Face aux accusations visant Cheikh Mouhamadou Bamba Siby, président de la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF), le ministre Birame Soulèye Diop est sorti de sa réserve pour défendre l’intégrité de ce dernier.
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Face aux accusations visant Cheikh Mouhamadou Bamba Siby, président de la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF), le ministre Birame Soulèye Diop est sorti de sa réserve pour défendre l’intégrité de ce dernier.
Le tambour major du lutteur Ada Fass est dans de beaux draps à la suite de son arrestation par les policiers du Commissariat d'arrondissement de la Médina.
USA : Les ressortissants de ces pays africains vont verser une caution de 5 à 10 000 dollars pour avoir le visa
Ce n’est pas forcément une bonne nouvelle pour ces 7 pays africains.
Un chauffeur de transport clandestin dit "clando", D. F., a été déféré hier jeudi au tribunal de grande instance hors classe de Dakar pour des faits présumés de viol sur sa fiancée, A. D., âgée de 18 ans.
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
«Un malade séquestré» : ce que Farba Ngom va faire
La Commission de protection des données personnelles constate la circulation de vidéos et images générées par l’IA, mettant en scène des personnalités publiques, guides religieux ou citoyens ordinaires souvent sans leur consentement.
Pape Malick Ndour : “Je garde la tête haute et la conscience tranquille”
Une opération de sécurisation menée dans la nuit du samedi 4 au dimanche 5 octobre 2025 par la brigade de recherches du commissariat d'arrondissement de Guinaw Rails a permis l'interpellation de neuf individus pour association de malfaiteurs, détention et usage de produit cellulosique et vagabondage.
La Direction générale des Impôts et des Domaines (DGID) informe ses usagers d’une indisponibilité temporaire de ses services en ligne, due à un problème technique identifié. Des mesures de sécurité préventives ont été prises pour contenir la situation et renforcer la protection des infrastructures.
Burkina Faso : Polémique autour de l’usage du drapeau national
La brigade de recherches de la compagnie de gendarmerie de Keur Massar a démantelé un réseau organisé de vol de matériel de télécommunication appartenant à CAMUSAT Sénégal, selon des sources de Seneweb.
L’interdiction « stricte » du téléphone portable dans l’espace scolaire est partie pour être la polémique de la rentrée 2025-2026.
Les éléments du Secteur Frontalier de Moussala, en poste avancé à Kolia, ont procédé à une importante saisie de produits prohibés. L’opération, menée en fin de semaine dernière, a abouti à l’arrestation d’un ressortissant burkinabé en possession de drogue et de médicaments détournés de leur usage médical.
Donald Trump a ordonné samedi le déploiement de l'armée dans une quatrième ville démocrate, Portland, qui connaît depuis plusieurs mois des manifestations contre la police de l'immigration, et autorisé "l'usage de la force maximale si nécessaire".
Le débat sur l’usage du téléphone portable à l’école suscite encore des polémiques. Après la publication d’une note ministérielle interdisant leur circulation dans l’enceinte scolaire, le ministère de l’Éducation nationale a tenté d’apporter des clarifications.
Le Saemss critique la décision du ministère de l’Éducation nationale qui interdit l’usage du téléphone portable dans les écoles
Burkina Faso : Des enquêtes révèlent des cas de corruption, détournement de biens publics, faux et usage de faux...
Ziguinchor : Axe Néma 2, Castor, Kénia, Diabir en réfection, à la grande satisfaction des usagers et habitants, qui alertent