Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Le Directeur de la RTS, Pape Alé Niang s’est exprimé sur les violences qui ont marqué la vie politique sénégalaise entre 2021 et 2024.
Le vent du changement semble enfin souffler sur les douloureux événements politiques qui ont secoué le Sénégal entre 2021- 2024. Ce jeudi 2 octobre, l’Initiative Zéro impunité (IZI) et le mouvement Sénégal notre priorité (SNP) ont annoncé, à travers un communiqué conjoint, l’ouverture officielle des dossiers liés à cette période sombre, à la suite d’un soit-transmis émis par le procureur de la République.
Scandale des finances publiques : une piste à 238 milliards F CFA, 20 chefs d’entreprise convoqués
Seydi Gassama, directeur exécutif d’Amnesty International Sénégal, a vivement réagi aux déclarations du journaliste Cheikh Yérim Seck, qui a affirmé que des drones auraient été utilisés pour tirer sur des manifestants au Sénégal entre mars 2021 et février 2024.
La justice doit être rendue est cela va se faire. Telle est la conviction de Me Pape Mamaille Diockou, avocat au barreau de France et président du mouvement Sénégal Nafa. « La justice se rendra quoiqu’il arrive au Sénégal, un pays de droit.
Des centaines de Sénégalais ont manifesté samedi à Dakar malgré la pluie pour réclamer justice contre les crimes commis lors des violences politiques dans le pays entre 2021 et 2024 qui avaient fait des dizaines de morts sous l'ancien pouvoir, ont constaté des journalistes.
L'avocat franco-espagnol Juan Branco, membre du pool d'avocats de Ousmane Sonko lorsque l'actuel Premier ministre était opposant, exprime sa colère contre le gouvernement sénégalais.
La période insurrectionnelle qui a secoué le Sénégal de 2021 à 2024 a eu de très graves conséquences : pillages, saccages, incendies volontaires, morts. Des individus ont été arrêtés et emprisonnés pour ces faits. Ils se glorifient d’être des « prisonniers politiques » mais ils ont tort. Ce qu’ils ont fait relève du droit commun, quelles que soient leurs motivations.
Le député de l'opposition, Thierno Alassane Sall, a annoncé, dans un communiqué, qu'il déposera demain, à 16 h, une proposition de loi visant à abroger la loi d’amnistie qui a été adoptée en rapport avec les événements tragiques survenus au Sénégal entre 2021 et 2024.
Les réactions se poursuivent suite à l'annonce, en fin de semaine dernière, par le gouvernement, via la ministre de la Solidarité, Maïmouna Dièye, de nouvelles mesures d'indemnisation des victimes des violences politiques survenues au Sénégal entre 2021 et 2024.
C'est encore le flou autour de l’aide annoncée par le gouvernement du Sénégal aux victimes des violences politiques de 2021-2024. Les parents des deux filles mortes calcinées dans l'incendie d'un bus à Yarakh disent être laissés en rade.
Le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a décliné vendredi son plan de rupture pour les cinq prochaines années et annoncé qu'il entendait abroger la loi d'amnistie de l'ex-président Macky Sall couvrant les violences politiques qui avaient fait des dizaines de morts entre 2021 et 2024.
L'avocat Reed Brody qualifie de « honteuse » la loi d’amnistie portant sur les faits liés aux manifestations politiques ayant secoué le Sénégal entre février 2021 et février 2024, et adoptée en mars dernier par l’Assemblée nationale où Macky Sall, initiateur du projet de loi, dispose d’une majorité mécanique. L’avocat américain, qui a fait de la défense des victimes des régimes dictatoriaux son cheval de bataille, s’est prononcé sur le cas du Sénégal.
Porte-drapeau du Sénégal aux Jeux Olympiques de Tokyo 2021, Mbagnick Ndiaye commence bien ses Jeux de Paris 2024.
Plus de 30 victimes de violences policières, une quinzaine d’arrestations et d’interpellations, un cyber-harcèlement en toute impunité, entre autres, c’est ce qu’ont vécu les journalistes sénégalais dans l’exercice de leurs fonctions entre 2021 et 2024.
L'État du Sénégal est disposé à mettre en place un mécanisme d'indemnisation en faveur des victimes des manifestations de 2021 à 2024
Le député de l'opposition, Thierno Alassane Sall, a annoncé, dans un communiqué, qu'il déposera demain, à 16 h, une proposition de loi visant à abroger la loi d’amnistie qui a été adoptée en rapport avec les événements tragiques survenus au Sénégal entre 2021 et 2024.
Les réactions se poursuivent suite à l'annonce, en fin de semaine dernière, par le gouvernement, via la ministre de la Solidarité, Maïmouna Dièye, de nouvelles mesures d'indemnisation des victimes des violences politiques survenues au Sénégal entre 2021 et 2024.
C'est encore le flou autour de l’aide annoncée par le gouvernement du Sénégal aux victimes des violences politiques de 2021-2024. Les parents des deux filles mortes calcinées dans l'incendie d'un bus à Yarakh disent être laissés en rade.
Le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a décliné vendredi son plan de rupture pour les cinq prochaines années et annoncé qu'il entendait abroger la loi d'amnistie de l'ex-président Macky Sall couvrant les violences politiques qui avaient fait des dizaines de morts entre 2021 et 2024.