Ce vendredi 1er août 2025, le gouvernement sénégalais a dévoilé son Plan de Redressement économique et social, marquant une étape clé dans la gestion des défis économiques actuels. Dans cet entretien accordé à Seneweb, Moubarack Lo, expert économique, évalue les orientations fixées par le gouvernement et apporte son éclairage sur les enjeux fiscaux et la relation avec le FMI.Le gouvernement a présenté ce vendredi son Plan de Redressement économique et social. D’abord, comment appréciez-vous les orientations générales fixées par le gouvernement ? Vont-elles dans le bon sens ?Oui, les mesures vont dans l’ensemble dans la bonne direction, notamment en ce qui concerne les recettes, car le gouvernement a identifié un grand nombre de niches fiscales potentielles. Cependant, il reste à passer à l’action et à mobiliser concrètement ces ressources, car le temps presse, et des dépenses devront être couvertes rapidement. Il est donc urgent de saisir le Parlement pour faire adopter les réformes nécessaires, car seul ce dernier peut autoriser la création de nouvelles recettes de cette nature.Il faut aller vite : la mise en œuvre du plan devrait débuter dès lundi prochain avec des actions que le gouvernement peut entreprendre sans délai. Pour le reste, il convient aussi de continuer à identifier des niches d’économies budgétaires. Si les annonces se sont concentrées principalement sur la mobilisation de recettes supplémentaires, peu de détails ont été donnés sur les dépenses. Certes, le Premier ministre a mentionné qu’un travail reste à valider, mais il faut accélérer ce processus et peut-être se fixer le mois d’août pour le finaliser. Dans la vie, il faut savoir trancher. Prendre des décisions dans ces domaines n’est sans doute pas facile, car cela touche des structures, des hommes et des femmes, mais gouverner, c’est précisément décider.« Sans FMI, mobiliser les bailleurs sera difficile »Il y a quelques semaines, dans les colonnes de Seneweb, vous souligniez le caractère vital d’un accord avec le FMI. Le Premier ministre opte lui pour « souverainiser » le pays avec un plan « financé à 90 % » par des ressources internes. Quelle est votre lecture ?Oui, concernant le FMI, il faut relativiser. Il y a deux aspects distincts, bien identifiés par le Premier ministre. D’abord, les ressources financières directes apportées par le FMI, qui ne sont pas si importantes. Mais le second aspect est crucial : sans un accord avec le FMI, le Sénégal aura du mal à mobiliser les partenaires au développement. Ces derniers ont, en quelque sorte, délégué au FMI le rôle de surveillant et de garant de la bonne gestion macroéconomique du pays. Chaque bailleur n’a ni la capacité, ni la volonté, ni l’efficacité pour le faire individuellement, d’où cette délégation. Ainsi, le Sénégal doit impérativement maintenir un dialogue avec le FMI pour obtenir une évaluation positive, s’il souhaite mobiliser des fonds auprès des bailleurs bilatéraux et multilatéraux.Il a également annoncé une taxation des niches de financement « sous-fiscalisées » comme le numérique, le mobile money, les jeux de hasard ou le foncier. Bonnes ou mauvaises idées ?La taxation est une bonne initiative. Selon les théories fiscales, ce sont des niches qu’il est pertinent d’exploiter, notamment celles liées à des activités néfastes qu’on cherche à décourager. C’est le cas du tabac, de l’alcool ou encore des importations de biens de luxe, où la taxation est généralement poussée à son maximum. Le Premier ministre a, par exemple, annoncé une taxation à 100 % du tabac, visant à inciter les fumeurs à arrêter. Il en va de même pour la pollution : bien qu’il n’ait pas été très précis, il a évoqué une taxation verte pour cibler les pollueurs.Aujourd’hui, le gouvernement a une occasion unique d’aller jusqu’au bout et de réexaminer une partie importante de la fiscalité, en s’attaquant à des niches jusque-là négligées ou faiblement exploitées. Cela permettrait d’augmenter les recettes fiscales. Actuellement, l’État recourt à l’endettement, alors qu’avec des efforts de mobilisation des ressources internes, il aurait pu s’en passer.
C'est un plan de redressement du pari foot et de Sweet Beauté. Rien tousss.
