Enquête sur les violences politiques : Cinq familles de victimes entendues, trois autres convoquées ce mardi
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Enquête sur les violences politiques : Cinq familles de victimes entendues, trois autres convoquées ce mardi
Section de recherches de Colobane : Les minutes de l’audition de Pape Malick Ndour
La machine judiciaire est enclenchée sur les violences politiques survenues entre 2021 et 2024, qui ont fait près de 80 morts et de nombreux blessés.
Le 26 mars 1991, le peuple malien écrivait l'une des pages les plus vibrantes de son histoire contemporaine.
Le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme a appelé vendredi le Mali à abroger le décret ayant dissous les partis et à "rétablir pleinement les droits politiques dans le pays".
Une concertation nationale organisée par la junte au pouvoir au Mali a recommandé mardi que son chef soit nommé sans élection "président de la République pour un mandat de 5 ans à partir de 2025, renouvelable", selon un document publié par la primature.
Lors de l’examen du projet de loi d’interprétation de la loi d’amnistie, finalement adopté ce mercredi 2 avril, des députés Pastef ont demandé la convocation de Adji Sarr.
Les pays du Sahel font actuellement face à des défis économiques d’une rare gravité. Ils sont pour la plupart des PMA (Pays Moins Avancés), avec des économies faiblement diversifiées, semi-arides et enclavées.
Le collectif CartograFreeSenegal a récemment dévoilé son rapport final sur les décès survenus lors de la répression des manifestations politiques.
Le Sénégal est à nouveau secoué par un affrontement politique entre deux figures incontournables : Ousmane Sonko, actuel Premier ministre et leader du Pastef, et Macky Sall, ancien président de la République. Alors que Sall a quitté le pouvoir en avril 2024 après deux mandats, son retour à la tête de la coalition Takku-Wallu pour les législatives anticipées de novembre 2024 a ravivé une rivalité déjà tendue avec Sonko. Dans ce contexte, les récentes déclarations de Sall, notamment lors d’une interview accordée à Jeune Afrique le 27 février 2025, jettent de l’huile sur le feu.
Les réactions se poursuivent suite à l'annonce, en fin de semaine dernière, par le gouvernement, via la ministre de la Solidarité, Maïmouna Dièye, de nouvelles mesures d'indemnisation des victimes des violences politiques survenues au Sénégal entre 2021 et 2024.
C'est encore le flou autour de l’aide annoncée par le gouvernement du Sénégal aux victimes des violences politiques de 2021-2024. Les parents des deux filles mortes calcinées dans l'incendie d'un bus à Yarakh disent être laissés en rade.
Des faits marquants, il n’en a pas manqué au Sénégal en 2024. Que ce soit en politique, en société, en sport, ou encore dans le secteur des médias, 2024 n’a pas du tout été de tout repos au Sénégal.
Le député Cheikh Thioro Mbacke ( Pastef) a salué la décision des autorités d'indemniser les victimes des violences politiques entre 2021 et 2023 à hauteur de 5 milliards de FCFA.
Dans un entretien accordé à Jeune Afrique, Aminata Touré, haute représentante du chef de l’État Bassirou Diomaye Faye, a exposé les priorités qu’elle juge essentielles pour la nouvelle législature.
La Russie a empêché lundi le Conseil de sécurité de l'ONU d'appeler à un cessez-le-feu et à la protection des civils au Soudan, un veto fustigé par plusieurs Etats membres qui espéraient mettre la pression sur les deux généraux rivaux.
Le Collectif des victimes du régime de l’ancien Président sénégalais Macky Sall a récemment adressé une lettre ouverte à Maître Reed Brody, avocat spécialisé dans la défense des droits humains.
Le Sénégal a connu, en 2023, un contentieux préélectoral meurtrier marqué par des contentieux politico-judiciaires relatifs à la radiation sur les listes électorales de candidats, à l’inscription sur les listes électorales, au parrainage, à la nationalité de candidats.
Le contenu des rapports des corps de contrôle publiés, ces derniers jours, a fait des victimes au sein de l'Alliance pour la République (APR). En effet, Ismaila Guissé préfère quitter le navire, à la suite de la publication des conclusions de ces rapports révélant des litiges fonciers, des détournements de deniers publics, entre autres scandales. Dans une note parvenue à Seneweb, ce membre fondateur de l’APR/Canada explique les motifs de sa démission de la formation de l'ancien président Macky Sall, pointant du doigt ses alliés.
Les soutiens de la junte à la tête du Mali ont ouvert vendredi la voie à plusieurs années supplémentaires de régime militaire et à une candidature du chef de cette junte à une future présidentielle.