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Economie

La multinationale japonaise Kagome en roue libre au Sénégal

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La multinationale japonaise Kagome en roue libre au Sénégal

La société japonaise Kagome, deuxième productrice mondiale de tomates, va ouvrir une unité industrielle dans la zone de Saint-Louis. Piqués au vif, des acteurs de la filière sénégalaise de "l'or rouge" alertent sur les dangers qui menacent ce secteur névralgique devenu la chasse gardée de puissants groupes transfrontaliers.

"Le président de la République, qui évoquait le suivi de la coopération et des partenariats, s'est félicité de l'ouverture prochaine d'une unité industrielle de la société japonaise Kagomé, deuxième productrice mondiale de tomates, dans la zone nord (Saint-Louis, Dagana). Le chef de l'État a demandé au Premier ministre de présider la cérémonie de lancement de la filiale sénégalaise de Kagome, en vue d'encourager cette première expérience dans le domaine agricole au Sénégal, une initiative en parfaite adéquation avec notre stratégie de développement des chaînes de valeurs et de création d'activités génératrices de revenus en milieu rural."

Ainsi est libellé le faire-part de naissance de cette usine de tomates, glissé dans le communiqué du dernier Conseil des ministres.

Ingrédient essentiel dans la tradition culinaire locale des pays de la Communauté économique des États d'Afrique occidentale (Cedeao), le concentré de tomate reste, pour des méthodes inadaptées de culture et un niveau élevé de stress phytosanitaire, un produit loin d'être florissant en termes de qualité et de quantité. Aussi, presque tous les dérivés de tomate consommés dans cet espace sous-régional dépendent des importations. Une brèche dans laquelle veut s'engouffrer la multinationale japonaise.

Deuxième productrice mondiale de tomates, Kagome nourrit le dessein de booster sa compétitivité, car la société prévoit de réaliser elle-même tout le processus, de l'obtention des semences à la production agricole, en passant par la transformation et la distribution. Considérant l'entreprise verticalement intégrée comme une base pour la promotion de son activité, Kagome va tester ce modèle au Sénégal, contribuer à la promotion de débouchés pour la distribution des dérivés de la tomate au Sénégal et en Afrique occidentale et créer de nouvelles opportunités commerciales à l'international.

Un champ savamment défriché
Mais, des voix autorisées, loin d'être agréées par une telle perspective, n'ont pas tardé à tirer la sonnette d'alarme. Pour, disent-elles, "éviter à la filière tomate sénégalaise de mourir de sa belle mort et de tomber entre les mains de puissants groupes transfrontaliers". Citant un communiqué de presse publié le 27 octobre dernier par la société Kagome Co Ltd, qui a porté sur les fonts baptismaux sa filiale Kagome Sénégal Sarl le 1 décembre 2017, nos interlocuteurs expriment leurs craintes sur les visées de la multinationale nippone "qui prévoit d'étendre, à l'avenir, ses activités au domaine de la fabrication de dérivés de tomate et de se lancer sur le marché de la tomate transformée au Sénégal et dans les pays membres de la Cedeao)".

Leur peur est d'autant plus justifiée que "Kagome- qui dispose depuis mars 2016 d'un Centre de développement et de recherche pour l'industrie alimentaire au Portugal et compte mettre en place une nouvelle zone de culture de tomates au Sénégal en faisant appel aux ressources techniques agricoles des diverses filiales du groupe, notamment l'obtention de semences et les techniques culturales-, a exploré le potentiel pour la culture et la transformation des tomates au Sénégal entre 2014 et 2017 en se servant d'une étude fouillée de l'Agence de coopération internationale japonaise (Jica)".

