Lors de la cérémonie de remise des prix du Concours Général 2025, tenue au Grand Théâtre de Dakar en présence du président Bassirou Diomaye Faye, Ameth Babou, élève en Première S1 au Prytanée militaire de Saint-Louis, s’est distingué comme la révélation de cette édition. Sur les 113 lauréats (55 filles et 58 garçons), il a remporté quatre distinctions en français, espagnol, mathématiques, ainsi qu’en citoyenneté et droits de l’homme, décrochant le titre de meilleur élève du Concours Général 2025 et de meilleur élève des classes de Première.
Son exploit fait honneur à son établissement et constitue une fierté nationale. Cette année, les séries scientifiques ont dominé avec 75 lauréats sur l’ensemble des prix décernés.
Parrainée par André Sonko, ancien ministre de l’Éducation et directeur du Cours Sainte-Hann, l’édition 2025 met en lumière l’excellence, le mérite et l’engagement de la communauté éducative sénégalaise.
Les écoles d'excellence: prytannée, LSD, Lycée de Kolda doivent avoir leurs concours à part. Ils sont mis dans des conditions exceptionnelles par rapport aux autres écoles.
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il y a 1 mois
Les écoles d'excellence: prytannée, LSD, Lycée de Kolda doivent avoir leurs concours à part. Ils sont mis dans des conditions exceptionnelles par rapport aux autres écoles.
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il y a 1 mois
Les écoles d'excellence: prytannée, LSD, Lycée de Kolda doivent avoir leurs concours à part. Ils sont mis dans des conditions exceptionnelles par rapport aux autres écoles.
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il y a 1 mois
ON AIMERAIT BIEN SAVOIR LES RESULTATS DES CPGE DE THIES LORS DES CONCOURS DES ECOLES D INGENIEUR
Y A T IL DES ADMIS POUR POLYTECNIQUE X OU CENTRALE VOIRE TELECOM PARIS
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il y a 1 mois
L’avenir de la médecine réside dans le numérique et l’intelligence artificielle, avec des outils de diagnostic et de traitement très avancés capables de vaincre n’importe quelle maladie. La collaboration entre médecins et ingénieurs du numérique ouvre des perspectives extrêmement prometteuses.
Cependant, nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs suffisamment équipées pour former dans ce nouveau domaine.
C’est pourquoi le gouvernement doit relancer l’attribution de la bourse d’excellence pour la France, notamment dans le cadre des classes préparatoires aux grandes écoles d’ingénieurs. Il est également impératif d’élargir cette coopération à d’autres pays comme la Chine, l’Inde, le Japon, l’Australie, Singapour et l’Angleterre, afin de permettre l’envoi de centaines d’étudiants dans chacun de ces pays.
De nombreux pays en développement, comme le Maroc et la Chine, continuent d’envoyer chaque année des centaines d’étudiants en France pour bénéficier des meilleures formations en ingénierie, avec pour objectif de les voir revenir ensuite servir leur pays.
Il faut simplement mettre en place un dispositif garantissant leur retour au Sénégal à la fin de leur formation, suivi d’une période de trois ans d’expérience professionnelle, éventuellement à l’international.
Mais garder tous les bacheliers au Sénégal, alors que nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs capables de les former convenablement, constitue un véritable gâchis.
Les rares écoles existantes, comme l’École Polytechnique de Thiès ou l’École Supérieure Polytechnique de Dakar, ne sont malheureusement pas suffisamment outillées pour former des ingénieurs hautement qualifiés. À leur sortie, beaucoup de jeunes diplômés peinent à trouver un emploi et se voient proposer des salaires bruts de l’ordre de 400 000 FCFA, voire moins.
Un jeune qui réussit un baccalauréat S1 avec mention Bien ou Très Bien mérite d’être soutenu afin d’intégrer une école de haut niveau, qui lui garantira plus tard un bon salaire et une vie sociale épanouie. Mais faire tous ces efforts pour finir dans la précarité n’est pas un modèle qui incite à l’excellence.
L’industrialisation du pays ne sera possible que si nous disposons d’un vivier suffisant d’ingénieurs bien formés, issus des meilleures écoles du monde. Il est donc impératif d’envoyer nos étudiants à l’étranger pour qu’ils bénéficient de l’expertise avancée de ces pays dans des domaines clés tels que : les nouvelles technologies, le numérique, l’intelligence artificielle, les sciences spatiales, les neurosciences ou encore la biotechnologie.
