Le président français François Hollande a mis en garde dimanche dans la soirée ceux qui s’opposeraient au retour au processus de transition au Burkina Faso, lors d’une conférence de presse donnée à la fin d’un déplacement de deux jours à Tanger (Maroc).
Nous soutenons entièrement le dialogue engagé par des chefs d’État africains pour revenir au processus de transition. Je mets en garde ceux qui voudraient s’y opposer, a-t-il déclaré.
Quelques minutes après dans la soirée, les médiateurs de la Cédéao ont proposé à Ouagadougou un projet d’accord politique de sortie de crise au Burkina Faso, prévoyant de restaurer le président Kafando, renversé jeudi par un coup d’État militaire, et d’amnistier les putschistes.
Par ailleurs, cet accord, qui devrait être présenté mardi à l’Union africaine (UA) à l’occasion d’une session extraordinaire, prévoit de maintenir les élections législatives et présidentielles, au plus tard le 22 novembre, et d’y inclure les candidats pro-Compaoré exclus ces derniers mois suite à une loi votée par l’Assemblée intérimaire.
15 Commentaires
Senenmut
En Septembre, 2015 (07:15 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (07:26 AM)Anonyme1
En Septembre, 2015 (07:39 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (07:42 AM)Pds Parti Pourri
En Septembre, 2015 (07:48 AM)Afrique Dou Dem
En Septembre, 2015 (07:49 AM)Dior Oye London
En Septembre, 2015 (08:04 AM)Mba
En Septembre, 2015 (08:44 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (09:07 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (09:24 AM).... HOLLANDE .... GUENEL KODAL BI...AFRICAINS YI KHAMOUGNOU SEN BOP.....
....
Mansawali Walimansa Presidium
En Septembre, 2015 (09:45 AM)OUI LE PRESIDENT FRANCAIS FRANCOIS HOLLANDE AURA EN TOUT RAISON SUR TOUTE LA LIGNE DE LA LIGNE DE MIRE POLITIQUE OU POLITICIENNE
Oui, encore une fois, qui disait ici ou ailleurs que le diable est dans le détail de sa propre tromperie en piège d’espiègle….
Oui, car le montage en alésage politique du pari réussi par le Président Macky Sall n’était bien sûr celui de devoir choisir ou de pouvoir choisir entre le parti-pris politique ou le parti-pris de la partition politicienne…
Oui, encore une fois, bien sûr que devant le spectre en cercle vicieux d’une « démocratie confisquée par les casernes » dans le quel toute expression démocratique est prise en otage par une certaine garde présidentielle pléthoriquement prétorienne…
Oui, ce montage du Président Macky Sall n’était celui du devoir ou du pouvoir faire le choix de choisir dans l’éventail de tassements d’antipodes entre le Choix du Cid ou le Chant du Cygne…
Oui, ce nième drame permanent de la vie politique au Burkina Faso devait présenter à la conscience politique de l’Afrique et du monde l’intelligence systématique d’un « projet de stabilité politique comme de transition démocratique » qui configurerait dans les faits et les idées la meilleure « porte vers une sortie de crise » non seulement honorable pour toutes parties en présence mais, aussi et surtout, qui intégrerait une légalité constitutionnelle continue…
Oui, le Président Macky Sall du Sénégal, en compagnie du président Yayi Boni du Bénin, aura ainsi en tout du tout réussi à éviter le drame politique de tout dilemme dramatiquement cornélien d’un autre bain de sang inutile dans la rue…
Oui, le président Macky Sall, en compagnie de son homologue, le Président Yayi Boni du Bénin, savait très bien dans sa tête de démocrate africain portant sur ses frêles épaules tout l’héritage de tout cet humanisme politique senghorien, dioufiste et wadiste dont nous sommes légataires en tant que « un peuple-un but-une foi » que vraiment et réellement il lui fallait tout faire, au nom du peuple burkinabé, pour réussir le bon choix de la stabilité politique ou politicienne, pour réaliser le meilleur choix de la paix pavant la stabilité et la permanence de la transition démocratique….
Oui, bien sûr que tout cela devait se faire dans les conditions historiques que tout le monde sait, oui, c'est-à-dire celui des armes contre les urnes devant le chaos de la violence et du désordre qui trottinant déjà dans les rues du Pays des Hommes Intègres depuis la capitale Ouagadougou jusqu’aux collines ocres ou rouges du Bulkiembé…
Oui, devant tous ces défis humainement politiques ou démocratiques de la continuité de l’Etat de Droit dans l’Honneur de la République, oui, on peut dire ici que le président Macky Sall a réussi la mission qui lui était assignée aussi bien par tous ses pairs africains que par la conscience politique de toute la communauté internationale qui avait l’oreille suspendue à ce drame qui se jouait à Ouagadougou, Koudougou, Bobo-Dioulasso…..