Un travail exploratoire dont les conclusions sont sans appel : "Le Sénégal dispose de terres bien adaptées à la culture des tomates et le risque sécuritaire y est moindre en raison de la situation politique plus stable que dans d'autres pays de la Cedeao. Le pays dispose d'un accès prometteur à des marchés pour la tomate d'industrie qui sont géographiquement proches, dont le Nigeria et le Ghana, en complément de son marché national. Et, cerise sur… la tomate, l'Agence japonaise pour le commerce extérieur (Jetro) a accordé aux efforts de Kagome le statut de projet de démonstration pour le commerce en Afrique en 2017."



41 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (11:22 AM)
    PENDANT QUON SE CONCENTRE SUR DES ANNERIES LES ETRANGERS CONNAISSE ET EPLOITE NOS VRAI POTENTIALITE ET SE FONT DES MILLIARD C'EST TRISTE
  2. Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (11:29 AM)
    Personne n ose plus investir au senegal par la faute des lobbyes de merde. Laisser les gens venir au senegal investir . Par la faute de la presse corrompue les investisseurs fuient le senegal . Y a beaucoup de jeunes diplomes qui ne font que dormir et a boire du the . Un pays ne peut pas se developper sans de grandes industries  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (11:31 AM)
    Pourquoi le capital Sénégalais ou africain ne s'empare pas de cette culture et de cette industrie? Ce n'est quand même pas dur de faire pousser des tomates et de les mettre en boite!
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (11:35 AM)
    Le Sénégalais save que parler ce pays à besoin des investisseurs si la Chine è parti c'est à cause des investisseurs étrangers wax wax rek
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (11:47 AM)
    tout ce qu'on fait de bon ,au senegal les négationnistes automatiques s'opposent heureusement que l'état ne les écoute jamais sinon on retournerait au moyen age pendant que le monde entier avance
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (11:54 AM)
    Iimperéalisme économique.
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (11:55 AM)
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (11:56 AM)
    Impérialisme économique.
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (11:58 AM)
    ça nous donne un idée sur les APE !
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (12:08 PM)
     :emoshoot:  :fbhang: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (12:13 PM)
    DECRET n° 2003-657 du 14 août 2003 relatif aux Régies de Recettes et aux Régies d’Avances de l’Etat.



    Le President de la Republique ;



    Vu le Constitution, notamment en ses articles 43 et 67 ;



    Vu la loi organique n° 2001-09 du 15 octobre 2001 relative aux lois de Finances ;



    Vu le décret n° 62.195 du 17 mai 1962 portant réglementation concernant les comptables publics ;



    Vu le décret n° 75-1110 du 11 novembre 1975 fixant l’indemnité de responsabilité des régisseurs ;



    Vu le décret n° 2001-857 du 7 novembre 2001 portant nomenclature budgétaire de l’Etat ;



    Vu le décret n° 2003-101 du 13 mars 2003 portant règlement général sur la comptabilité publique ;



    Vu le décret 2003-162 du 28 mars 2003 portant plan comptable de l’Etat ;



    Vu le décret n° 2003-645 du 28 juillet 2003 organisant les vacances annuelles du Gouvernement pour l’année 2003 et relatif à l’intérim du Premier Ministre ;

    Le Conseil d’Etat entendu en sa séance du 10 juin 2003 ;

    Sur le rapport du Ministre de l’Economie et des Finances.



    Decrete :



    Chapitre premier. - Dispositions générales



    Article premier. - Le présent décret fixe les conditions d’organisation, de fonctionnement et de contrôle des régies de recettes et des régies d’avances de l’Etat instituées en application de l’article 33 du décret n° 2003-101 du 13 mars 2003 portant règlement général sur la comptabilité publique.



    Les comptables publics pour le compte desquels les régisseurs effectuent leurs opérations sont dénommés dans le présent décret comptables assignataires.

    Les régies de recettes sont destinées à faciliter le recouvrement de certaines recettes perçues au comptant d’un montant minime ou d’un recouvrement urgent.

    Les régies d’avances sont destinées, soit à faciliter le règlement des menues dépenses des services, soit à accélérer le règlement de certaines dépenses dont la nature permet de substituer un contrôle a posteriori au contrôle a priori.



