Les animateurs du Mouvement "Doyna Seuk" invitent les opposants au régime du président sénégalais Abdoulaye Wade à se passer des "velléités partisanes", des "aspirations individualistes" et de la surenchère politicienne pour réaliser ensemble une alternance démocratique à l’occasion de l’élection présidentielle du 26 février 2012.
Dans une déclaration transmise à l’APS, mardi, ce mouvement estime qu"un autre Sénégal est possible sans Wade, pourvu que l’on surmonte les velléités partisanes, les aspirations individualistes et la surenchère des leaders de l’opposition pour s’unir derrière un seul homme bien choisi, très bien encadré et parfaitement accompagné par le peuple’’.
‘’Comme un seul homme, comme on avait fait contre Diouf pour élire Wade en 2000, allons à la présidentielle de 2012, unis. Sommes-nous en mesure de se ranger derrière un candidat de consensus national comme le suggère le Texte des Assises nationales pour assurer la transition et commencer le travail après Wade ?’’, ajoute la déclaration.
‘’Nous ne pouvons pas nous permettre d’entraîner le Sénégal dans une guerre civile. Nous avons préféré la paix face à la dangereuse panique du camp libéral’’, selon le coordonnateur du Mouvement "Doyna Seuk", Cheikh Tidiane Diop, qui a signé le texte.
‘’Le peuple est toujours en attente malgré la conférence de presse du Mouvement du 23 Juin, tenue à la RADDHO le 29 juin, et qui s’est résumée à des déclarations d’intention et des prises de décisions procédurales’’, poursuit-il.
54 Commentaires
Hgj
En Juillet, 2011 (00:19 AM)-
Elle dit qu'un jour sa soeur est revenue de l'école avec un message de l'instituteur, qui disait qu'il valait mieux la garder à la maison, la préparer pour le mariage car elle n'était pas assez bonne ?! Depuis quand l'instituteur se mêle de ça .
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En Avril, 2022 (18:30 PM)Alorss elle aurait fait sa 1ere tentative terrifiée par l'idée du sexe en prenant des médicaments y compris des "suppositoires". Ce qui est bizarre
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Ses problèmes remontent depuis son enfance. Beaucoup ne comprennent même pas donc pour eux c'est parce qu'elle a insulté les sénégalais. Non, elle a toujours été instable et a eu une enfance difficile. Prions pour qu'elle retrouve sa santé mentale.
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En Avril, 2022 (16:19 PM)-
Faut pas confondre cause et effet
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En Avril, 2022 (15:52 PM)Guitariste
En Juillet, 2011 (00:23 AM)Zo
En Juillet, 2011 (00:24 AM)Grand Penseur
En Juillet, 2011 (00:24 AM)Ndongo Daara
En Juillet, 2011 (00:25 AM)Gh
En Juillet, 2011 (00:26 AM)Tandis que la France scrutait New York et les ratés du bureau du procureur Cyrus Vance dans l'affaire Strauss-Kahn, l'Amérique se passionnait pour un tout autre procès, qui s'est conclu aujourd'hui. Celui de Casey Anthony, une jolie jeune femme brune de 25 ans au nez retroussé et aux yeux bleus éteints, accusée par l'État de Floride d'avoir assassiné sa petite fille de deux ans et demi, Caylee Anthony, le 16 juin 2008, pour pouvoir mener à sa guise une vie de soirées et de débauche. Mardi, le jury l'a acquittée après seulement 11 heures de délibération.
Depuis des semaines, des millions d'Américains étaient suspendus à leurs postes de télévision qui diffusent en boucle, presque jusqu'à la nausée, des images de la jeune femme assise, les yeux baissés, dans la salle d'audience, d'autres de Casey faisant sauter Caylee sur ses genoux, mais aussi des photos d'elle dansant langoureusement sous les spots de discothèques, ou des images de paquets en plastique supposés contenir les ossements de l'enfant. Ces photos ne prouvent rien et sont détachées de leur contexte. Mais bombardées sur les écrans jour après jour, elles ont contribué à créer un climat presque hystérique dans une opinion qui a tendance à s'identifier avec le destin tragique de la petite fille.
«Justice pour Caylee!», écrivait en banc-titre HLN, une chaîne cadette de CNN qui se spécialise dans ce genre d'affaires. Maquillées et pomponnées, des présentatrices vedettes caricaturales, comme Nancy Grace ou Greta Van Susteren, y ont donné leur avis d'une voix forte sans faire dans la dentelle, jouant sur les émotions de l'opinion, tranchant et découpant comme si elles étaient juges de l'affaire. Des centaines de personnes qui, parfois, ont voyagé depuis d'autres États, ont pris d'assaut l'immeuble du tribunal de la ville d'Orlando, en Floride, pour tenter d'entrer dans la salle d'audience. Les autres ont dû se contenter de faire le pied de grue devant le tribunal en criant «Baby killer» à l'adresse de Casey Anthony. Ils pouvaient aussi suivre le procès en direct dans les cafés voisins, puisque les caméras sont autorisées à l'intérieur de la salle. «Je n'ai jamais vu autant d'émotion pour un procès. C'est encore plus fort que le procès du footballer américain O.J. Simpson», rapportait un reporter de MSNBC.
