Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
En Gambie, la mort d’une fillette d’un mois, le 10 août 2025, à la suite d’une excision présumée, a suscité une vive émotion et relancé la polémique autour de cette pratique pourtant interdite depuis 2015.
Le 18 mars 2024, le Parlement gambien a initié un projet de loi visant à abroger la loi anti-mutilation génitale féminine/excision (MGF/E) qui protège et criminalise la pratique des mutilations génitales féminines dans le pays. Lors d'un premier vote, la plupart des députés, soit 42 des présents, ont voté en faveur de l'abrogation de la loi de 2015 interdisant l'excision/mutilation génitale féminine.
Il urge de mettre fin aux mutilations génitales féminines (MGF), plaide le directeur pays de l'ONG ActionAid.
Le 18 mars 2024, le Parlement gambien a initié un projet de loi visant à abroger la loi anti-mutilation génitale féminine/excision (MGF/E) qui protège et criminalise la pratique des mutilations génitales féminines dans le pays. Lors d'un premier vote, la plupart des députés, soit 42 des présents, ont voté en faveur de l'abrogation de la loi de 2015 interdisant l'excision/mutilation génitale féminine.
Il urge de mettre fin aux mutilations génitales féminines (MGF), plaide le directeur pays de l'ONG ActionAid.