Former une génération d’ingénieurs sénégalais compétents et à la pointe des technologies nous évitera de voir l’espace public accaparé par des personnes ignorantes tenant des discours creux. Dans une société bien formée, seuls ceux qui savent ont droit à la parole
il y a 1 mois
Les meilleurs doivent aller se former dans les plus grandes écoles mondiales
Cependant il faudrait un suivu radical pour qu il retourne au pays apres 5 ans d expérience professionnelle dans leur domaine car le pays a énormément dépensé pour eux
On depense des milliards et à la fin ces derniers ne rentrent pas au senegal ce qui est anormal
Commentaires (5)
Les écoles d'excellence: prytannée, LSD, Lycée de Kolda doivent avoir leurs concours à part. Ils sont mis dans des conditions exceptionnelles par rapport aux autres écoles.
Les écoles d'excellence: prytannée, LSD, Lycée de Kolda doivent avoir leurs concours à part. Ils sont mis dans des conditions exceptionnelles par rapport aux autres écoles.
Les écoles d'excellence: prytannée, LSD, Lycée de Kolda doivent avoir leurs concours à part. Ils sont mis dans des conditions exceptionnelles par rapport aux autres écoles.
ON AIMERAIT BIEN SAVOIR LES RESULTATS DES CPGE DE THIES LORS DES CONCOURS DES ECOLES D INGENIEUR
Y A T IL DES ADMIS POUR POLYTECNIQUE X OU CENTRALE VOIRE TELECOM PARIS
L’avenir de la médecine réside dans le numérique et l’intelligence artificielle, avec des outils de diagnostic et de traitement très avancés capables de vaincre n’importe quelle maladie. La collaboration entre médecins et ingénieurs du numérique ouvre des perspectives extrêmement prometteuses.
Cependant, nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs suffisamment équipées pour former dans ce nouveau domaine.
C’est pourquoi le gouvernement doit relancer l’attribution de la bourse d’excellence pour la France, notamment dans le cadre des classes préparatoires aux grandes écoles d’ingénieurs. Il est également impératif d’élargir cette coopération à d’autres pays comme la Chine, l’Inde, le Japon, l’Australie, Singapour et l’Angleterre, afin de permettre l’envoi de centaines d’étudiants dans chacun de ces pays.
De nombreux pays en développement, comme le Maroc et la Chine, continuent d’envoyer chaque année des centaines d’étudiants en France pour bénéficier des meilleures formations en ingénierie, avec pour objectif de les voir revenir ensuite servir leur pays.
Il faut simplement mettre en place un dispositif garantissant leur retour au Sénégal à la fin de leur formation, suivi d’une période de trois ans d’expérience professionnelle, éventuellement à l’international.
Mais garder tous les bacheliers au Sénégal, alors que nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs capables de les former convenablement, constitue un véritable gâchis.
Les rares écoles existantes, comme l’École Polytechnique de Thiès ou l’École Supérieure Polytechnique de Dakar, ne sont malheureusement pas suffisamment outillées pour former des ingénieurs hautement qualifiés. À leur sortie, beaucoup de jeunes diplômés peinent à trouver un emploi et se voient proposer des salaires bruts de l’ordre de 400 000 FCFA, voire moins.
Un jeune qui réussit un baccalauréat S1 avec mention Bien ou Très Bien mérite d’être soutenu afin d’intégrer une école de haut niveau, qui lui garantira plus tard un bon salaire et une vie sociale épanouie. Mais faire tous ces efforts pour finir dans la précarité n’est pas un modèle qui incite à l’excellence.
L’industrialisation du pays ne sera possible que si nous disposons d’un vivier suffisant d’ingénieurs bien formés, issus des meilleures écoles du monde. Il est donc impératif d’envoyer nos étudiants à l’étranger pour qu’ils bénéficient de l’expertise avancée de ces pays dans des domaines clés tels que : les nouvelles technologies, le numérique, l’intelligence artificielle, les sciences spatiales, les neurosciences ou encore la biotechnologie.
Former une génération d’ingénieurs sénégalais compétents et à la pointe des technologies nous évitera de voir l’espace public accaparé par des personnes ignorantes tenant des discours creux. Dans une société bien formée, seuls ceux qui savent ont droit à la parole
Les meilleurs doivent aller se former dans les plus grandes écoles mondiales
Cependant il faudrait un suivu radical pour qu il retourne au pays apres 5 ans d expérience professionnelle dans leur domaine car le pays a énormément dépensé pour eux
On depense des milliards et à la fin ces derniers ne rentrent pas au senegal ce qui est anormal
excellent!
excellent!
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