«D'horribles secrets»
Qu'est-il arrivé à Caylee, ce fameux 16 juin 2008 ? Deux versions totalement opposées du drame ont été défendues. L'accusation affirme que Casey, jeune mère célibataire, a tué sa fille en couvrant son visage de Scotch après l'avoir endormie avec du chloroforme, car elle était incapable d'assumer ses responsabilités parentales. Les procureurs, qui ont présenté sept chefs d'accusation dont celui de meurtre avec préméditation, et qui réclamaient la peine capitale, affirment que le père de Casey a ensuite aidé sa fille à se débarrasser du corps, en allant l'enterrer dans un bois proche de leur maison. Pour appuyer leur démonstration, ils ont cité l'attitude erratique de Casey et les nombreux mensonges qu'elle a formulés. Casey Anthony a en effet mis 31 jours avant de signaler la disparition de sa fille, passant son temps en boîtes de nuit avec des amis dans l'intervalle. Elle a longtemps affirmé que Caylee était avec une baby-sitter, qui s'est révélée ne pas exister, mentant aussi sur son emploi du temps et son travail.
Mais son avocat, José Baez, a fait valoir que l'accusation n'a pas fourni une seule «preuve scientifique» de cet horrible scénario. Pour lui, Caylee est simplement morte dans la piscine de ses grands-parents, alors que sa mère Casey et son grand-père George se trouvaient sur place. Il affirme que le grand-père, un ancien officier de police, a effrayé sa fille, la convainquant qu'elle serait mise en prison pour négligence et qu'il fallait camoufler l'accident en meurtre.
Baez a évoqué la personnalité égoïste de George, qui s'est livré selon lui à une fausse tentative de suicide pendant l'instruction. Lors du procès, il avait déjà parlé du huis clos effrayant d'une famille où «tout est mensonge et secrets, d'horribles secrets». Abusée sexuellement par son père depuis son plus jeune âge, selon Baez, Casey se serait créé un monde imaginaire pour survivre, ce qui expliquerait le tissu de fausses pistes livré aux policiers. L'accusation parle d'homicide mais n'a pas formulé d'hypothèse crédible sur la manière dont l'enfant est morte, a martelé la défense, soulignant qu'en l'absence de preuve, il fallait rejeter en bloc les chefs d'accusation. «C'est parce qu'il n'y a pas eu meurtre», a-t-il proclamé d'une voix vibrante, évoquant un «malheureux accident», avant de serrer sa cliente dans ses bras après sa plaidoirie.
Les jurés ont donc choisi de le croire, en ne retenant que l'accusation de mensonge, à quatre reprises. La jeune femme, dont la peine sera fixée jeudi par le juge, risque un an de prison par mensonge. A l'annonce du verdict, Casey Anthony s'est effondrée en larmes.
Bien plus que la saga DSK, l'histoire de Casey Anthony et de sa petite fille Caylee a déchaîné les passions et mobilisé les médias aux Etats-Unis.
Tandis que la France scrutait New York et les ratés du bureau du procureur Cyrus Vance dans l'affaire Strauss-Kahn, l'Amérique se passionnait pour un tout autre procès, qui s'est conclu aujourd'hui. Celui de Casey Anthony, une jolie jeune femme brune de 25 ans au nez retroussé et aux yeux bleus éteints, accusée par l'État de Floride d'avoir assassiné sa petite fille de deux ans et demi, Caylee Anthony, le 16 juin 2008, pour pouvoir mener à sa guise une vie de soirées et de débauche. Mardi, le jury l'a acquittée après seulement 11 heures de délibération.
Depuis des semaines, des millions d'Américains étaient suspendus à leurs postes de télévision qui diffusent en boucle, presque jusqu'à la nausée, des images de la jeune femme assise, les yeux baissés, dans la salle d'audience, d'autres de Casey faisant sauter Caylee sur ses genoux, mais aussi des photos d'elle dansant langoureusement sous les spots de discothèques, ou des images de paquets en plastique supposés contenir les ossements de l'enfant. Ces photos ne prouvent rien et sont détachées de leur contexte. Mais bombardées sur les écrans jour après jour, elles ont contribué à créer un climat presque hystérique dans une opinion qui a tendance à s'identifier avec le destin tragique de la petite fille.
«Justice pour Caylee!», écrivait en banc-titre HLN, une chaîne cadette de CNN qui se spécialise dans ce genre d'affaires. Maquillées et pomponnées, des présentatrices vedettes caricaturales, comme Nancy Grace ou Greta Van Susteren, y ont donné leur avis d'une voix forte sans faire dans la dentelle, jouant sur les émotions de l'opinion, tranchant et découpant comme si elles étaient juges de l'affaire. Des centaines de personnes qui, parfois, ont voyagé depuis d'autres États, ont pris d'assaut l'immeuble du tribunal de la ville d'Orlando, en Floride, pour tenter d'entrer dans la salle d'audience. Les autres ont dû se contenter de faire le pied de grue devant le tribunal en criant «Baby killer» à l'adresse de Casey Anthony. Ils pouvaient aussi suivre le procès en direct dans les cafés voisins, puisque les caméras sont autorisées à l'intérieur de la salle. «Je n'ai jamais vu autant d'émotion pour un procès. C'est encore plus fort que le procès du footballer américain O.J. Simpson», rapportait un reporter de MSNBC.