OUI RETOURNONS HEZ ICI AU SENEGAL POUR DIRE ET REDIRE QUE,SOUS D’AUTRES CIEUX DEMOCRATIQUES COMME DANS D’AUTRES CIRCONSTANCES POLITIQUES, LE PRESIDENT ABDOULAYE WADE HIER ET LE PRESIDENT ABDOU DIOUF AVANT-HIER AVAIENT PU REUSSIR A FAIRE LA MÊME CHOSE AU NOM DE LA CONSCIENCE VIGILANTE DE L’AFRIQUE ET DU MONDE…
OUI RETOURNONS HEZ ICI AU SENEGAL POUR DIRE ET REDIRE POUR REDIRE QU’EN TOUTE CHOSE DE LA VIE DES ETATS, DES PEUPLES ET DES NATIONS SEULE LA VERITE EST REVOLUTIONNAIRE….
GACCE NGALAMA PRESIDENT MACKY SALL
DIARAMA PRESUDENT MACKY SALL
MERCI PRESIDENT MACKY SALL
DIARADIEUF PRESIDENT MACKY SALL
DIOKANDIAL PRESIDENT MACKY SALL
THANK YOU PRESIDENT MACKY SALL
Xeme
En Septembre, 2015 (10:25 AM)Et pourtant nous avons lu: "Macky Sall impose un accord".
Je vous dis qu'au regard des réalités de la diplomatie internationale, la presse de Macky, spécialisé en cirage de carapace, travaille réellement contre sa réussite. Par ignorance et griotisme excessif. Parce que tout simplement l'image d'un Macky Sall qui va au Burkina pour imposer quoi que ce soit est une image qui travaille contre sa réussite.
En fait de réussite, même pour le projet d'accord ainsi présenté, le point 8 est une preuve d'échec de Macky (dans le sens où la presse des 100 veut abêtir sur une réussite par imposition de Macky). Parce que le but affiché du coup d'état a été le fait que les candidats dits proches de Compaoré avaient été écartés. Les voilà reconnus candidats par le point 8. Les militaires ont eu gain de cause. Le gouvernement de la transition est désavoué parce que ces décisions ont été invalidées et le contraire validé.
Pire,au point 7 de l'accord, une camisole de force vêt, désormais, le gouvernement de transition. Son pouvoir est restreint à l'organisation des élections, et une organisation non pas comme il comptait le faire (en écartant certains) mais comme cela lui est imposé par les militaires. Et surtout, et surtout, le dossier Sankara est suspendu. Eh oui, parce que le pouvoir de transition n'a plus compétence de faire autre chose qu'organiser des élections.
Au point 9, deuxième réussite des militaires. La réforme des forces armées (accusées d'être une bombe à retardement de Compaoré) est suspendue.
Au point 11: Aucun pouvoir n'est retiré aux militaires. Ils continueront d'assurer la sécurité de ceux qu'ils avaient déposé par coup d'état. Avez-vous noté l'ironie ?
Et au point 12: Ce que les militaires viennent de faire est effacé. Ils n'ont rien fait.
Alors, franchement, où est la réussite de Macky ? Où est son accord imposé ? Est ce que si, tout de suite, Kofando avait accepté tout cela, Macky aurait besoin de se déplacer là-bas ? Il n'y a dans cet accord (ou projet) que ce que les militaires exigeaient.
Aah Xeme
En Septembre, 2015 (13:34 PM)partout et tu sais tout ,dis à hollande que ns citoyen français mixe djoloff
on veut pas de migrants syriens musulman
deja qu on a pas fini avec djihadiste enprentis sorcier de daésh ,doyneu seukk tchi sééne groupe de diouliite arabe ! migrants syriens chretien ,yazidi welcom ,les autres n ont cas allé en arabie ,russie ou ils seront mieux traité vu qu ils aime tous meme chose ,burqa ,allale ,charia ,pas nous ! nous sommes nous charlie et islamophobe contre les intégriste
Hollande Ou Pays Bas
En Septembre, 2015 (14:11 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (14:23 PM)Participer à la Discussion