    Chapitre II. - Organisation des régies



    Art. 2. - Les régies de recettes et les régies d’avances de l’Etat sont créées par arrêté du Ministre chargé des Finances.



    Toutefois, dans les limites et conditions fixées par un arrêté du Ministre chargé des Finances, des régies peuvent être créées par arrêté du gouverneur de région après avis du comptable assignataire.



    Art. 3. - Le régisseur est nommé par décision du Ministre chargé des Finances sur proposition du ministre auprès duquel la régie est instituée.



    Toutefois, en ce qui concerne les régies créées par le gouverneur de région en application du 2ème alinéa de l’article 2, le régisseur est nommé par décision de ce dernier sur proposition du chef du service régional concerné. La nomination du régisseur est soumise à l’agrément du comptable assignataire.



    Art. 4. - Avant d’entrer en fonction, le régisseur est tenu de constituer un cautionnement pour le montant fixé par arrêté du Ministre chargé des Finances.

    Toutefois, les régisseurs d’avances ou de recettes sont dispensés de la constitution d’un cautionnement lorsque le montant de l’avance consentie ou le montant mensuel des recettes encaissées n’excède pas un seuil fixé par arrêté du Ministre chargé des Finances.



    S’agissant de la création de régie temporaire appelée fonds d’avance à régulariser, c’est-à-dire pour une période n’excédant pas six mois ou pour une opération particulière, le régisseur pourra être dispensé de constituer un cautionnement sur décision du Ministre chargé des Finances.



    Art. 5. - Le régisseur ayant cessé ses fonctions peut obtenir un certificat de libéralisation définitive des garanties prévues à l’article précédent :



    - s’agissant d’une régie de recettes, s’il a versé au comptable assignataire la totalité des recettes encaissées par ses soins et n’a pas été constitué en débet ;



    - s’agissant d’une régie d’avances, s’il a justifié de l’emploi de l’intégralité des avances mises à sa disposition, si le comptable assignataire a admis ses justifications et si le régisseur n’a pas été constitué en débet.



    Le certificat mentionné ci-dessus est délivré par le Directeur chargé de la Comptabilité publique sur demande du régisseur après avis du comptable assignataire.

    Le comptable assignataire dispose d’un délai de cinq mois pour se prononcer sur cette demande. Passé ce délai, il ne peut s’opposer à la délivrance du certificat que s’il demande au Ministre chargé des Finances la mise en débet du régisseur.



    Le certificat de libération définitive est accordé au régisseur dès l’apurement du débet.



    Chapitre III. - Fonctionnement des régies



    Section 1. - Régies de recettes



    Art. 6. - Sauf dérogation accordée par le Ministre chargé des Finances, les impôts, taxes et redevances prévus au Code général des Impôts, au Code des Douanes et par les lois en vigueur ne peuvent être encaissés par

    l’intermédiaire d’une régie.



    Toutefois, cette disposition n’est pas applicable aux régies de recettes de l’Etat à l’étranger.

    La nature des produits à encaisser est fixée par l’arrêté prévu à l’article 2 du présent décret.



    Art. 7. - Les régisseurs encaissent les recettes réglées par les redevables par versement en, numéraire, par remise de chèques ou par versement ou virement à un compte de disponibilités ouvert ès qualités.

    Le numéraire est versé dans les conditions définies par

    l’arrêté prévu à l’article 2.

    Les chèques sont remis à l’encaissement au plus tard le lendemain de leur réception par le régisseur.



    Art. 8. - Les régisseurs justifient au comptable assignataire, au minimum une fois par mois, les recettes encaissées par leurs soins ou lorsque le plafond de l’encaisse arrêté dans l’acte de création de la régie est atteint.



