Pour résorber le gap des bacheliers non orientés, le chef de l’État avait pris l’attache de certains établissements privés du supérieur pour y orienter certains étudiants. Aujourd’hui, ces structures courent derrière la dette que l’État leur doit.
À l’Assemblée nationale, dans le cadre de l’examen du budget du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, le ministre des Finances et du Budget a apporté des éclaircissements concernant la situation de cette dette.
Mouhamadou Moustapha Ba explique qu’un audit a été fait pour déterminer le montant et de la dette. L’enquête a révélé « qu’un montant de 55 milliards a été payé en 2022, 2,2 milliards en 2023 ».
Le ministre ajoute que pour le projet de budget 2024, « il est prévu 4,5 milliards dans le cadre de l’apurement de cette dette. Ce qui porte le montant payé en 2024 à 61,8 milliards et le reste à payer par rapport au plan d’apurement élaboré de 9,2 milliards ».
2 Commentaires
Karim$
En Novembre, 2023 (22:17 PM)Reply_author
En Novembre, 2023 (22:29 PM)En verité dans les pays develops surtout aux USA et en Angleterre, les Etats envoient leurs etudiants dans les ecoles privés plus que dans les ecoles publiques. Waxal loo xam
Faut Réfléchir Toujours Pour E
En Novembre, 2023 (09:27 AM)Participer à la Discussion