Au Sénégal, il est un geste ancien, doux et puissant, qui circule comme un souffle entre les mains et les cœurs.
il y a 3 mois
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Au Sénégal, il est un geste ancien, doux et puissant, qui circule comme un souffle entre les mains et les cœurs.
Les réseaux sociaux structurent désormais nos comportements
Avant tout thérapeutique efficace, il faut un diagnostic préalable des symptômes de la maladie dont souffre le patient
La traque aux récalcitrants de la mesure d’interdiction de rassemblements ou...
Puisse le Seigneur Tout-Puissant bénir votre ménage et le compter parmi ceux dont se glorifie l’Islam. Qu’Il vous donne la force et une abnégation infinie pour en faire l’ultime sacerdoce que le mariage constitue pour une vraie croyante, vous ouvrir grandement, à tous les deux, les portes du bonheur et de la félicité dans les deux mondes…
Les femmes de Kaffrine, qui organisaient, mardi, leur forum régional, ont émis l’idée de solliciter une autorisation administrative pour l’organisation de toute cérémonie familiale, en vue d’un ‘’meilleur contrôle sur d’éventuels gaspillages’’.
Au vu des nombreux foyers de tensions notés un peu partout dans le pays, la réunion hebdomadaire du mouvement Leeral Askanwi est d’avis que la machine de la révolte sociale est en branle et rien ni personne ne pourra l’arrêter. « Le président Wade a fini de vampiriser le pays ». C’est du moins le constat fait par le mouvement Leeral Askanwi au sortir de sa réunion hebdomadaire dont le communiqué sanctionnant la rencontre nous est parvenu par courriel.
Qu’est-ce qui fait courir un élu local ? La réponse est sans doute dans les missions et prérogatives qui lui sont assignées. Tout commence par un militantisme actif et dévoué dans les partis politiques. Mais, très vite l’élu, dans l’exercice du pouvoir, doit se transformer en gestionnaire. C'est l'avis de l'Union des associations d'élus locaux (Ual) contenu dans le deuxième numéro de sa publication ‘La voix des élus locaux’. Et le contexte de ces élections locales du 22 mars prochain est des mieux indiqués pour apporter certains éclairages.
Cinquième pilier de l’Islam, le pèlerinage à La Mecque est devenu au Sénégal un véritable phénomène social où se mêlent business et festivités, généralement sans rapport avec le sacré. Entre les cérémonies familiales organisées au départ comme au retour d’Arabie saoudite et l’achat des présents à distribuer aux parents et amis, les Sénégalais peuvent dépenser des sommes faramineuses pour un seul pèlerin. Les Sénégalaises sont généralement accusées d’être à l’origine des excès constatés. Effectuer le pèlerinage à La Mecque, tous les musulmans et musulmanes en rêvent. Il devient comme un impératif pour ceux qui le peuvent.
Le face-à-face fut torride entre nos célèbres driankées et leurs Ndanaanes de griots. Les billets de banque ont beaucoup plu, et non contentes de nos Cfa, les driankées démarrent la tendance Euro. Le théâtre Daniél Sorano a abrité la grande nuit du Jakarlo. Perpétuer chaque jour de l’an par Mame Less Thioune, la version 2007 n’a pas changé la tradition. Les driankées ont sorti toute leur artillerie de joyaux et autres accessoires. Les Gagnilas (un tissu Bazin teint très prisé par les Sénégalaises), soies, perlages… N’ont pas manqué à l’appel du « sagnsé » des grandes Dames de la jet-set dakaroise. Très élégantes dans leurs apparats, elles ont aussi rempli leurs porte-monnaie d’enveloppes,de billets de banques et de chèques signés à l’avance.