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David Wil y a 1 mois
Ce que chaque Sénégalais devrait incarner : Lecture citoyenne du Plan de Redressement
Le gouvernement sénégalais vient de dévoiler son Plan de Redressement économique et social, et à travers l’analyse de Moubarack Lo, c’est tout un état d’esprit patriotique qui prend forme. Une posture que chaque citoyen devrait adopter : lucide, engagé, critique et constructif.
Dans un pays confronté à des défis économiques majeurs, il ne suffit plus de commenter de manière passionnelle. Il faut comprendre les mécanismes, les enjeux, et contribuer à la réflexion collective. C’est ce que fait brillamment Moubarack Lo.
Il salue les orientations du gouvernement tout en soulignant l’urgence d’agir. Pas d’euphorie inutile, pas de rejet stérile : juste une analyse rigoureuse et responsable. Il rappelle une vérité souvent oubliée : gouverner, c’est décider, et il faut parfois trancher, même dans des domaines sensibles.
✅ Sur le FMI, il démontre que la question dépasse le simple apport financier. C’est une lecture géopolitique et technique à laquelle il invite : le FMI comme garant auprès des bailleurs. Une explication précieuse dans un contexte où la souveraineté économique ne peut se construire dans l’isolement.
✅ Sur la fiscalité, il encourage la taxation intelligente des niches sous-exploitées. Il ne s’agit pas de taxer pour taxer, mais d’orienter les comportements et de libérer les ressources internes. Un appel à l’innovation fiscale, là où d’autres se contenteraient de simples augmentations.
Enfin, il rappelle que le Sénégal a les moyens de se relever sans recourir systématiquement à l’endettement. Encore faut-il aller chercher les ressources là où elles dorment, dans des circuits encore peu exploités.
Conclusion
Ce texte est plus qu’une analyse économique : c’est une déclaration d’intelligence patriotique. Il montre que penser pour son pays, c’est combiner rigueur technique et vision stratégique. Si chaque Sénégalais, quelle que soit sa position, s’exprimait avec ce degré de responsabilité et d’engagement, nous irions plus vite et plus loin vers un développement durable et inclusif.
Alors oui, voilà ce qu’on attend de tout Sénégalais : des idées claires, des propositions audacieuses, une critique constructive, et une foi profonde dans le potentiel de notre pays.
Répondre à David W
Jubantiil y a 1 mois
Analyse rigoureuse du Plan JUBBANTI KOOM : Une stratégie audacieuse pour un redressement économique souverain
Un cap clair, une approche méthodique, un pari sur l’avenir
Le 1er août 2025, le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a présenté le Plan JUBBANTI KOOM, un ambitieux programme de redressement économique et social. Dans un contexte de tensions financières, d’exigences sociales pressantes et d’aspirations à une souveraineté renforcée, ce plan se positionne comme une rupture stratégique, alliant pragmatisme budgétaire et vision à long terme.
1. Réduction de la dette : Une mobilisation inédite des ressources internes
Face à un endettement public alarmant, atteignant 119 % du PIB, le gouvernement mise sur une approche novatrice, évitant le recours systématique à de nouveaux emprunts internationaux ou à des eurobonds. Le plan s’appuie sur :
• L’optimisation fiscale : Taxation ciblée de secteurs à fort potentiel mais sous-exploités, tels que le mobile money, les plateformes numériques, le tabac, le ciment, le foncier et la presse en ligne.
• La rationalisation des dépenses : Réorganisation administrative pour réduire les coûts de fonctionnement de l’État.
• La priorisation des investissements : Abandon des projets d’infrastructure coûteux et non essentiels (PAP 1 et PAP 2) au profit de secteurs stratégiques comme la santé, l’éducation et les services publics de base.
Objectif : Réduire progressivement le fardeau de la dette tout en préservant les populations des rigueurs d’une austérité aveugle.
2. Dialogue avec le FMI : Coopération sans soumission
Le Sénégal affirme sa volonté de redéfinir ses relations avec les institutions financières internationales, notamment le Fonds monétaire international (FMI). Le gouvernement privilégie une posture proactive :
• Partenariat équilibré : Maintien d’un dialogue constructif avec le FMI, mais en proposant ses propres solutions, élaborées en fonction des priorités nationales.
• Refus des injonctions : Rejet d’une soumission automatique aux recommandations souvent standardisées des bailleurs.
Stratégie : Démontrer la capacité du Sénégal à honorer ses engagements tout en traçant une voie autonome pour son développement.