«D'horribles secrets»
Qu'est-il arrivé à Caylee, ce fameux 16 juin 2008 ? Deux versions totalement opposées du drame ont été défendues. L'accusation affirme que Casey, jeune mère célibataire, a tué sa fille en couvrant son visage de Scotch après l'avoir endormie avec du chloroforme, car elle était incapable d'assumer ses responsabilités parentales. Les procureurs, qui ont présenté sept chefs d'accusation dont celui de meurtre avec préméditation, et qui réclamaient la peine capitale, affirment que le père de Casey a ensuite aidé sa fille à se débarrasser du corps, en allant l'enterrer dans un bois proche de leur maison. Pour appuyer leur démonstration, ils ont cité l'attitude erratique de Casey et les nombreux mensonges qu'elle a formulés. Casey Anthony a en effet mis 31 jours avant de signaler la disparition de sa fille, passant son temps en boîtes de nuit avec des amis dans l'intervalle. Elle a longtemps affirmé que Caylee était avec une baby-sitter, qui s'est révélée ne pas exister, mentant aussi sur son emploi du temps et son travail.
Mais son avocat, José Baez, a fait valoir que l'accusation n'a pas fourni une seule «preuve scientifique» de cet horrible scénario. Pour lui, Caylee est simplement morte dans la piscine de ses grands-parents, alors que sa mère Casey et son grand-père George se trouvaient sur place. Il affirme que le grand-père, un ancien officier de police, a effrayé sa fille, la convainquant qu'elle serait mise en prison pour négligence et qu'il fallait camoufler l'accident en meurtre.
Baez a évoqué la personnalité égoïste de George, qui s'est livré selon lui à une fausse tentative de suicide pendant l'instruction. Lors du procès, il avait déjà parlé du huis clos effrayant d'une famille où «tout est mensonge et secrets, d'horribles secrets». Abusée sexuellement par son père depuis son plus jeune âge, selon Baez, Casey se serait créé un monde imaginaire pour survivre, ce qui expliquerait le tissu de fausses pistes livré aux policiers. L'accusation parle d'homicide mais n'a pas formulé d'hypothèse crédible sur la manière dont l'enfant est morte, a martelé la défense, soulignant qu'en l'absence de preuve, il fallait rejeter en bloc les chefs d'accusation. «C'est parce qu'il n'y a pas eu meurtre», a-t-il proclamé d'une voix vibrante, évoquant un «malheureux accident», avant de serrer sa cliente dans ses bras après sa plaidoirie.
Les jurés ont donc choisi de le croire, en ne retenant que l'accusation de mensonge, à quatre reprises. La jeune femme, dont la peine sera fixée jeudi par le juge, risque un an de prison par mensonge. A l'annonce du verdict, Casey Anthony s'est effondrée en larmes.
Bien plus que la saga DSK, l'histoire de Casey Anthony et de sa petite fille Caylee a déchaîné les passions et mobilisé les médias aux Etats-Unis.
Tandis que la France scrutait New York et les ratés du bureau du procureur Cyrus Vance dans l'affaire Strauss-Kahn, l'Amérique se passionnait pour un tout autre procès, qui s'est conclu aujourd'hui. Celui de Casey Anthony, une jolie jeune femme brune de 25 ans au nez retroussé et aux yeux bleus éteints, accusée par l'État de Floride d'avoir assassiné sa petite fille de deux ans et demi, Caylee Anthony, le 16 juin 2008, pour pouvoir mener à sa guise une vie de soirées et de débauche. Mardi, le jury l'a acquittée après seulement 11 heures de délibération.
Depuis des semaines, des millions d'Américains étaient suspendus à leurs postes de télévision qui diffusent en boucle, presque jusqu'à la nausée, des images de la jeune femme assise, les yeux baissés, dans la salle d'audience, d'autres de Casey faisant sauter Caylee sur ses genoux, mais aussi des photos d'elle dansant langoureusement sous les spots de discothèques, ou des images de paquets en plastique supposés contenir les ossements de l'enfant. Ces photos ne prouvent rien et sont détachées de leur contexte. Mais bombardées sur les écrans jour après jour, elles ont contribué à créer un climat presque hystérique dans une opinion qui a tendance à s'identifier avec le destin tragique de la petite fille.