    Section 2. - Régies d’avances



    Art. 9. - Peuvent être payés par l’intermédiaire d’une

    régie :



    1 - les dépenses de matériel et de travaux d’entretien applicables au fonctionnement des services, dans la limite d’un montant maximum par opération fixé par arrêté du Ministre chargé des Finances ;



    2 - la rémunération des personnels payés sur une base horaire ou à la vacation, y compris les charges sociales y afférentes ;



    3 - les secours urgents et exceptionnels ;



    4 - les dépenses de transfert dans la limite d’un montant fixé par arrêté du Ministre chargé des

    Finances ;



    5 - les frais de transport, de mission et de stage, y compris les avances sur ces frais ;



    6 - pour les opérations à l’étranger, toute autre dépense nécessaire au bon fonctionnement du service situé à l’étranger dans des conditions fixées par arrêté conjoint du Ministre chargé des Finances et du Ministre chargé des Affaires étrangères.



    Les modalités d’application de cet article, notamment en ce qui le concerne les dépenses de matériel et de travaux d’entretien payables par l’intermédiaire d’une régie d’avances, sont précisées par une instruction du Ministre chargé des Finances.



    Art. 10. - Il est mis à la disposition de chaque régisseur une avance dont le montant, fixé par l’arrêté ayant institué la régie et, le cas échéant, révisé dans la même forme, est au maximum égal, sauf dérogation accordée par le Ministre chargé des Finances, au quart du montant prévisible des dépenses annuelles à payer par le régisseur.

    L’avance est versée par le comptable assignataire au vu d’une demande du régisseur appuyée de l’arrêté et de la décision énoncés aux articles 2 et 3 du présent décret et visée par l’ordonnateur compétent et le contrôleur des opérations financières.



    Art. 11. - Les régisseurs effectuent le paiement des dépenses par virement, par chèque, par mandat-carte ou en numéraire dans les conditions fixées par la réglementation en vigueur.



    Art. 12. - Le régisseur remet les pièces justificatives des dépenses payées par ses soins au comptable assignataire.

    Sauf dérogation accordée par le Ministre chargé des Finances, la remise de l’ensemble des pièces justificatives intervient au minimum une fois par mois. L’ordonnancement intervient pour le montant des pièces reconnues régulières2.



    Art. 13. - Les régisseurs d’avance sont tenus de produire les pièces justificatives prévues par la réglementation en vigueur. Les doubles des pièces justificatives sont conservés pendant deux ans par le régisseur qui les tient à la disposition des organes ou agents de contrôle.



    Section 3. - Dispositions communes aux régies de recettes et aux régies d’avances.



    Art. 14. - Les régisseurs peuvent être assistés de sous régisseurs désignés dans les mêmes formes avec l’accord du régisseur concerné. Les régisseurs sont astreints à tenir une comptabilité.

    Cette comptabilité doit faire ressortir à tout moment :



    - pour les régies de recettes, la situation de leur encaisse ;



    - pour les régies d’avances, la situation de l’avance reçue.

    Elle comporte :



    - le livre de caisse, où sont consignées les opérations de recette et de dépense, les entrées et sorties d’espèces et valeurs et le solde de chaque journée ;



    - un quittancier à souche ;



    - et, suivant la nature des services, tous carnets de détails utiles.

    Les livres de comptabilité des régisseurs sont cotés par le comptable assignataire. Ils sont tenus au jour le jour et totalisés à la fin de chaque mois.



    Chapitre IV. - Contrôle



    Art. 15. - Les régisseurs de recettes et les régisseurs d’avances sont soumis aux contrôles du comptable assignataire, de l’ordonnateur et de l’administrateur des crédits auprès duquel ils sont placés. Ils sont également soumis aux vérifications de l’inspection générale des Finances et à celles des autres structures de contrôle de l’Etat.



    Chapitre V. - Dispositions transitoitres



    Art. 16. - A titre transitoire, les dispositions relatives

    au fonctionnement des régies créées antérieurement à l’entrée en vigueur du présent décret demeurent applicables jusqu’au 31 décembre 2003.