3. Équité fiscale et protection sociale : Un équilibre ambitieux
Le Plan JUBBANTI KOOM se distingue par sa volonté de concilier justice fiscale et préservation du pouvoir d’achat des ménages. Les mesures phares incluent :
• Exemption des produits de première nécessité : Riz, pain et énergie restent intouchés pour protéger les populations vulnérables.
• Taxation ciblée : Mobilisation de ressources via des secteurs à forte rentabilité mais faiblement fiscalisés.
Ce double objectif – générer des recettes tout en sauvegardant les plus modestes – a été salué par plusieurs experts pour son caractère à la fois équitable et réaliste.
4. Investir dans l’humain : Une rupture avec les priorités classiques
À rebours des stratégies centrées sur les grands projets d’infrastructure, JUBBANTI KOOM privilégie les investissements dans les secteurs sociaux et structurels :
• Santé publique : Renforcement des infrastructures et des services pour améliorer l’accès aux soins.
• Éducation : Modernisation et démocratisation de l’accès à l’enseignement.
• Équité territoriale : Développement des régions marginalisées pour réduire les disparités.
• Financement localisé : Soutien aux initiatives communautaires et aux collectivités locales.
Cette approche, résolument sociale sans verser dans le populisme, repose sur des choix budgétaires rigoureux et transparents.
5. Un message fort à la scène internationale
En finançant plus de 80 % du plan par des ressources internes, le Sénégal adresse un signal clair à plusieurs audiences :
• Aux bailleurs internationaux : Une gestion budgétaire crédible et responsable, renforçant la confiance.
• À la population sénégalaise : Un engagement à ne pas faire peser sur les citoyens le coût des erreurs passées.
• Aux partenaires africains : Une alternative viable aux modèles de développement dépendants des financements extérieurs.
Ce positionnement stratégique pourrait inspirer d’autres nations africaines confrontées à des défis similaires.
Conclusion : Un plan à la hauteur des enjeux, mais sous haute surveillance
Le Plan JUBBANTI KOOM transcende le cadre d’un simple programme économique : il incarne une vision de relèvement national, fondée sur la souveraineté, l’innovation fiscale, la discipline budgétaire et la justice sociale. Comme le souligne l’économiste Meïssa Babou, ce plan constitue un modèle pertinent pour les pays africains lourdement endettés, illustrant qu’une gouvernance proactive et méthodique peut ouvrir des perspectives nouvelles.
Recommandation : La réussite de JUBBANTI KOOM dépendra de sa mise en œuvre rigoureuse, de son enrichissement continu et d’une évaluation transparente. Les acteurs publics, la société civile et les partenaires internationaux devront suivre de près son exécution pour en garantir l’efficacité et l’impact.
Ce plan marque une étape décisive pour le Sénégal. Reste à transformer cette ambition en résultats concrets.
Répondre à Jubanti
il y a 1 mois
❤️ Filles chaudes vous attendent sur - - Sexy24.mom
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Nitil y a 1 mois
Le PM a menti aux sénégalaises et aux sénégalais en parlant de dette cachée. On lui demande de fournir les preuves et d'expliquer les mécanismes de ce maquillage. Ce qui aurait contribuer à rendre plus transparent la gestion des fonds publiques du même coup. N'étant pas en mesure de le faire, car on ne peut fournir les preuves de ce qui n'existe pas, et sachant que le FMI ne bougera, il nous ressort un plan de diversion... Il n'est pas foutu de l'expliquer. Lire n'est pas expliquer !
Les économistes ont averti que de recourir l'endettement local crée à la longue une crise de liquidité et retarde les investissements. Par ailleurs, la taxation des niches apporterait combien ?
L'ancien président du Ghana, sans vilipender son pays, avait fait les mêmes annonces de se priver d'aides et de prêts, mais s'est rendu compte que ça ne marche pas comme ça si on veut développer un pays.