«Justice pour Caylee!», écrivait en banc-titre HLN, une chaîne cadette de CNN qui se spécialise dans ce genre d'affaires. Maquillées et pomponnées, des présentatrices vedettes caricaturales, comme Nancy Grace ou Greta Van Susteren, y ont donné leur avis d'une voix forte sans faire dans la dentelle, jouant sur les émotions de l'opinion, tranchant et découpant comme si elles étaient juges de l'affaire. Des centaines de personnes qui, parfois, ont voyagé depuis d'autres États, ont pris d'assaut l'immeuble du tribunal de la ville d'Orlando, en Floride, pour tenter d'entrer dans la salle d'audience. Les autres ont dû se contenter de faire le pied de grue devant le tribunal en criant «Baby killer» à l'adresse de Casey Anthony. Ils pouvaient aussi suivre le procès en direct dans les cafés voisins, puisque les caméras sont autorisées à l'intérieur de la salle. «Je n'ai jamais vu autant d'émotion pour un procès. C'est encore plus fort que le procès du footballer américain O.J. Simpson», rapportait un reporter de MSNBC.
«D'horribles secrets»
Qu'est-il arrivé à Caylee, ce fameux 16 juin 2008 ? Deux versions totalement opposées du drame ont été défendues. L'accusation affirme que Casey, jeune mère célibataire, a tué sa fille en couvrant son visage de Scotch après l'avoir endormie avec du chloroforme, car elle était incapable d'assumer ses responsabilités parentales. Les procureurs, qui ont présenté sept chefs d'accusation dont celui de meurtre avec préméditation, et qui réclamaient la peine capitale, affirment que le père de Casey a ensuite aidé sa fille à se débarrasser du corps, en allant l'enterrer dans un bois proche de leur maison. Pour appuyer leur démonstration, ils ont cité l'attitude erratique de Casey et les nombreux mensonges qu'elle a formulés. Casey Anthony a en effet mis 31 jours avant de signaler la disparition de sa fille, passant son temps en boîtes de nuit avec des amis dans l'intervalle. Elle a longtemps affirmé que Caylee était avec une baby-sitter, qui s'est révélée ne pas exister, mentant aussi sur son emploi du temps et son travail.
Mais son avocat, José Baez, a fait valoir que l'accusation n'a pas fourni une seule «preuve scientifique» de cet horrible scénario. Pour lui, Caylee est simplement morte dans la piscine de ses grands-parents, alors que sa mère Casey et son grand-père George se trouvaient sur place. Il affirme que le grand-père, un ancien officier de police, a effrayé sa fille, la convainquant qu'elle serait mise en prison pour négligence et qu'il fallait camoufler l'accident en meurtre.
Baez a évoqué la personnalité égoïste de George, qui s'est livré selon lui à une fausse tentative de suicide pendant l'instruction. Lors du procès, il avait déjà parlé du huis clos effrayant d'une famille où «tout est mensonge et secrets, d'horribles secrets». Abusée sexuellement par son père depuis son plus jeune âge, selon Baez, Casey se serait créé un monde imaginaire pour survivre, ce qui expliquerait le tissu de fausses pistes livré aux policiers. L'accusation parle d'homicide mais n'a pas formulé d'hypothèse crédible sur la manière dont l'enfant est morte, a martelé la défense, soulignant qu'en l'absence de preuve, il fallait rejeter en bloc les chefs d'accusation. «C'est parce qu'il n'y a pas eu meurtre», a-t-il proclamé d'une voix vibrante, évoquant un «malheureux accident», avant de serrer sa cliente dans ses bras après sa plaidoirie.
Les jurés ont donc choisi de le croire, en ne retenant que l'accusation de mensonge, à quatre reprises. La jeune femme, dont la peine sera fixée jeudi par le juge, risque un an de prison par mensonge. A l'annonce du verdict, Casey Anthony s'est effondrée en larmes.
Jjhj
En Juillet, 2011 (00:26 AM)Tandis que la France scrutait New York et les ratés du bureau du procureur Cyrus Vance dans l'affaire Strauss-Kahn, l'Amérique se passionnait pour un tout autre procès, qui s'est conclu aujourd'hui. Celui de Casey Anthony, une jolie jeune femme brune de 25 ans au nez retroussé et aux yeux bleus éteints, accusée par l'État de Floride d'avoir assassiné sa petite fille de deux ans et demi, Caylee Anthony, le 16 juin 2008, pour pouvoir mener à sa guise une vie de soirées et de débauche. Mardi, le jury l'a acquittée après seulement 11 heures de délibération.
Depuis des semaines, des millions d'Américains étaient suspendus à leurs postes de télévision qui diffusent en boucle, presque jusqu'à la nausée, des images de la jeune femme assise, les yeux baissés, dans la salle d'audience, d'autres de Casey faisant sauter Caylee sur ses genoux, mais aussi des photos d'elle dansant langoureusement sous les spots de discothèques, ou des images de paquets en plastique supposés contenir les ossements de l'enfant. Ces photos ne prouvent rien et sont détachées de leur contexte. Mais bombardées sur les écrans jour après jour, elles ont contribué à créer un climat presque hystérique dans une opinion qui a tendance à s'identifier avec le destin tragique de la petite fille.
