À Dakar, Proparco a accordé un prêt structuré de long terme à la ferme avicole Gade Gui, l’une des entreprises majeures de la filière et un acteur clé de la sécurité alimentaire au Sénégal.
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À Dakar, Proparco a accordé un prêt structuré de long terme à la ferme avicole Gade Gui, l’une des entreprises majeures de la filière et un acteur clé de la sécurité alimentaire au Sénégal.
Investir entre deux rives : le pari de la diaspora sénégalaise
Ecobank Transnational Incorporated (ETI), société mère du principal Groupe bancaire panafricain Ecobank, a ouvert aujourd'hui le marché à la Bourse de Londres (LSE) pour...
Plus de 1 400 startups fintech issues de 64 pays d'Afrique et d'ailleurs se sont portées candidates l’Ecobank Fintech Challenge cette année.
Ce vendredi 1er juillet 2022, le groupe d’enseignement supérieur africain IAM et la startup franco-malgache SAYNA ont...
Ce 25 novembre 2021, les deux institutions ont officialisé leur partenariat, à Lomé, par un prêt de 40 millions d’euros de Proparco...
Outre l’immobilier commercial, son cœur de métier, le promoteur français vise aussi l’assurance...
Ce 25 novembre 2021, les deux institutions ont officialisé leur partenariat, à Lomé, par un prêt de 40 millions d’euros de Proparco...
Dans le dernier numéro de sa revue trimestrielle « Secteur privé & développement », Proparco s'intéresse au secteur du médicament en Afrique, un marché qui a quintuplé entre 2000 et 2012, et qui n'en a pas encore fini avec la croissance.
La nouvelle centrale solaire de Santhiou Mékhé de 30 mégawatts s’inscrit dans la marche vers la résorption définitive du déficit de production d’énergie a déclaré, jeudi, le président de la République Macky Sall, faisant remarquer l’infrastructure conforte l’indépendance énergétique du pays.
Le président sénégalais Macky Sall devant la centrale solaire de Bokhol, qui revendique aussi le statut de la plus grande installation solaire d’Afrique de l’Ouest. Après le coup d’envoi en mai de la plus grande centrale solaire d’Afrique de l’Ouest, Senergy, Proparco renouvelle son engagement en accordant un prêt de 18 ,4 millions d’euros et en prenant un rôle d’arrangeur pour financer la construction et l’exploitation d’une seconde centrale photovoltaïque de 30 MWc au Sénégal.
Après le coup d’envoi en mai de la plus grande centrale solaire d’Afrique de l’Ouest, Senergy, Proparco renouvelle son engagement en accordant un prêt de 18 ,4 millions d’euros et en prenant un rôle d’arrangeur pour financer la construction et l’exploitation d’une seconde centrale photovoltaïque de 30 MWc au Sénégal.
Une centrale de 30 mégawatts est en construction dans la commune de Méouane. Elle permettra à la Société nationale d’électricité (Senelec) de diversifier son approvisionnement en énergie. L’ouvrage, réalisé dans le cadre d’un partenariat public-privé (PPP), sera livré à la fin de l’année 2016. La centrale injectera sur le réseau de la Senelec 20 mégawatts d’énergie supplémentaire à ‘’un moindre coût’’.
Le village de Santhiou Mékhé a abrité ce vendredi 4 mars 2016 la cérémonie officielle de pose de la première pierre de la centrale solaire de SENERGY PV SA s’y est déroulée.
La société SENERGY PV SA procèdera, vendredi à 10 h à Santhiou Mékhé dans la commune de Méouane (Tivaouane), à la cérémonie de pose de la première pierre de la centrale solaire photovoltaïque de 30 MW pour le réseau de la SENELEC, a-t-on appris auprès du Fonds Souverain d’Investissements Stratégiques (FONSIS).
Alors que les perceptions changent en Afrique, à la faveur de taux de croissance et de promesses d’émergence, un certain scepticisme reste de mise sur le continent. Nombre d’économistes et de responsables s’interrogent sur les retombées réelles d’une croissance sans prospérité.
Le retour pragmatique et en force de la France en Afrique et particulièrement à Dakar est inévitable. En bon «héléniste», comme l’aurait dit le Président Senghor, l’hexagone, en bute à une grave crise économique et sociale, tisse par monts et par vaux sa toile de survie. Le Sénégal pourrait en tirer un grand profit, pour peu que l’administration Macky Sall développe un leadership payant et décline la vision qui s’impose pour le renouveau de la coopération et l’émergence enfin du pays.
Dans un monde caractérisé de plus en plus par le diktat de la loi du baril du pétrole, rendant vulnérable la production énergétique des pays non producteurs comme le Sénégal, la solution réside dans d’autres sources d’énergie. C’est pourquoi le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, a engagé le gouvernement du Sénégal dans une nouvelle réorientation de la politique énergétique nationale basée sur une diversification des sources de productions en misant sur les énergies renouvelables et le charbon. Un vœu du chef de l’Etat exprimé en marge de l’inauguration de la nouvelle centrale électrique de Kounoune.
Les partenaires indiens d’Iffco peinent encore à allonger les 40 malheureux milliards qu’ils avaient promis d’injecter dans le capital des Industries chimiques du Sénégal(Ics) alors que le Groupe marocain Charaf Corporation, depuis le mois de juin 2007, a mis 200 millions de dollars (environ 90 milliards de FCfa) sur la table des Ics. Pour celle-ci le temps est compté, alors les autorités sénégalaises en charge du dossier s’obstinent à regarder ailleurs notamment vers le Groupe français Roullier. Les informations relatives à une "réunion secrète" à Paris entre les autorités sénégalaises et les responsables du Groupe français Roullier pour amener celui-ci dans le tour de table de la recapitalisation des Ics, sont confirmées. Mais il aurait bien fallu que la partie indienne tape sur la table pour que les négociations avec le groupe français se fassent avec elle.
Rfi a vendu, hier, la mèche en annonçant le nom d’Abbas Jaber, le Pdg de Suneor (ex-Sonacos), pour le rachat de Dagris. Ce Franco-Sénégalais d’origine libanaise très lié à Karim Wade, expert financier, conseiller spécial du président Wade, par ailleurs président du Conseil de surveillance de l’Anoci. L'Etat français va-t-il remettre en cause la privatisation du groupe Dagris (Développement agricole et industriel du Sud), ou du moins revoir sa copie ? C'est en tout cas ce que semblait suggérer le chef de l'Etat français lors de sa visite en fin de semaine à Dakar. ‘Nous avons discuté avec le président Wade de cette importante question. Comme à l’accoutumée, la France est très attentive à la demande du Sénégal.