Mamadou Ibra Kane, président du Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (Cdeps), alerte sur la grave crise financière qui frappe la presse privée sénégalaise
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Mamadou Ibra Kane, président du Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (Cdeps), alerte sur la grave crise financière qui frappe la presse privée sénégalaise
Le paysage politique sénégalais pourrait bientôt compter une nouvelle coalition d’opposition. À l’initiative du leader du mouvement Sénégal Bi Ñu Bokk et ancien édile de la capitale, un front d’un nouveau genre se dessine. Son ambition : réunir partis politiques, anciens parlementaires et société civile pour faire contrepoids à ce qu’il qualifie de "dérive autoritaire du régime".
Dans une missive au ton provocateur, l’ancien ministre de l’Apr Papa Malick Ndour a sévèrement critiqué le régime de Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko
Visage dur, ton sentencieux et amer, hoquets virils et surenchère à l'autorité. C'est ainsi qu'est apparu le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, devant les membres de son parti dans une adresse pour le moins surréaliste.
Le premier ministre Ousmane SONKO subit actuellement les contrecoups d’une sur-légitimité politique qui l’expose à des manœuvres (parfois non conventionnelles), des critiques non fondées de la part de l’opposition et de certains médias.
La sortie de Barthélemy Dias déclarant que "le premier problème du Sénégal, c’est Ousmane Sonko", n’est pas du goût de certains cadres de Pastef.
Une nouvelle séquence s’ouvre dans le bras de fer judiciaire, entre le pouvoir sénégalais et l’opposition.
Dans un texte publié sur Seneweb, Me Ciré Clédor Ly suggérait la "destruction" de l'ancien régime et le "nettoiement" de ses vestiges pour asseoir une révolution.
L’avocat Ciré Clédor Ly, connu pour son engagement dans les combats pour la justice et la souveraineté nationale, tire la sonnette d’alarme dans un texte puissant intitulé “Devoir de convergence”. Il y met en garde contre les risques de dérive et d’immobilisme qui menacent, selon lui, les fondements de la révolution sénégalaise post-24 mars 2024.
L’ancien porte-parole de la présidence, également journaliste, a vivement réagi aux attaques portées récemment par Ousmane Sonko contre certains médias, en appelant ses militants à les boycotter.
La BPI France, Banque Publique d'Investissement, vient d'organiser ce 8 juillet 2025 à Dakar, à une semaine pile de la fête nationale française qui commémore l'historique '(R...)Évolution française' de 1789...
Le Parti socialiste (PS) a exprimé, ce jeudi 10 juillet, sa «vive préoccupation» face à ce qu’il considère comme des dérives autoritaires du nouveau régime en place.
Pour une «survie de la démocratie», l’Union pour le développement du Sénégal/Authentique (UDS/A) déplore les multiples arrestations et convocations sous le régime de Bassirou Diomaye Faye et invite les tenants du pouvoir à y mettre fin.
Réagissant à la convocation du journaliste Madiambal Diagne, ce mardi, à la Division Spéciale de Cybercriminalité (DSC), Birahim Seck n’a pas mâché ses mots.
Libération révèle qu'un nouveau front risque de s'ouvrir contre Woodside qui a reçu le 19 juin dernier une mise en demeure de la société Noordzee helikopters vlaaderen-West africa (Nhv-Wa).
Selon la banque britannique Barclays, la dette de l’État du Sénégal est passée de 99,7% du PIB à 119% entre 2023 et 2024. Une hausse de 20 points de la dette qui « confirme l’échec » du gouvernement de Ousmane Sonko, selon Mbaye Dione, secrétaire général de l’Alliance des forces de progrès (AFP).
Plusieurs figures de la société civile sénégalaise saluent la prise de position du Président Bassirou Diomaye Faye face aux récentes violences policières.
L’Alliance pour la République (APR) interpelle le Premier ministre Ousmane Sonko, pour le respect de l’État de droit.
Depuis sa page Facebook, le Premier ministre Ousmane Sonko a pris la parole pour exposer, sans détour, les difficultés auxquelles le nouveau régime se heurte.
Alors que le Sénégal fait face à une chute de ses obligations en dollars sur les marchés internationaux en 2025, et avec un ratio de dette publique approchant les 100 % du PIB – aggravé par un rapport de Barclays situant ce taux à 119 % en 2024 – l’inquiétude grandit parmi les experts économiques. Dans cet entretien accordé à Seneweb ce 1er juillet, Moubarack Lô, analyste économique, décrypte les enjeux et propose des pistes pour surmonter cette crise.