«Justice pour Caylee!», écrivait en banc-titre HLN, une chaîne cadette de CNN qui se spécialise dans ce genre d'affaires. Maquillées et pomponnées, des présentatrices vedettes caricaturales, comme Nancy Grace ou Greta Van Susteren, y ont donné leur avis d'une voix forte sans faire dans la dentelle, jouant sur les émotions de l'opinion, tranchant et découpant comme si elles étaient juges de l'affaire. Des centaines de personnes qui, parfois, ont voyagé depuis d'autres États, ont pris d'assaut l'immeuble du tribunal de la ville d'Orlando, en Floride, pour tenter d'entrer dans la salle d'audience. Les autres ont dû se contenter de faire le pied de grue devant le tribunal en criant «Baby killer» à l'adresse de Casey Anthony. Ils pouvaient aussi suivre le procès en direct dans les cafés voisins, puisque les caméras sont autorisées à l'intérieur de la salle. «Je n'ai jamais vu autant d'émotion pour un procès. C'est encore plus fort que le procès du footballer américain O.J. Simpson», rapportait un reporter de MSNBC.
«D'horribles secrets»
Qu'est-il arrivé à Caylee, ce fameux 16 juin 2008 ? Deux versions totalement opposées du drame ont été défendues. L'accusation affirme que Casey, jeune mère célibataire, a tué sa fille en couvrant son visage de Scotch après l'avoir endormie avec du chloroforme, car elle était incapable d'assumer ses responsabilités parentales. Les procureurs, qui ont présenté sept chefs d'accusation dont celui de meurtre avec préméditation, et qui réclamaient la peine capitale, affirment que le père de Casey a ensuite aidé sa fille à se débarrasser du corps, en allant l'enterrer dans un bois proche de leur maison. Pour appuyer leur démonstration, ils ont cité l'attitude erratique de Casey et les nombreux mensonges qu'elle a formulés. Casey Anthony a en effet mis 31 jours avant de signaler la disparition de sa fille, passant son temps en boîtes de nuit avec des amis dans l'intervalle. Elle a longtemps affirmé que Caylee était avec une baby-sitter, qui s'est révélée ne pas exister, mentant aussi sur son emploi du temps et son travail.
Mais son avocat, José Baez, a fait valoir que l'accusation n'a pas fourni une seule «preuve scientifique» de cet horrible scénario. Pour lui, Caylee est simplement morte dans la piscine de ses grands-parents, alors que sa mère Casey et son grand-père George se trouvaient sur place. Il affirme que le grand-père, un ancien officier de police, a effrayé sa fille, la convainquant qu'elle serait mise en prison pour négligence et qu'il fallait camoufler l'accident en meurtre.
Baez a évoqué la personnalité égoïste de George, qui s'est livré selon lui à une fausse tentative de suicide pendant l'instruction. Lors du procès, il avait déjà parlé du huis clos effrayant d'une famille où «tout est mensonge et secrets, d'horribles secrets». Abusée sexuellement par son père depuis son plus jeune âge, selon Baez, Casey se serait créé un monde imaginaire pour survivre, ce qui expliquerait le tissu de fausses pistes livré aux policiers. L'accusation parle d'homicide mais n'a pas formulé d'hypothèse crédible sur la manière dont l'enfant est morte, a martelé la défense, soulignant qu'en l'absence de preuve, il fallait rejeter en bloc les chefs d'accusation. «C'est parce qu'il n'y a pas eu meurtre», a-t-il proclamé d'une voix vibrante, évoquant un «malheureux accident», avant de serrer sa cliente dans ses bras après sa plaidoirie.
Les jurés ont donc choisi de le croire, en ne retenant que l'accusation de mensonge, à quatre reprises. La jeune femme, dont la peine sera fixée jeudi par le juge, risque un an de prison par mensonge. A l'annonce du verdict, Casey Anthony s'est effondrée en larmes.
Hk
En Juillet, 2011 (00:26 AM)Tandis que la France scrutait New York et les ratés du bureau du procureur Cyrus Vance dans l'affaire Strauss-Kahn, l'Amérique se passionnait pour un tout autre procès, qui s'est conclu aujourd'hui. Celui de Casey Anthony, une jolie jeune femme brune de 25 ans au nez retroussé et aux yeux bleus éteints, accusée par l'État de Floride d'avoir assassiné sa petite fille de deux ans et demi, Caylee Anthony, le 16 juin 2008, pour pouvoir mener à sa guise une vie de soirées et de débauche. Mardi, le jury l'a acquittée après seulement 11 heures de délibération.
Depuis des semaines, des millions d'Américains étaient suspendus à leurs postes de télévision qui diffusent en boucle, presque jusqu'à la nausée, des images de la jeune femme assise, les yeux baissés, dans la salle d'audience, d'autres de Casey faisant sauter Caylee sur ses genoux, mais aussi des photos d'elle dansant langoureusement sous les spots de discothèques, ou des images de paquets en plastique supposés contenir les ossements de l'enfant. Ces photos ne prouvent rien et sont détachées de leur contexte. Mais bombardées sur les écrans jour après jour, elles ont contribué à créer un climat presque hystérique dans une opinion qui a tendance à s'identifier avec le destin tragique de la petite fille.