Répondre à Nit
Amadou klil y a 1 mois
Même avec la mobilisation des recettes internes, aucun pays au monde peut s'en passé de l'endettement,et pourtant c'est un économiste qui soutient le contraire. Que dites vous des fonds politiques (caisses noires à hauteur de plusieurs dizaines de milliards ?pourquoi ne lui poser pas cette question fondamentales, vue que des centaines voir des milliers de travailleurs seront envoyé en chômage pour soit disant réduire les dépenses de l'état ?il faut vraiment arrêter de rêver debout,franchement
Répondre à Amadou kl
Rail y a 1 mois
Comme dab.... le bruit rien que du bruit
Rien nada ningun touss
Escrocquerie de haute voltige
Répondre à Ra
Rail y a 1 mois
Comme dab.... le bruit rien que du bruit
Rien nada ningun touss
Escrocquerie de haute voltige
Répondre à Ra
Ndamliil y a 1 mois
Ces quinze derniers mois et cette réponse brillante de Sonko ce matin ont permis aux sénégalais de comprendre: d'un que les ressources financières accordées directement par le fmi ne sont pas aussi importants qu'on ne le croit, c'est normal c'est le prêteur en dernier ressort, de deux : que le rôle primordial du fmi est garantir les données macro économiques réelles du pays afin que celles ci servent de boussole pour les bailleurs multilatéraux dans leurs négociations avec l'état. Et c'est en cela que la découverte de la dette cachée aujourd'hui estimée à dix milliards par le fmi et treize par les organismes de notations, rend le fmi ko debout. Heureusement que la communication gouvernementale l'a annoncé assez tôt sans attendre le fmi, pour la transparence due aux populations qui paient les dettes.
Donc le fmi n'a qu'à se relever de son ko et agir en conséquence sinon on ne les attend pas.
C'est l'occasion d'ailleurs ici de féliciter le gouvernement non seulement par cette approche participative en incluant tous les acteurs à l'annonce du plan et leur permettant de dire leurs pensées et perceptions. Mais féliciter et encourager surtout que le gouvernement ne se soit pas arrimé au chronogramme flou et tatillon du fmi qui n'annonce aucune date réelle de début de négociation de plan avec le nouveau gouvernement. Mais aussi encourager et féliciter l'audace du gouvernement de dire clairement qu'il ne s'agit pas de plan d'austérité.
Les niches fiscales existent dans ce pays et ceci depuis longtemps au grand bonheur de spéculateurs et aventuriers de toute nature. Le Sénégal n'est pas un paradis fiscal que je sache. Mais beaucoup de structures internationales surtout ont pris l'habitude d'exiger de l'état central des exonérations par des coups de bluffs faisant croire que sans cela elles n'auraient pas de rentabilité. L'astuce suprême étant en plus de ce bluff de s'allier avec un oligarque 'politicien', appelé lobbyiste apporteur d'affaires, pour mettre en place un schéma de partages de gains en défaveur du pays.
Vous verrez beaucoup d'hommes politiques des régimes précédents fustiger ces nouvelles formes d'impositions, soyez en rassuré sans aucune étude ni statistique claire, ils parlent pour leurs poches.
Le Sénégal qu'on le veuille ou non est un marché caractérisé par le volume croissant, la stabilité politique et dans une certaine mesure une forme de justice 'autonome'.
Même si sur ce dernier point, n'en déplaise à certains loups garous, cette autonomie est à inspecter en regard des liens avec les capitaux. Beaucoup des acteurs lobbyistes apporteurs d'affaires sont liés à des fonctionnaires devant dire le droit, surtout du commerce, à défaut que ce soit eux mêmes des fois les tireurs de ficelles. Dek bi dara oumpewouffi !
Répondre à Ndamli
il y a 1 mois
En voulant diaboliser Macky nous nous sommes cognés la tête contre le mur en béton.
Répondre à
il y a 1 mois
NANDITE BOY TOWN mdrrrrrrrrr tu n'as jamais votè pastef tu est un APR qui se cache derriere le clavier gnoleu djitou thi combat internt depuis belle lurette ont sait tous les ecrits mdrrrrr
reply_authoril y a 1 mois
Pour toi il faut réfléchir comme un mouton pour etre du Pastef? Vous faites pitié
reply_authoril y a 1 mois
Pour toi il faut réfléchir comme un mouton pour etre du Pastef? Vous faites pitié
Répondre à
Nandité boy Town il y a 1 mois
J’ai voté Pastef,sans regret aucun,cependant,ce plan va échouer comme le fut le programme d’ajustement structurel sous Abbdou Diouf et la plann Sakho-Loum.Suivra le Plan OMÉGA,GOANA de Wade et enfin Sénégal émergent sous Mackiy. .En fait, le Sénégal à besoin en priorité d’un plan de réorganisation et de normalisation de l’administration..D’abord, il faudra revoir la façon dont les hauts fonctionnaires sont recrutés, surtout à l’ENA, ou il faut surtout savoir fait un synthèse de textes avec de belles phrases et réciter des leçon de droit.cette façon de choisir l’élite est désuète à l’ère de l’intelligence artificielle.De plus, des fonctionnaires qui ne sont jamais à l’heure dans leur bureau,absentéistes,qui refusent le système de pointage,qui se protègent entre eux une véritable mafia au sommet de l’état .Tant qu’on aura pas formatés une nouvelle génération de hauts fonctionnaires avec un nouveau logiciel de sélection tous les plan sont voués à l’échec.Il faut ouvrir les portes de l’état aux scientifiques beaucoup plus pragmatiques les littéraires depuis 65 ans gèrent le pays et on montré leur limites
reply_authoril y a 1 mois
Tu as un problème avec les littéraires mais ces derniers ne t'on rien fait.
