François Hollande a rendu hommage mardi à la photographe franco-marocaine Leila Alaoui, décédée des suites de ses blessures après l'attaque lancée vendredi contre un hôtel et un restaurant du centre de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso.
La mort de la jeune femme porte à trente le nombre des victimes de cette attaque, parmi lesquelles figurent deux autres Français.
La mort de la jeune femme porte à trente le nombre des victimes de cette attaque, parmi lesquelles figurent deux autres Français.
Leila Alaoui se trouvait au Burkina Faso pour un reportage sur les droits des femmes à la demande d'Amnesty International. L'ONG a fait part mardi de sa "grande tristesse" à l'annonce de la "mort tragique" de Leila Alaoui et de son chauffeur Mahamadi Ouédraogo.
Le Premier ministre Manuel Valls a indiqué sur Twitter que "Leila Alaoui, c'était l'engagement, la culture, le talent. Tout cela, les terroristes ne pourront jamais l'abattre."
Le Premier ministre Manuel Valls a indiqué sur Twitter que "Leila Alaoui, c'était l'engagement, la culture, le talent. Tout cela, les terroristes ne pourront jamais l'abattre."
L'attaque revendiquée par Al Mourabitoune, un groupe lié à Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), visait l'hôtel Splendid et le Cappuccino, prisés des Occidentaux et des soldats français déployés dans le pays dans le cadre de l'opération Barkhane qui lutte contre les djihadistes au Sahel.
En novembre, Al Mourabitoune, dirigé par l'Algérien Mokhtar Belmokhtar, avait déjà revendiqué l'attaque meurtrière de l'hôtel Radisson Blu dans la capitale malienne, Bamako, qui avait fait vingt morts.
(Myriam Rivet et Guy Kerivel, édité par Yves Clarisse)
En novembre, Al Mourabitoune, dirigé par l'Algérien Mokhtar Belmokhtar, avait déjà revendiqué l'attaque meurtrière de l'hôtel Radisson Blu dans la capitale malienne, Bamako, qui avait fait vingt morts.
(Myriam Rivet et Guy Kerivel, édité par Yves Clarisse)
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