Le Syndicat autonome des médecins du Sénégal (SAMES) entame une grève ce mardi.
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Le Syndicat autonome des médecins du Sénégal (SAMES) entame une grève ce mardi.
Il y bien une histoire de baisse de salaires à l’Agence de sécurité de proximité (Asp), mais elle ne concerne pas tous les agents.
Avec l'arrivée de Lionel Messi, Paris semble rassasié au niveau des transferts. Mais un dernier coup d'éclat sur le marché des milieux de terrain n'est pas à exclure.
Le Syndicat autonome des médecins du Sénégal (SAMES) entame une grève ce mardi.
L’un des opposants les plus connus au régime du président Idriss Deby a accepté, de passage à Dakar, de feuilleter ensemble avec le journal Le Quotidien, les feuilles de l’actualité politique dans son pays et dans le reste du Continent.
Mame Birame Diouf, l’attaquant sénégalais qui a refusé de prolonger son contrat en faveur de Hanovre (élite allemande), est dans la ligne de mire de Dortmund qui cherche un remplaçant à Robert Lewandowski en partance pour le Bayern Munich. Auteur de 10 buts cette saison, Diouf dont le contrat doit expirer en juin 2014
Avec près de 10.000 inscriptions, le contingent d’étudiants sénégalais en France accueille, avec soulagement, l’abrogation de la circulaire Guéant qui restreignait, drastiquement, leurs possibilités d’embauche par les entreprises françaises à la fin de leurs études. Cependant, les interrogations sur leur avenir professionnel ne se sont pas totalement dissipées avec l’entrée en vigueur du nouveau texte.
Pour résorber la dette intérieure, l’Etat a dû recourir aux bailleurs de fonds. Ces derniers exigent des taux d’escompte qui frisent l’usure. L’argentier de l’Etat oppose un refus catégorique aux conditionnalités des bailleurs. Abdoulaye Diop faisait face aux députés hier, pour le vote de la loi de finances rectificative 2008. Le ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances, Abdoulaye Diop, rassure le ministre d’Etat, que la dette intérieure (174 milliards) sera payée dans les plus brefs délais. «Depuis que le chef de l’Etat a communiqué sur cette question, nous avons reçu de plusieurs banques installées à l’étranger des propositions dans ce sens», a révélé, hier, le ministre d’Etat devant la représentation nationale.
Préjugés, clichés, lieux communs donnent une vision caricaturale du Sud-Sahara. Comment rétablir la vérité ? L’Afrique noire est une terre de violence et de sauvagerie. Elle est minée par le sida et la corruption. Ses habitants ne connaissent que le tribalisme. Ils sont tous polygames, leurs femmes font trop d’enfants. Qui n’a entendu, en Europe, déclamer ce genre d’« évidences » ? Il n’est pas question de nier les difficultés qu’affrontent les pays subsahariens. Malgré les progrès récents, le processus démocratique reste un peu partout fragile.
C’est par un arrêt simple du travail et un sit-in largement suivi que les travailleurs de l’Institution de prévoyance retraite du Sénégal (Ipres) ont tenu à manifester hier, jeudi 02 août, leur courroux à la Direction générale de leur établissement. Les principaux motifs de ce mouvement d’humeur sont liés au retard enregistré dans le paiement des salaires du mois de juillet et à la menace de baisse sensible qui planerait sur les rémunérations des agents de l’institution. L’Ipres serait-elle un creuset immuable de remous et de tensions entre retraités, travailleurs et Direction générale ?
L’histoire aurait nourri un scénario de série B dans une République bananière et fait rire dans les chaumières si elle n’était grave. Un « rapport d’audit de gestion » de 49 pages et d’une vingtaine d’annexes, remis aux autorités le 20 mai 2005 par Mazars Sénégal, le cabinet associé de Mazars et Guérard, raconte par le menu la mise à mort de la plus importante unité industrielle du pays. Fleuron de l’économie nationale, les Industries chimiques du Sénégal (Ics) au capital social de 130 milliards de francs Cfa (environ 200 millions d’euros) sont aujourd’hui au plus mal. Cette entreprise, qui fabrique de l’acide phosphorique, du phosphate, des engrais, des produits phyosanitaires… compte 2500 employés permanents, 4000 journaliers et fait travailler 6000 personnes dans des activités dérivées. D’un bénéfice net de 18 milliards FCFA en 1999, elle est passée à un déficit de 54 milliards de FCFA à la fin de l’exercice 2004. Le gouffre ne cesse de se creuser ; plus de 70 milliards de FCFA, aujourd’hui.