Répondre à Nandité boy Town
il y a 1 mois
Intellectuels pressés de dire gongo au roi pour se faire remarquer,dama rouss tchi Sénégal.
Répondre à
le client il y a 1 mois
Trop de bla-bka.
Répondre à le client
le client il y a 1 mois
Trop de bla-bka.
Répondre à le client
le client il y a 1 mois
Trop de bla-bka.
Répondre à le client
il y a 1 mois
Moi j'ai une seule question. Et les voitures de 50 millions des 165 députés? Ou les indemnités de transport de 900000F par mois (quelle indécence dans un pays où le smic est à 60.000F)?
Répondre à
Patrioteil y a 1 mois
Pastef doit se debarasser le plus rapidement possible de la coalition Diomaye president. Reorganiser les bases à travers le pays et responsabiliser tous les leaders qui ont une base solide.
reply_authoril y a 1 mois
Clin d'oeil rek. Des intellectuels opportunisted, qui cherchent à plaire pour entrer dans les bonnes grâces des nouvelles autorités.
reply_authoril y a 1 mois
Clin d'oeil rek. Des intellectuels opportunisted, qui cherchent à plaire pour entrer dans les bonnes grâces des nouvelles autorités.
reply_authoril y a 1 mois
Clin d'oeil rek. Des intellectuels opportunisted, qui cherchent à plaire pour entrer dans les bonnes grâces des nouvelles autorités.
reply_authoril y a 1 mois
Voilà qui a mangé dans tous les râteliers et qui fait les yeux doux aux pestiférés. Il a enterré Abdoulaye Wade puis Macky et le revoilà autour des gougnafiers pour les amadouer et les intégrer.
Voilà nos intellectuels. Comme le gourou a annoncé un remaniement Voilà les vautours qui se positionnent. Dégoûtant.
Commentaires (20)
Un éternelle transhumant
Et quest ce quil conseillait à Maky?
C'est un plan de redressement du pari foot et de Sweet Beauté. Rien tousss.
Ce que chaque Sénégalais devrait incarner : Lecture citoyenne du Plan de Redressement
Le gouvernement sénégalais vient de dévoiler son Plan de Redressement économique et social, et à travers l’analyse de Moubarack Lo, c’est tout un état d’esprit patriotique qui prend forme. Une posture que chaque citoyen devrait adopter : lucide, engagé, critique et constructif.
Dans un pays confronté à des défis économiques majeurs, il ne suffit plus de commenter de manière passionnelle. Il faut comprendre les mécanismes, les enjeux, et contribuer à la réflexion collective. C’est ce que fait brillamment Moubarack Lo.
Il salue les orientations du gouvernement tout en soulignant l’urgence d’agir. Pas d’euphorie inutile, pas de rejet stérile : juste une analyse rigoureuse et responsable. Il rappelle une vérité souvent oubliée : gouverner, c’est décider, et il faut parfois trancher, même dans des domaines sensibles.
✅ Sur le FMI, il démontre que la question dépasse le simple apport financier. C’est une lecture géopolitique et technique à laquelle il invite : le FMI comme garant auprès des bailleurs. Une explication précieuse dans un contexte où la souveraineté économique ne peut se construire dans l’isolement.
✅ Sur la fiscalité, il encourage la taxation intelligente des niches sous-exploitées. Il ne s’agit pas de taxer pour taxer, mais d’orienter les comportements et de libérer les ressources internes. Un appel à l’innovation fiscale, là où d’autres se contenteraient de simples augmentations.
Enfin, il rappelle que le Sénégal a les moyens de se relever sans recourir systématiquement à l’endettement. Encore faut-il aller chercher les ressources là où elles dorment, dans des circuits encore peu exploités.
