Le 10 octobre 2025, l'agence de notation Moody's a abaissé la note souveraine du Sénégal de B3 à Caa1 (perspective négative), invoquant des "risques croissants pour la trajectoire budgétaire" et une "position de liquidité affaiblie".
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Le 10 octobre 2025, l'agence de notation Moody's a abaissé la note souveraine du Sénégal de B3 à Caa1 (perspective négative), invoquant des "risques croissants pour la trajectoire budgétaire" et une "position de liquidité affaiblie".
L’État du Sénégal n’a pas tardé à réagir, suite à la dégradation de la note du pays
Ziguinchor : Les agents municipaux exigent la revalorisation salariale et menacent le maire d’actions musclées
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Wave, loin d’être un acteur marginal, s’inscrit comme un moteur du dynamisme économique sénégalais
Le Sénégal fait actuellement face à des difficultés financières sans précédent. Les autorités essaient de mettre les bouchées doubles pour collecter davantage de ressources afin de faire face aux priorités.
La Note de conjoncture du second trimestre 2025, publiée par la Direction de la prévision et des études économiques, met en lumière une amélioration sensible de la situation budgétaire.
Les taxes propulsent les recettes de l’État à +73,9 milliards FCFA
Le Sénégal peut-il se passer du FMI ?
Réunis à Saly dans le cadre de leur retraite scientifique, les membres de l’Amicale des Inspecteurs du Trésor du Sénégal (AITS) ont consacré leurs travaux à une réflexion sur le rôle stratégique que doit jouer l’Administration du Trésor dans la mise en œuvre de la Vision 2050 du Sénégal, lancée par le Président de la République
Au deuxième trimestre 2025, le Sénégal a mobilisé 2 226,3 milliards FCFA de recettes budgétaires, approchant déjà la moitié de l’objectif annuel.
Au deuxième trimestre 2025, le Sénégal a déjà mobilisé 2 226,3 milliards FCFA de recettes budgétaires, atteignant près de la moitié de son objectif annuel.
Après la publication du rapport d’exécution budgétaire (2nd trimestre 2025), les critiques ne se sont pas faites attendre. Et les premières sont venues de Papa Malick Ndour, économiste et chef de file des cadres de l’Alliance pour la République (Apr).
Alors que le Sénégal entame la mise en œuvre de son ambitieux Plan de redressement économique et social, l’expert en finances publiques Maleine Amadou Niang partage son analyse
C’est de notoriété publique. L’État du Sénégal traverse actuellement une situation financière extrêmement délicate. Vendredi dernier,
Sukerou koor ou le pied de nez de l’Assemblée à Sonko
Financement de 65 milliards FCFA de la Banque mondiale : Le ministère du Budget livre les détails
Le plan de redressement économique et social apporte bien de la nouveauté, comparé aux précédents ; les leviers d’action sont aussi clairement identifiés.
Lors d’une présentation théâtrale au Grand Théâtre national, le Premier ministre Ousmane Sonko a dévoilé son plan de redressement économique et social, baptisé « Jubbanti Koom », devant un public acquis et sous le regard du président Bassirou Diomaye Faye. Mais pour Ibrahima Thiam, président du parti Action pour la Citoyenneté et les Transformations (ACT), ce plan n’est qu’un « récit politique » dénué d’ancrage dans les réalités économiques du Sénégal. Dans une tribune au vitriol, Thiam dénonce une approche marquée par une fiscalité agressive, un souverainisme déconnecté et une absence de solutions concrètes pour sortir le pays de la crise. Voici une analyse fidèle de sa critique, ponctuée d’extraits de son texte.
Ce vendredi 1er août 2025, le gouvernement sénégalais a dévoilé son Plan de Redressement économique et social, marquant une étape clé dans la gestion des défis économiques actuels.