Le ministre de l'Environnement et du Développement durable, Mor Ngom, a préconisé, jeudi à Dakar, le changement de comportement pour aboutir au développement durable, avant de mettre en avant la recherche de « solutions endogènes ».
Mor Ngom s'exprimait dans le cadre du prochain séminaire international francophone sur les villes durables (22 au 24 octobre) à Kaolack.
Il s'agira , a-t-il expliqué, « de s'interroger et de renforcer les interrogations sur la relation gestion environnementale et développement socio-économique, sur les variables pertinentes de compréhension de leurs problèmes, sur la construction d'outils et d'indicateurs pour des solutions pratiques durables ».
Pour ce faire, a-t-il dit, trois axes feront l'objet d'une réflexion. Selon M. Ngom, « La première porte sur la recherche de pistes d'action pour élaborer des démarches endogènes, la seconde sur les priorités pour un « plan climat » adapté aux villes du Sud, porteuses de développement économique et de cohésion sociale, et enfin, l'élaboration d'un programme d'action ».
4 Commentaires
Bour
En Septembre, 2013 (16:22 PM)Si vous arrivez a faire de l'environnement non pas un probleme mais un secteur capable des generer des ressources au profit des populations et des acteurs (y compris le prive) alors sera tres bien. Vous vous parvenez a dialoguer aves autres ministere qui portent atteinte a l'environnement (mines, industries, tourisme, routes, villes, etc) ce sera un bon debut. Pour cela il faudra nettoyer le border laisse par haidar qui a tout desorganise, re refinir la mission de ce ministere, mettre les hommes qu'il faut et les laisser travailler et les rendre plus comptables de leurs resultats
L'environnenent merite des meilleurs ministres que ce qu'a a vu depuis Fada, Thierno lo, djibo et haidar
Alphaone
En Septembre, 2013 (04:54 AM)Car même "ton créateur" à prévu ça.
N'goné Latyr
En Septembre, 2013 (11:40 AM)On ne peut parler de développement durable sans parler d'éducation de base, si nous faisons une photographie de la société sénégalaise de 1960 à nos jours, on se rendra compte que le comportement des sénégalais a subi une régression dans tous les domaines qui est due en grande partie à la pauvreté : le niveau de l'éducation à baisser, un exode rural massif et incontrôlé avec son convoi d'insalubrité, d'incivilité et de délinquance, une recrudescence du trafic de la drogue, de la prostitution et des agressions dans Dakar et sa banlieue. Le remède : Inverser le développement socio-économique des villes vers les campagnes par la décentralisation, pour fixer les populations dans leurs terroirs par une agriculture moderne, un élevage moderne et une pêche avec des vrais bateaux.
Merci,
Delco
En Septembre, 2013 (18:32 PM)Participer à la Discussion