Conclusion
Ce texte est plus qu’une analyse économique : c’est une déclaration d’intelligence patriotique. Il montre que penser pour son pays, c’est combiner rigueur technique et vision stratégique. Si chaque Sénégalais, quelle que soit sa position, s’exprimait avec ce degré de responsabilité et d’engagement, nous irions plus vite et plus loin vers un développement durable et inclusif.
Alors oui, voilà ce qu’on attend de tout Sénégalais : des idées claires, des propositions audacieuses, une critique constructive, et une foi profonde dans le potentiel de notre pays.
Analyse rigoureuse du Plan JUBBANTI KOOM : Une stratégie audacieuse pour un redressement économique souverain
Un cap clair, une approche méthodique, un pari sur l’avenir
Le 1er août 2025, le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a présenté le Plan JUBBANTI KOOM, un ambitieux programme de redressement économique et social. Dans un contexte de tensions financières, d’exigences sociales pressantes et d’aspirations à une souveraineté renforcée, ce plan se positionne comme une rupture stratégique, alliant pragmatisme budgétaire et vision à long terme.
1. Réduction de la dette : Une mobilisation inédite des ressources internes
Face à un endettement public alarmant, atteignant 119 % du PIB, le gouvernement mise sur une approche novatrice, évitant le recours systématique à de nouveaux emprunts internationaux ou à des eurobonds. Le plan s’appuie sur :
• L’optimisation fiscale : Taxation ciblée de secteurs à fort potentiel mais sous-exploités, tels que le mobile money, les plateformes numériques, le tabac, le ciment, le foncier et la presse en ligne.
• La rationalisation des dépenses : Réorganisation administrative pour réduire les coûts de fonctionnement de l’État.
• La priorisation des investissements : Abandon des projets d’infrastructure coûteux et non essentiels (PAP 1 et PAP 2) au profit de secteurs stratégiques comme la santé, l’éducation et les services publics de base.
Objectif : Réduire progressivement le fardeau de la dette tout en préservant les populations des rigueurs d’une austérité aveugle.
2. Dialogue avec le FMI : Coopération sans soumission
Le Sénégal affirme sa volonté de redéfinir ses relations avec les institutions financières internationales, notamment le Fonds monétaire international (FMI). Le gouvernement privilégie une posture proactive :
• Partenariat équilibré : Maintien d’un dialogue constructif avec le FMI, mais en proposant ses propres solutions, élaborées en fonction des priorités nationales.
• Refus des injonctions : Rejet d’une soumission automatique aux recommandations souvent standardisées des bailleurs.
Stratégie : Démontrer la capacité du Sénégal à honorer ses engagements tout en traçant une voie autonome pour son développement.
3. Équité fiscale et protection sociale : Un équilibre ambitieux
Le Plan JUBBANTI KOOM se distingue par sa volonté de concilier justice fiscale et préservation du pouvoir d’achat des ménages. Les mesures phares incluent :
• Exemption des produits de première nécessité : Riz, pain et énergie restent intouchés pour protéger les populations vulnérables.
• Taxation ciblée : Mobilisation de ressources via des secteurs à forte rentabilité mais faiblement fiscalisés.
Ce double objectif – générer des recettes tout en sauvegardant les plus modestes – a été salué par plusieurs experts pour son caractère à la fois équitable et réaliste.
4. Investir dans l’humain : Une rupture avec les priorités classiques
À rebours des stratégies centrées sur les grands projets d’infrastructure, JUBBANTI KOOM privilégie les investissements dans les secteurs sociaux et structurels :
• Santé publique : Renforcement des infrastructures et des services pour améliorer l’accès aux soins.
• Éducation : Modernisation et démocratisation de l’accès à l’enseignement.
• Équité territoriale : Développement des régions marginalisées pour réduire les disparités.
• Financement localisé : Soutien aux initiatives communautaires et aux collectivités locales.
Cette approche, résolument sociale sans verser dans le populisme, repose sur des choix budgétaires rigoureux et transparents.
5. Un message fort à la scène internationale
En finançant plus de 80 % du plan par des ressources internes, le Sénégal adresse un signal clair à plusieurs audiences :
• Aux bailleurs internationaux : Une gestion budgétaire crédible et responsable, renforçant la confiance.
• À la population sénégalaise : Un engagement à ne pas faire peser sur les citoyens le coût des erreurs passées.