    Art. 17. - Le Ministre de l’Economie et des Finances est chargé de l’exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel.



    Fait à Dakar, le 14 août 2003

    Abdoulaye WADE.



    Par le Président de la République :



    Pour le Premier Ministre,



    Le Ministre d’Etat,



    Ministre des Sports



    chargé de l’intérim
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (12:16 PM)
    Sénégal à cause de la propension de la population à parler, parler et contester nous faisons fuir les investisseurs. c'est positif que le 2eme producteur mondial viennent investir au sénégal.
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (12:17 PM)
    tous les pays protegent leur agriculture et leurs terres agricoles (qui se font rares surtout au Nord, mais sont encore intactes chez nous)...à commencer par les Japonais...l'Union Européenne n'en parlons pas...!!!
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (12:19 PM)
    bon article et, espérons, bon projet. mais ç'aurait été bien de nous éclairer sur ce que veut dire "l'obtention de semences". Cela va-t-il être de semences génétiquement modifiées? quid des risques environnementaux et en matière de biodiversité que ferait courir l'emploi de semences génétiquement modifiées? Il y a peut-être bien un document technique qui parlent des impacts de ce projet... Ça n'intéresse peut-être pas tout le monde mais ça peut être bénéfique de relever le niveau d'information pour que les gens puissent se fonder une opinion la plus correcte possible. Au boulot, seneweb
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    Auteur

    Bienvenue

    En Février, 2018 (12:38 PM)
    Réjouissons nous que de groupes du genre qui ont non seulement les moyens financiers mais aussi etsurtout le savoir faire et l'expérience choisissent notre pays , le Senegal pour déployer et développer leurs activités économiques.

    Nous nous en félicitons d'autant qu'il s'agit par ailleurs de groupes asiatiques qui ont une autre culture que les Occidentaux et dont nos populations agricoles peuvent beaucoup apprendre !

    Mais le mieux serait qu'un Centre de développement et de recherche pour l'industrie alimentaire du groupe Kagome soit créé in situ, soit sur place et qu'il emploie des ingénieurs et techniciens Sénégalais : il faut peut etre le susciter, l'inciter car c'est surtout de ce Know how que nous avons besoin ajouté à ce qui se fait a l'Isra et l'Ita.

    Maintenant pour le reste, il faut laisser les mécontents grogner , c'est normal et dans l'ordre des choses!
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    Auteur

    Yosutochi Yamatomato

    En Février, 2018 (12:58 PM)
    O haiyoooo gozaimasu

    Yosutochi Yamatomato desu

    i dachi machité

    seumimasène thiébou dieune nékhna
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    Auteur

    Ngor

    En Février, 2018 (13:04 PM)
    je parle à ceux qui sont contre les investissements étrangers, ils sont où les sénégalais disposés à investir au Sénégal et créer des emplois pour la jeunesse sénégalaise?

    l'essentiel est que l'etat de par ses corps de contrôle fasse de sorte que le peuple ne soit lésé dans tous les sens: accords, contrats de travail des futurs empoyers, la taxation etc..

    S'il y a des sénégalais capables de mettre les sous pour developper ce pays c'est mieux mais dés qu'on a pas d'investisseurs locaux que faire???? qu'ils viennent tous et que l'etat joue son rôle comme il se doit.
    Auteur

    @13

    En Février, 2018 (13:06 PM)
    mais ç'aurait été bien de nous éclairer sur ce que veut dire "l'obtention de semences"





    Tu te trompes de site: ici c'est "titres en rafales et 3 lignes d'exposé...."

