Le village de Tenkhoto, situé dans la commune de Sabodala (département de Saraya), est aujourd’hui confronté à une dégradation accélérée de son domaine forestier.
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Le village de Tenkhoto, situé dans la commune de Sabodala (département de Saraya), est aujourd’hui confronté à une dégradation accélérée de son domaine forestier.
Emmanuel Macron a promulgué la loi Duplomb après la censure par le Conseil constitutionnel de sa disposition la plus contestée qui prévoyait la réintroduction d'un pesticide interdit de la famille des néonicotinoïdes, selon le Journal officiel publié mardi.
Marche de protestation des habitants du Dandé Mayo
Un jeune Tunisien est décédé en s'immolant par le feu dans la région de Kairouan dans le centre de la Tunisie après avoir été menacé d'une interpellation par des agents de police, a indiqué vendredi sa famille à l'AFP.
À la veille d'une tournée en Afrique centrale, le Président Emmanuel Macron s’est exprimé dans un discours tenu lundi depuis le palais de l’Élysée sur la nouvelle politique avec l’Afrique qui se veut plus inclusive. Mais que retenir du discours et des réactions qu’il a suscitées ?
Le dynamisme sénégalais s’accompagne d’une modernisation rapide du pays, qui maîtrise dans le même temps sa dépendance aux aides publiques étrangères au développement, et démontre, par ailleurs, que progrès et démocratie ne sont pas incompatibles.
Ils ont décidé de descendre dans la rue pour exprimer leur amertume face aux autorités...
Le Parlement indien vient d’officialiser le retrait des trois lois agricoles controversées.
Malgré cela, la région figure parmi les plus pauvres du Sénégal
Les manifestations au Soudan ne faiblissent pas. Après...
Vous qui êtes nés avant ou durant la première alternance politique et qui êtes en âge de voter, je vous écris cette lettre pour vous demander pardon et vous préparer à ne pas commettre l’erreur que nous avions commise,
Les agriculteurs de Bokhol ont pris d’assaut la route nationale, ce lundi, pour barrer la route au cortège au ministre de l’agriculture Benoit Sambou qui effectuait une visite à Podor.Le ministre a été contraint de faire escale sur Bokhal où les populations ont organisé une marche de protestation contre une dette de la Socas qu’ils n’arrivent pas à récupérer depuis 11 mois.Cet argent est estimé à 350 millions et l’entreprise fait tournoyer les braves agriculteurs depuis le mois de mai 2012.
Maintenant que les héritiers sont rentrés dans leurs droits, le khalife général des Tidianes peut nourrir l’espoir de leur emboîter le pas. Ses avocats sont dans cette dynamique.
Le Khalife général des Tidianes saisit le prétexte de la mise en demeure servie à l’Etat restée sans suite, pour constituer un pool d’avocats. Objectif ? Préparer une plainte suite au refus de la signature du décret d’attribution de terrains à Pout qu’il sollicite depuis 2003. Borom Daradji s’offusque du fait que des parcelles du même site ont été attribuées à d’autres personnes et entreprises.
Les rebelles indépendantistes casamançais ont acquis de "nouveaux équipements" militaires qu'ils ont utilisés lundi contre l'armée sénégalaise, qui a perdu sept hommes lors de ses combats, ses plus lourdes pertes depuis plus d'un an, a-t-on appris mardi de source militaire.
La société civile organise une semaine nationale de protestation contre les inondations, les délestages, la discrimination dans la distribution des semences et contre le harcèlement du journaliste Latif Coulibaly. Cette semaine débutera le 31 juillet à Dakar par une marche contre les délestages et se terminera le 7 août à Kaolack par une manifestation contre l’absence de politique agricole. Après la marche, aujourd’hui, des intellectuels du Sénégal contre les délestages, les organisations de la société civile vont, à leur tour, battre le macadam au niveau national pour montrer leur courroux face aux délestages et aux inondations.
Les Sénégalais sont dans le désarroi total. Sur le plan politique, des interrogations fusent, sur le plan économique, cela va de mal en pis et quant au social, n’en parlons même pas. Une situation qui transparait dans les questions relevées auprès de citoyens sénégalais choisis au hasard, en toute objectivité sur leur âge, leur fonction, leur sexe. Un véritable micro-trottoir croustillant que M. Youssouph Mbargane Guissè a bien voulu examiner, minutieusement, pour les lecteurs du journal Le Quotidien. Dans sa globalité. Monsieur le Président, où va le Sénégal ?
Les cercles de silence, une nouvelle forme de protestation contre les expulsions et les centres de rétention. Depuis plus d’un an, des cercles de silence sont organisés dans de nombreuses villes en France. Une nouvelle forme de manifestation en soutien aux sans-papiers, d’inspiration religieuse, mais qui fait aussi référence au silence actif opposé à l’occupant allemand par une famille dans "Le Silence de la mer", de Vercors. Illustration de ce que proclamait Euripide : "Parle si tu as des mots plus forts que le silence", un cercle de silence se réunit une fois par mois sur une place de Marseille.
Lorsque les politiques ne jouent plus leur rôle de garant de la sécurité des citoyens. Lorsque la société civile (les organisations non étatiques censées porter leur parole) réagit plus qu’elle n’agit alors que les populations, désoeuvrées, désemparées et laissées pour compte ne savent où donner de la tête, l’erection d’entité ou de structure capable de prendre la défense des intérêts des populations, apparaît plus que jamais comme une urgence. Forts de ce constat, des hommes sous l’égide de Cheikh Sadibou Diop ont porté sur les fonts baptismaux la Société civile autochtone (Sca). Elle s’engage à prendre son bâton de pèlerin pour une meilleure prise en charge des préoccupations des populations.
Envoyé spécial - A Kaolack le cadre du 5e congrès national de l’Union des jeunesses travaillistes et libérales (Ujlt), le président Wade a dû faire encore avec des huées. Les populations de la localité ont remis sur la table les vieilles promesses non tenues par le chef de l’Etat et ont protesté malgré les assauts belliqueux du ministre Farba Senghor et ses nervis libéraux qui se sont attaqués à une foule de manifestants et pris en otage la ville. L’insulte à la bouche, le ministre Farba Senghor sort son revolver qu’il braque sur une foule noyée dans la ferveur protestataire. Face à lui, des hommes et femmes, toutes tranches d’âge confondues, restent inébranlables.