• Aux partenaires africains : Une alternative viable aux modèles de développement dépendants des financements extérieurs.
Ce positionnement stratégique pourrait inspirer d’autres nations africaines confrontées à des défis similaires.
Conclusion : Un plan à la hauteur des enjeux, mais sous haute surveillance
Le Plan JUBBANTI KOOM transcende le cadre d’un simple programme économique : il incarne une vision de relèvement national, fondée sur la souveraineté, l’innovation fiscale, la discipline budgétaire et la justice sociale. Comme le souligne l’économiste Meïssa Babou, ce plan constitue un modèle pertinent pour les pays africains lourdement endettés, illustrant qu’une gouvernance proactive et méthodique peut ouvrir des perspectives nouvelles.
Recommandation : La réussite de JUBBANTI KOOM dépendra de sa mise en œuvre rigoureuse, de son enrichissement continu et d’une évaluation transparente. Les acteurs publics, la société civile et les partenaires internationaux devront suivre de près son exécution pour en garantir l’efficacité et l’impact.
Ce plan marque une étape décisive pour le Sénégal. Reste à transformer cette ambition en résultats concrets.
❤️ Filles chaudes vous attendent sur - - Sexy24.mom
Le PM a menti aux sénégalaises et aux sénégalais en parlant de dette cachée. On lui demande de fournir les preuves et d'expliquer les mécanismes de ce maquillage. Ce qui aurait contribuer à rendre plus transparent la gestion des fonds publiques du même coup. N'étant pas en mesure de le faire, car on ne peut fournir les preuves de ce qui n'existe pas, et sachant que le FMI ne bougera, il nous ressort un plan de diversion... Il n'est pas foutu de l'expliquer. Lire n'est pas expliquer !
Les économistes ont averti que de recourir l'endettement local crée à la longue une crise de liquidité et retarde les investissements. Par ailleurs, la taxation des niches apporterait combien ?
L'ancien président du Ghana, sans vilipender son pays, avait fait les mêmes annonces de se priver d'aides et de prêts, mais s'est rendu compte que ça ne marche pas comme ça si on veut développer un pays.
Même avec la mobilisation des recettes internes, aucun pays au monde peut s'en passé de l'endettement,et pourtant c'est un économiste qui soutient le contraire. Que dites vous des fonds politiques (caisses noires à hauteur de plusieurs dizaines de milliards ?pourquoi ne lui poser pas cette question fondamentales, vue que des centaines voir des milliers de travailleurs seront envoyé en chômage pour soit disant réduire les dépenses de l'état ?il faut vraiment arrêter de rêver debout,franchement
Comme dab.... le bruit rien que du bruit
Rien nada ningun touss
Escrocquerie de haute voltige
Comme dab.... le bruit rien que du bruit
Rien nada ningun touss
Escrocquerie de haute voltige
Ces quinze derniers mois et cette réponse brillante de Sonko ce matin ont permis aux sénégalais de comprendre: d'un que les ressources financières accordées directement par le fmi ne sont pas aussi importants qu'on ne le croit, c'est normal c'est le prêteur en dernier ressort, de deux : que le rôle primordial du fmi est garantir les données macro économiques réelles du pays afin que celles ci servent de boussole pour les bailleurs multilatéraux dans leurs négociations avec l'état. Et c'est en cela que la découverte de la dette cachée aujourd'hui estimée à dix milliards par le fmi et treize par les organismes de notations, rend le fmi ko debout. Heureusement que la communication gouvernementale l'a annoncé assez tôt sans attendre le fmi, pour la transparence due aux populations qui paient les dettes.
Donc le fmi n'a qu'à se relever de son ko et agir en conséquence sinon on ne les attend pas.
C'est l'occasion d'ailleurs ici de féliciter le gouvernement non seulement par cette approche participative en incluant tous les acteurs à l'annonce du plan et leur permettant de dire leurs pensées et perceptions. Mais féliciter et encourager surtout que le gouvernement ne se soit pas arrimé au chronogramme flou et tatillon du fmi qui n'annonce aucune date réelle de début de négociation de plan avec le nouveau gouvernement. Mais aussi encourager et féliciter l'audace du gouvernement de dire clairement qu'il ne s'agit pas de plan d'austérité.