«Justice pour Caylee!», écrivait en banc-titre HLN, une chaîne cadette de CNN qui se spécialise dans ce genre d'affaires. Maquillées et pomponnées, des présentatrices vedettes caricaturales, comme Nancy Grace ou Greta Van Susteren, y ont donné leur avis d'une voix forte sans faire dans la dentelle, jouant sur les émotions de l'opinion, tranchant et découpant comme si elles étaient juges de l'affaire. Des centaines de personnes qui, parfois, ont voyagé depuis d'autres États, ont pris d'assaut l'immeuble du tribunal de la ville d'Orlando, en Floride, pour tenter d'entrer dans la salle d'audience. Les autres ont dû se contenter de faire le pied de grue devant le tribunal en criant «Baby killer» à l'adresse de Casey Anthony. Ils pouvaient aussi suivre le procès en direct dans les cafés voisins, puisque les caméras sont autorisées à l'intérieur de la salle. «Je n'ai jamais vu autant d'émotion pour un procès. C'est encore plus fort que le procès du footballer américain O.J. Simpson», rapportait un reporter de MSNBC.
«D'horribles secrets»
Qu'est-il arrivé à Caylee, ce fameux 16 juin 2008 ? Deux versions totalement opposées du drame ont été défendues. L'accusation affirme que Casey, jeune mère célibataire, a tué sa fille en couvrant son visage de Scotch après l'avoir endormie avec du chloroforme, car elle était incapable d'assumer ses responsabilités parentales. Les procureurs, qui ont présenté sept chefs d'accusation dont celui de meurtre avec préméditation, et qui réclamaient la peine capitale, affirment que le père de Casey a ensuite aidé sa fille à se débarrasser du corps, en allant l'enterrer dans un bois proche de leur maison. Pour appuyer leur démonstration, ils ont cité l'attitude erratique de Casey et les nombreux mensonges qu'elle a formulés. Casey Anthony a en effet mis 31 jours avant de signaler la disparition de sa fille, passant son temps en boîtes de nuit avec des amis dans l'intervalle. Elle a longtemps affirmé que Caylee était avec une baby-sitter, qui s'est révélée ne pas exister, mentant aussi sur son emploi du temps et son travail.
Mais son avocat, José Baez, a fait valoir que l'accusation n'a pas fourni une seule «preuve scientifique» de cet horrible scénario. Pour lui, Caylee est simplement morte dans la piscine de ses grands-parents, alors que sa mère Casey et son grand-père George se trouvaient sur place. Il affirme que le grand-père, un ancien officier de police, a effrayé sa fille, la convainquant qu'elle serait mise en prison pour négligence et qu'il fallait camoufler l'accident en meurtre.
Baez a évoqué la personnalité égoïste de George, qui s'est livré selon lui à une fausse tentative de suicide pendant l'instruction. Lors du procès, il avait déjà parlé du huis clos effrayant d'une famille où «tout est mensonge et secrets, d'horribles secrets». Abusée sexuellement par son père depuis son plus jeune âge, selon Baez, Casey se serait créé un monde imaginaire pour survivre, ce qui expliquerait le tissu de fausses pistes livré aux policiers. L'accusation parle d'homicide mais n'a pas formulé d'hypothèse crédible sur la manière dont l'enfant est morte, a martelé la défense, soulignant qu'en l'absence de preuve, il fallait rejeter en bloc les chefs d'accusation. «C'est parce qu'il n'y a pas eu meurtre», a-t-il proclamé d'une voix vibrante, évoquant un «malheureux accident», avant de serrer sa cliente dans ses bras après sa plaidoirie.
Les jurés ont donc choisi de le croire, en ne retenant que l'accusation de mensonge, à quatre reprises. La jeune femme, dont la peine sera fixée jeudi par le juge, risque un an de prison par mensonge. A l'annonce du verdict, Casey Anthony s'est effondrée en larmes.
Mlk;;lm
En Juillet, 2011 (00:27 AM)Dans une déclaration transmise à l’APS, mardi, ce mouvement estime qu"un autre Sénégal est possible sans Wade, pourvu que l’on surmonte les velléités partisanes, les aspirations individualistes et la surenchère des leaders de l’opposition pour s’unir derrière un seul homme bien choisi, très bien encadré et parfaitement accompagné par le peuple’’.
‘’Comme un seul homme, comme on avait fait contre Diouf pour élire Wade en 2000, allons à la présidentielle de 2012, unis. Sommes-nous en mesure de se ranger derrière un candidat de consensus national comme le suggère le Texte des Assises nationales pour assurer la transition et commencer le travail après Wade ?’’, ajoute la déclaration.
‘’Nous ne pouvons pas nous permettre d’entraîner le Sénégal dans une guerre civile. Nous avons préféré la paix face à la dangereuse panique du camp libéral’’, selon le coordonnateur du Mouvement "Doyna Seuk", Cheikh Tidiane Diop, qui a signé le texte.
