Ngouda Fall Kane : « Le financement endogène c’est l’idéal mais on ne peut pas se passer du FMI » (1/2)
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Ngouda Fall Kane : « Le financement endogène c’est l’idéal mais on ne peut pas se passer du FMI » (1/2)
Budget 2026 : Hausse de 23,4% des recettes, défi du déficit et pression fiscale record
Note abaissée : une conséquence de la mauvaise gouvernance, pas la faute de Moody’s (Économiste)
La sentence est tombée. Pour la deuxième fois en quelques mois, Moody’s Investors Service a abaissé la note souveraine du Sénégal, la faisant glisser encore plus profondément dans la catégorie des emprunteurs à haut risque. Ce n’est pas une simple mauvaise note :
Kalidou Thiaw : « Les défis budgétaires du Sénégal influencent les indicateurs régionaux de l’UEMOA »
Réformes: Des parlementaires exigent la suppression des fonds politiques
Le Code des Investissements de 2004 a constitué le principal cadre légal pour stimuler l’investissement privé au Sénégal, en offrant essentiellement des incitations fiscales classiques, telles que l’exonération d’impôt sur les bénéfices pendant les cinq premières années d’exploitation pour les projets dans des secteurs prioritaires comme l’agriculture, l’industrie légère et l’énergie.
"Dette cachée" : L'APR démonte les accusations du gouvernement Sonko - Diomaye
La rumeur circule avec insistance. Plusieurs agences des Nations Unies envisageraient de renforcer leur présence à Nairobi au détriment de Dakar qui a pourtant inauguré un siège pour l’organisation, le 24 novembre 2023. Pour certains observateurs, ce redéploiement partiel, s’il venait à se confirmer, bouleverserait non seulement l’économie sénégalaise, mais aussi l’équilibre du tourisme d’affaires sénégalais. C’est l’avis de Mor Talla Ndir, spécialiste en tourisme et patrimoine culturel, professionnel de l’hôtellerie et formateur, qui a livré une analyse des différents enjeux d’un tel scénario dans une contribution exploitée par Seneweb.
Le Fonds monétaire international (Fmi) vient de boucler sa mission au Sénégal, dans un contexte très tendu sur le plan budgétaire (Fmi).
Des fonctionnaires américains suspendus après une lettre critiquant la politique de Trump
Depuis l’installation du nouveau gouvernement, le Sénégal a mobilisé plus de 10 200 milliards F CFA, dont plus de 6 000 milliards ont été consacrés au remboursement de la dette, selon l’économiste Mor Gassama, invité de l’émission "Seneweb Éco", ce dimanche 24 août.
Le gouvernement sénégalais a ajusté ses prévisions budgétaires pour la période 2026-2028, selon un communiqué publié ce vendredi.
Le Sénégal fait face à une crise financière marquée par des déficits budgétaires persistants et un endettement galopant, avec un service de la dette de plus en plus lourd et des besoins annuels dépassant 5 000 milliards FCFA (2025–2028), selon Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD.
Face à une dette publique record et un déficit budgétaire préoccupant, le Sénégal s’engage dans un programme de réformes pour tenter de rétablir ses équilibres macroéconomiques.
Alors que le Sénégal entame la mise en œuvre de son ambitieux Plan de redressement économique et social, l’expert en finances publiques Maleine Amadou Niang partage son analyse
Le Plan de Redressement Économique et Social (PRES) 2025–2028, dévoilé par le gouvernement sénégalais, ambitionne de mobiliser 6 400 milliards FCFA sur quatre ans via la rationalisation des dépenses, le recyclage d’actifs publics, la fiscalité et des financements endogènes. Cependant, selon Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-USEG, cette enveloppe reste largement insuffisante face aux besoins réels. Une estimation synthétique révèle un besoin total de 22 480 milliards FCFA sur la période, incluant 5 715 milliards FCFA en 2025 (déficit budgétaire + amortissement + OPEX), 2 925 milliards FCFA de déficits cumulés (2026–2028), et 13 840 milliards FCFA d’amortissement de la dette publique (probablement sous-estimé selon les données du BSDP 2024).
Hausse des ressources et baisse des dépenses au premier trimestre 2025
Diomaye Faye, pouvoirs, influence… : comment Ousmane Sonko a changé le poste de Premier ministre
L’an un de Diomaye : Forces et faiblesses d’un bilan économique