Les niches fiscales existent dans ce pays et ceci depuis longtemps au grand bonheur de spéculateurs et aventuriers de toute nature. Le Sénégal n'est pas un paradis fiscal que je sache. Mais beaucoup de structures internationales surtout ont pris l'habitude d'exiger de l'état central des exonérations par des coups de bluffs faisant croire que sans cela elles n'auraient pas de rentabilité. L'astuce suprême étant en plus de ce bluff de s'allier avec un oligarque 'politicien', appelé lobbyiste apporteur d'affaires, pour mettre en place un schéma de partages de gains en défaveur du pays.
Vous verrez beaucoup d'hommes politiques des régimes précédents fustiger ces nouvelles formes d'impositions, soyez en rassuré sans aucune étude ni statistique claire, ils parlent pour leurs poches.
Le Sénégal qu'on le veuille ou non est un marché caractérisé par le volume croissant, la stabilité politique et dans une certaine mesure une forme de justice 'autonome'.
Même si sur ce dernier point, n'en déplaise à certains loups garous, cette autonomie est à inspecter en regard des liens avec les capitaux. Beaucoup des acteurs lobbyistes apporteurs d'affaires sont liés à des fonctionnaires devant dire le droit, surtout du commerce, à défaut que ce soit eux mêmes des fois les tireurs de ficelles. Dek bi dara oumpewouffi !
En voulant diaboliser Macky nous nous sommes cognés la tête contre le mur en béton.
NANDITE BOY TOWN mdrrrrrrrrr tu n'as jamais votè pastef tu est un APR qui se cache derriere le clavier gnoleu djitou thi combat internt depuis belle lurette ont sait tous les ecrits mdrrrrr
Pour toi il faut réfléchir comme un mouton pour etre du Pastef? Vous faites pitié
Pour toi il faut réfléchir comme un mouton pour etre du Pastef? Vous faites pitié
J’ai voté Pastef,sans regret aucun,cependant,ce plan va échouer comme le fut le programme d’ajustement structurel sous Abbdou Diouf et la plann Sakho-Loum.Suivra le Plan OMÉGA,GOANA de Wade et enfin Sénégal émergent sous Mackiy. .En fait, le Sénégal à besoin en priorité d’un plan de réorganisation et de normalisation de l’administration..D’abord, il faudra revoir la façon dont les hauts fonctionnaires sont recrutés, surtout à l’ENA, ou il faut surtout savoir fait un synthèse de textes avec de belles phrases et réciter des leçon de droit.cette façon de choisir l’élite est désuète à l’ère de l’intelligence artificielle.De plus, des fonctionnaires qui ne sont jamais à l’heure dans leur bureau,absentéistes,qui refusent le système de pointage,qui se protègent entre eux une véritable mafia au sommet de l’état .Tant qu’on aura pas formatés une nouvelle génération de hauts fonctionnaires avec un nouveau logiciel de sélection tous les plan sont voués à l’échec.Il faut ouvrir les portes de l’état aux scientifiques beaucoup plus pragmatiques les littéraires depuis 65 ans gèrent le pays et on montré leur limites
Tu as un problème avec les littéraires mais ces derniers ne t'on rien fait.
Intellectuels pressés de dire gongo au roi pour se faire remarquer,dama rouss tchi Sénégal.
Trop de bla-bka.
Trop de bla-bka.
Trop de bla-bka.
Moi j'ai une seule question. Et les voitures de 50 millions des 165 députés? Ou les indemnités de transport de 900000F par mois (quelle indécence dans un pays où le smic est à 60.000F)?
Pastef doit se debarasser le plus rapidement possible de la coalition Diomaye president. Reorganiser les bases à travers le pays et responsabiliser tous les leaders qui ont une base solide.
Clin d'oeil rek. Des intellectuels opportunisted, qui cherchent à plaire pour entrer dans les bonnes grâces des nouvelles autorités.
Clin d'oeil rek. Des intellectuels opportunisted, qui cherchent à plaire pour entrer dans les bonnes grâces des nouvelles autorités.
Clin d'oeil rek. Des intellectuels opportunisted, qui cherchent à plaire pour entrer dans les bonnes grâces des nouvelles autorités.
Voilà qui a mangé dans tous les râteliers et qui fait les yeux doux aux pestiférés. Il a enterré Abdoulaye Wade puis Macky et le revoilà autour des gougnafiers pour les amadouer et les intégrer.
Voilà nos intellectuels. Comme le gourou a annoncé un remaniement Voilà les vautours qui se positionnent. Dégoûtant.
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