‘’Le peuple est toujours en attente malgré la conférence de presse du Mouvement du 23 Juin, tenue à la RADDHO le 29 juin, et qui s’est résumée à des déclarations d’intention et des prises de décisions procédurales’’, poursuit-il.
Uyytr
En Juillet, 2011 (00:28 AM)Dans une déclaration transmise à l’APS, mardi, ce mouvement estime qu"un autre Sénégal est possible sans Wade, pourvu que l’on surmonte les velléités partisanes, les aspirations individualistes et la surenchère des leaders de l’opposition pour s’unir derrière un seul homme bien choisi, très bien encadré et parfaitement accompagné par le peuple’’.
‘’Comme un seul homme, comme on avait fait contre Diouf pour élire Wade en 2000, allons à la présidentielle de 2012, unis. Sommes-nous en mesure de se ranger derrière un candidat de consensus national comme le suggère le Texte des Assises nationales pour assurer la transition et commencer le travail après Wade ?’’, ajoute la déclaration.
‘’Nous ne pouvons pas nous permettre d’entraîner le Sénégal dans une guerre civile. Nous avons préféré la paix face à la dangereuse panique du camp libéral’’, selon le coordonnateur du Mouvement "Doyna Seuk", Cheikh Tidiane Diop, qui a signé le texte.
‘’Le peuple est toujours en attente malgré la conférence de presse du Mouvement du 23 Juin, tenue à la RADDHO le 29 juin, et qui s’est résumée à des déclarations d’intention et des prises de décisions procédurales’’, poursuit-il.
Les animateurs du Mouvement "Doyna Seuk" invitent les opposants au régime du président sénégalais Abdoulaye Wade à se passer des "velléités partisanes", des "aspirations individualistes" et de la surenchère politicienne pour réaliser ensemble une alternance démocratique à l’occasion de l’élection présidentielle du 26 février 2012.
Dans une déclaration transmise à l’APS, mardi, ce mouvement estime qu"un autre Sénégal est possible sans Wade, pourvu que l’on surmonte les velléités partisanes, les aspirations individualistes et la surenchère des leaders de l’opposition pour s’unir derrière un seul homme bien choisi, très bien encadré et parfaitement accompagné par le peuple’’.
‘’Comme un seul homme, comme on avait fait contre Diouf pour élire Wade en 2000, allons à la présidentielle de 2012, unis. Sommes-nous en mesure de se ranger derrière un candidat de consensus national comme le suggère le Texte des Assises nationales pour assurer la transition et commencer le travail après Wade ?’’, ajoute la déclaration.
‘’Nous ne pouvons pas nous permettre d’entraîner le Sénégal dans une guerre civile. Nous avons préféré la paix face à la dangereuse panique du camp libéral’’, selon le coordonnateur du Mouvement "Doyna Seuk", Cheikh Tidiane Diop, qui a signé le texte.
‘’Le peuple est toujours en attente malgré la conférence de presse du Mouvement du 23 Juin, tenue à la RADDHO le 29 juin, et qui s’est résumée à des déclarations d’intention et des prises de décisions procédurales’’, poursuit-il.
Les animateurs du Mouvement "Doyna Seuk" invitent les opposants au régime du président sénégalais Abdoulaye Wade à se passer des "velléités partisanes", des "aspirations individualistes" et de la surenchère politicienne pour réaliser ensemble une alternance démocratique à l’occasion de l’élection présidentielle du 26 février 2012.
Dans une déclaration transmise à l’APS, mardi, ce mouvement estime qu"un autre Sénégal est possible sans Wade, pourvu que l’on surmonte les velléités partisanes, les aspirations individualistes et la surenchère des leaders de l’opposition pour s’unir derrière un seul homme bien choisi, très bien encadré et parfaitement accompagné par le peuple’’.
‘’Comme un seul homme, comme on avait fait contre Diouf pour élire Wade en 2000, allons à la présidentielle de 2012, unis. Sommes-nous en mesure de se ranger derrière un candidat de consensus national comme le suggère le Texte des Assises nationales pour assurer la transition et commencer le travail après Wade ?’’, ajoute la déclaration.
‘’Nous ne pouvons pas nous permettre d’entraîner le Sénégal dans une guerre civile. Nous avons préféré la paix face à la dangereuse panique du camp libéral’’, selon le coordonnateur du Mouvement "Doyna Seuk", Cheikh Tidiane Diop, qui a signé le texte.
‘’Le peuple est toujours en attente malgré la conférence de presse du Mouvement du 23 Juin, tenue à la RADDHO le 29 juin, et qui s’est résumée à des déclarations d’intention et des prises de décisions procédurales’’, poursuit-il.
Les animateurs du Mouvement "Doyna Seuk" invitent les opposants au régime du président sénégalais Abdoulaye Wade à se passer des "velléités partisanes", des "aspirations individualistes" et de la surenchère politicienne pour réaliser ensemble une alternance démocratique à l’occasion de l’élection présidentielle du 26 février 2012.
