchiment d’argent sale sent de plus en mauvais au Sénégal. En épinglant dans son rapport 2008 le secteur de l’immobilier principalement, le Giaba (Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’ouest), devrait tout de même insister sur la responsabilité même des banques de la place de même que sur la collaboration des acteurs non financiers.
C’était le premier conseil d’administration du groupe Cbao-Groupe Attijari wafa bank, nouvelle entité créée par des fusions tous azimuts de banques de la place. La réunion qui était de la plus haute importance s’est déroulée vendredi dernier à Dakar. En présence naturellement des nouveaux maîtres du jeu, les incontournables marocains. Première grande mesure : Abdoul Mbaye, jusqu’ici Président directeur général d’Attijari Sénégal, devient simple administrateur. Il faut savoir qu’Abdoul Mbaye avait porté à la tête d’Attijari Sénégal comme Président directeur général au début du mois d’août 2007.
« Je confirme que la situation budgétaire du Sénégal est préoccupante... Mais les fondamentaux économiques sont bons », a déclaré le représentant résident du Fonds monétaire international (Fmi) au Sénégal et en Gambie, Alex Ségura, à sa sortie d’audience avec le Premier ministre, Aguibou Soumaré, avant de s’empresser « d’inviter le Sénégal à prendre des mesures d’ajustement pour équilibrer son budget ». Un double langage qui embrouille plus qu’il n’éclaire et pousse à s’interroger en ces termes : Segura aurait-il été menacé par les autorités, d’autant plus que ces prévisions apeurent les nationaux qui risquent de thésauriser leurs fonds et font fuir les investisseurs.
Le ministre de l’Intérieur, Cheikh Tidiane Sy, a remis jeudi un chèque d’une quarantaine de millions de francs (100.000 dollars) à la famille du brigadier Mayoro Kébé tué le 29 septembre dernier au Darfour (Soudan), a constaté l’APS.
Le chèque, qui constitue l’assurance-décès, a été remis à un représentant de la famille du défunt policier, en la personne de El Hadj Abdourahmane Dia. « Les autorités lui ont rendu hommage. Aujourd’hui, il s’agit d’une formalité qui consiste à remettre à la famille ce chèque de 100.000 dollars et une note de la commission de l’Union africaine (UA) », a déclaré M. Sy