    Va chercher ailleurs des articles "pointus"
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    Auteur

    La France

    En Février, 2018 (13:09 PM)
    Mafia de la tomate - champ libre pour les japonais. Quelle est la pertinence de de titre? Une sorte de campagne française contre tout non français? À priori on doit se féliciter qu'un groupe ainsi important en expertise surtout s'installe au Sénégal. Aux autorités de négocier avec ce groupe et en étroite collaboration avec les acteurs de la filière, pour en tirer le meilleur possible financièrement pour les acteurs, et économiquement pour le Sénégal. Quand même chiant cette façon à la française d'essayer de manipuler les sénégalais
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (13:40 PM)
    Quand Est-ce-que qu'on va prendre notre destin en main et gérer notre économie nous même. Pourquoi on doit tout donner aux étrangers ?

     :frustre:  :frustre:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (13:58 PM)
    Arrêtons le bavardage et mettons nous au

    Travail.
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (14:38 PM)
    ATENTION AUX PESTICIDES

     :taz-smile:  :taz-smile:  :taz-smile:  :taz-smile:  :taz-smile:  :taz-smile:  :taz-smile:  :taz-smile:  :taz-smile: 
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    Auteur

    @18

    En Février, 2018 (14:57 PM)
    Eh le parano qui te dit que c'est n'est pas "un nationaliste" dans ton genre qui bave pour cet article...



    STP va faire le tour des Almadies et demande à NOS GRANDS patriotes de se bouger les fesses sur autre chose que du Mbalax....

    Et si il reste à Thione quelques billets, qu'il en fasse profiter la compétitivité nationale.
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (15:01 PM)
    Bientôt les japonais nous colonisent comme c'est actuellement les français. Quand le privé national n'investit pas et que les autres investissent on se plaint, on oublie que des emplois seront créés et que les caisses de l'Etat seront renfloués... J'ai l'impression que l'on ne peut pas et que l'on ne veut pas laisser les autres essayer et on est jaloux des gains qu'ils feront.
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    Auteur

    Anonyme Deug Nekhoul

    En Février, 2018 (15:17 PM)
    ABDOUL SY DE LARM SE CROIT TOUT PERMIS EN RENVOYANT DES EMPLOYES IL EST LE COUSIN DU PRESIDENT OK DIEU NOUS REGARDE 2019 N EST PAS LOIN
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (16:06 PM)
    Les industries locales, importatrices de tomates concentrée pour être reconditonnée et vendu aux populations comme produit localement, n'ont jamais aidé les producteurs locaux. Ce sont elles qui tuent la filière tomate made in Sénégal. A présent que d'autres songent à investir la filière du 100 pour cent made in Sénégal, ils font le même cinéma que la sococim et les ciments du sahel avait initié contre dangoté cement. La suite vous la connaissez. Voilà qui résume tout.
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    Auteur

    Makox

    En Février, 2018 (16:16 PM)
    Je n'en crois pas à mes lunettes ! Si nous ne sommes pas en mesure de produire de la tomate ou n'importe quel céréale qui peut pousser chez nous pour nous nourrir, j'affirme, qu'on n'est pas encore pret à sortir du sous déveleppement. Au passage, j'aime assez bien la politique de coopération du japon. Mais ici, sans l'en vouloir, je pense que produire de la tomate est cas une chose pas dure en autant que le climat le permette. They nos dirigents !
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (16:25 PM)
    LA SDE N'APPARTIENT PAS AU SENEGAL MAIS A LA SOCIETE FRANCAISE ERANOVE !!!! ARRETEZ DE PIAYEEER .



    En Afrique

    Anciennement connu sous le nom de Finagestion, le Groupe Eranove est un acteur majeur de la gestion des services publics et de la production d'électricité et d'eau potable en Afrique de l'Ouest.



    Le Groupe intervient en Côte d'Ivoire (SODECI, CIE, CIPREL et AWALE) depuis plusieurs décennies, au Sénégal (SDE) depuis 1996 et en République Démocratique du Congo, via un contrat de service avec la REGIDESO, depuis 2012.



    Le Groupe et ses filiales sont pleinement engagés dans tous les aspects de la Responsabilité Sociale d'Entreprise (RSE) en satisfaisant aux normes de qualité, de sécurité et d'environnement selon les normes de certification ISO 9001, OHSAS 18001 et ISO 140001.
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (16:49 PM)
    Pourquoi les Senegalais n'investissent pas dans l'agro-alimentaire? le Senegal a beaucoup de terre , le soleil et l'eau......mais dans ce pays on préfère acheter de la camelote Chinoise à Dubaï pour revendre au Senegal puis le benefice est investit dans l'immobilier ! la vérité c'est que le Senegalais n'a aucune ambition , aucun courage, qu'il aime la facilité et critique les sociétés étrangères qui viennent investir ici !
    Auteur

    Manchan

    En Février, 2018 (16:59 PM)
    En tous cas

    Tous les pays que les Japonais avaient colonises sont developpes et sont meme entrain de depasses la france.

    EX;La coree du sud,la Malaisie ou encore la chine etc...

    Par contre toutes les colonies francaises sont tous entrain de tomber dans la misere.

    Les Japonais ont investis dans leur education(bourses d'etudes),les apprendre un metier et transferer leur industries chez eux et employer les memes personnes.

    La france par contre nous devalue et refuse le visa a nos pauvres citoyens.

    Kagome Welcome ,Japanese people welcome.

    Ils sont mieux que les chinois, tres disciplines,travailleurs,ponctuels,tjrs a l'heure et tres tres tres tres propres.

    Degager la France qui ne nous sert a rien.

    L'anglais a l'ecole.

    Je connais bien les Japanais pour avoir travailler chez eux .

    j"assemble les voitures suburu, Toyotas et des telephones portables,compuper.

    Ils t'apprennet tout ces gens la.

    Hontoni Senegal ni quite kudasai. and quick the french"s ass out.

    . .



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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (17:05 PM)
    les plus grands pays du monde cherchent a attirer les investisseurs etrangers.en France,si tu as de l'argent,tu achetes ce que tu veut.les arabes et les autres asiatiques non arabes achetent meme les plus grandes equipes de football comme Paris s Germain,des hotels,des chateaux etc...attirer des investisseurs etrangers est un indice de la bonne marche d'un pays.les investisseurs ne vont jamais dans un pays en guerre ou instable.aux senegalais d'aller investire hors du pays
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (18:46 PM)
    Vois avez pensé aux producteurs sénégalais de cette filière ?

    Ils.vont.tous se retrouver dans la merde dès l'installation de cette multinationale.

    Attention.....
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (19:16 PM)
    Problème bi moy THOKHOR !!, pas sokhor deh mais je dis bien THIOKHOR (mo gueuneu fort).

    Si un senegalais se levait pour mettre ses billes dans des choses aussi grands, aucune etude de marché ou étude de faisabilité ne pourra le montrer ce qui l'attend.

    Dés l'instant qu'on te connais, tu es né tu as grandi et joué avec nous dans ce pays, certains gens n'accepteront pas ta reussite et bienvenue les croche pieds. D'un autre coté, pour quelqu'un qui n'a aucun bras long et qui va devoir partir de zéro, il sera à bout de souffle à cause de tous les petits "1000 fr" dont il devra s'acquiter ca et là pour avoir des choses pourtant officiellement gratuites ou libre d'acces.



    Au final, ici (contrairement ux usa par exemple) il ne suffit pas seulement davoir du courage et de l'ambition a en revendre pour s'en sortir à partir de rien (à part quelques exceptions) il vous faut etre une pieuvre ( des bras longs et surtout beaucoup) et du monde derriere vous
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (21:32 PM)
    Le Japon à été toujours présent au Jolof. La plus grande centrale électrique Mitsubishi de Kounoune est japonaise. Mais comme elle vous fourni du courant pour regarder Réal vs Barca vous êtes à l'extase.

    Si nos milliardaires préfèrent investir dans la presse pour se donner un nom et mieux faire chanter les véreux politiciens, d'autres viennent mettre leurs sous à leur place.

    Détrompez vous, une multinationale d'une telle envergure ne vise pas le marché sénégalais. Vous ne travaillez pas et vous ne laissez pas les autres faire leur boulot.
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    Auteur

    Manel Fall

    En Février, 2018 (22:11 PM)
    Dantre! Ou sont passes les investisseurs grands hoomes d'affaires senegalais? C'est dommage que, avec tout ce que notre pays regorge de milliardaires, Yerim Sow, Youssou Ndour, et j'en passe des meilleurs, de cadres de haut niveau dans les domaines scientifiques techniques et financiers, nous ne sommes pas capables de prendre en main notre destin. Pourquoi ne pas occuper ces secteurs strategiques de developpement economique, en beneficier et en faire beneficier ses compatriotes et son pays, au lieu de les laisser entre les mains d'etrangers?
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (22:34 PM)
    Tres bonne initiative et a encourager. Le developpement passe par l'industrie :thumbsup: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (22:46 PM)
    post 35 :que pèse les grandes fortunes Senegalaises face aux grands groupes etrangers (Toyota, Samsung ,LG ,Siemens etc.......) rien !!! il ne faut pas avoir peur des multinationales qui veulent investir au Senegal ; boulot pour les jeunes, developpement des PME en sous-traitance , transfert de technologie....
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (23:43 PM)
    Aitcha bok les japonais nous apprennent comment cultiver ses tomates et créer son entreprise. Il faut en profiter comme ça sunu Thiéboudiène gueuna saf si niom  :smile:  :sunugaal: 
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    Auteur

    Anonyme Urube

    En Février, 2018 (10:23 AM)
    VS TOUS DES PECNOTS, LE PROBLEME N EST LA, MAIS AU SENEGAL YA 3 UNITES INDUSTRIELLES QUI PEUT COUVRIR TOUS LE SENEGAL.POURQUOI 1 AUTRE, CA VEUT DIRE QUOI LES PLUS FABLES VONT FERMER. SI ON PEUT DEVELOPPER 1 PAYS, ON REGARDE LES SECTEURS QUI N ONT PAS BRAUCOUP D ACTIVE , ON LES DONNE AUX INVESTITEURS.IL FAUT AIDER LES NATIONAUX.POURQOUI NE REPRENDRE LA SOTIBA, L ICOTAF.L ICS NE MARCHE PLUS.MAINTENANT VS ALLEZ TUE LES UNITES EXSISTANTE ET CREE D AUTRES CHOMEURS.VOILA LA QUESTION AU LIEU DE NOUS LES INVESTEURS NATIONAUX.LES NATIONAUX S ILS INVESTISSENT DANS 1 SECTEUR DEMAIN DANS CE MEMESSECTEUR ON LES DONNEES AUX ETRANGER POUR CONCURENCER SES NATIONAUX.L AFRIQUE 1 CONTINENT DE PERDRE, VIVE DONALD TRUMP
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    Auteur

    Japan Fr

    En Février, 2018 (12:24 PM)
    Ils ont tellement été efficace que RENAULT a racheté NISSAN.....



    On oublie la haine, on garde son sang froid, on pète un coup et on reste objectif....

    RIEN DE PIRE QUE DE GÉNÉRALISER......



    Au bled on un Cheikh Anta Diop et un Farba Ngom.....les sénégalais sont ils tous égyptologues ou griots ?

    ou Wilane ou Farba Senghor ou Saint James ou Koudou ou Sindiely FESMAN ou Aline Sitoé Diatta ?
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2018 (18:02 PM)
    arrêtez vos nationalismes bidons et sans valeur . laissez les capitaux étrangers venir créer de l'emplois au Sénégal . même les pays industrialisés se concurrencent pour capter ses investissements et créer du travail pour leur jeunesse . il faut un état fort pour qu'il y est de l'ordre .

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