Dans une déclaration transmise à l’APS, mardi, ce mouvement estime qu"un autre Sénégal est possible sans Wade, pourvu que l’on surmonte les velléités partisanes, les aspirations individualistes et la surenchère des leaders de l’opposition pour s’unir derrière un seul homme bien choisi, très bien encadré et parfaitement accompagné par le peuple’’.
‘’Comme un seul homme, comme on avait fait contre Diouf pour élire Wade en 2000, allons à la présidentielle de 2012, unis. Sommes-nous en mesure de se ranger derrière un candidat de consensus national comme le suggère le Texte des Assises nationales pour assurer la transition et commencer le travail après Wade ?’’, ajoute la déclaration.
‘’Nous ne pouvons pas nous permettre d’entraîner le Sénégal dans une guerre civile. Nous avons préféré la paix face à la dangereuse panique du camp libéral’’, selon le coordonnateur du Mouvement "Doyna Seuk", Cheikh Tidiane Diop, qui a signé le texte.
‘’Le peuple est toujours en attente malgré la conférence de presse du Mouvement du 23 Juin, tenue à la RADDHO le 29 juin, et qui s’est résumée à des déclarations d’intention et des prises de décisions procédurales’’, poursuit-il.
Ngor
En Juillet, 2011 (00:28 AM)Jkjllkkl;
En Juillet, 2011 (00:28 AM)Dans une déclaration transmise à l’APS, mardi, ce mouvement estime qu"un autre Sénégal est possible sans Wade, pourvu que l’on surmonte les velléités partisanes, les aspirations individualistes et la surenchère des leaders de l’opposition pour s’unir derrière un seul homme bien choisi, très bien encadré et parfaitement accompagné par le peuple’’.
‘’Comme un seul homme, comme on avait fait contre Diouf pour élire Wade en 2000, allons à la présidentielle de 2012, unis. Sommes-nous en mesure de se ranger derrière un candidat de consensus national comme le suggère le Texte des Assises nationales pour assurer la transition et commencer le travail après Wade ?’’, ajoute la déclaration.
‘’Nous ne pouvons pas nous permettre d’entraîner le Sénégal dans une guerre civile. Nous avons préféré la paix face à la dangereuse panique du camp libéral’’, selon le coordonnateur du Mouvement "Doyna Seuk", Cheikh Tidiane Diop, qui a signé le texte.
‘’Le peuple est toujours en attente malgré la conférence de presse du Mouvement du 23 Juin, tenue à la RADDHO le 29 juin, et qui s’est résumée à des déclarations d’intention et des prises de décisions procédurales’’, poursuit-il.
Nbb
En Juillet, 2011 (00:29 AM)Tandis que la France scrutait New York et les ratés du bureau du procureur Cyrus Vance dans l'affaire Strauss-Kahn, l'Amérique se passionnait pour un tout autre procès, qui s'est conclu aujourd'hui. Celui de Casey Anthony, une jolie jeune femme brune de 25 ans au nez retroussé et aux yeux bleus éteints, accusée par l'État de Floride d'avoir assassiné sa petite fille de deux ans et demi, Caylee Anthony, le 16 juin 2008, pour pouvoir mener à sa guise une vie de soirées et de débauche. Mardi, le jury l'a acquittée après seulement 11 heures de délibération.
Depuis des semaines, des millions d'Américains étaient suspendus à leurs postes de télévision qui diffusent en boucle, presque jusqu'à la nausée, des images de la jeune femme assise, les yeux baissés, dans la salle d'audience, d'autres de Casey faisant sauter Caylee sur ses genoux, mais aussi des photos d'elle dansant langoureusement sous les spots de discothèques, ou des images de paquets en plastique supposés contenir les ossements de l'enfant. Ces photos ne prouvent rien et sont détachées de leur contexte. Mais bombardées sur les écrans jour après jour, elles ont contribué à créer un climat presque hystérique dans une opinion qui a tendance à s'identifier avec le destin tragique de la petite fille.
«Justice pour Caylee!», écrivait en banc-titre HLN, une chaîne cadette de CNN qui se spécialise dans ce genre d'affaires. Maquillées et pomponnées, des présentatrices vedettes caricaturales, comme Nancy Grace ou Greta Van Susteren, y ont donné leur avis d'une voix forte sans faire dans la dentelle, jouant sur les émotions de l'opinion, tranchant et découpant comme si elles étaient juges de l'affaire. Des centaines de personnes qui, parfois, ont voyagé depuis d'autres États, ont pris d'assaut l'immeuble du tribunal de la ville d'Orlando, en Floride, pour tenter d'entrer dans la salle d'audience. Les autres ont dû se contenter de faire le pied de grue devant le tribunal en criant «Baby killer» à l'adresse de Casey Anthony. Ils pouvaient aussi suivre le procès en direct dans les cafés voisins, puisque les caméras sont autorisées à l'intérieur de la salle. «Je n'ai jamais vu autant d'émotion pour un procès. C'est encore plus fort que le procès du footballer américain O.J. Simpson», rapportait un reporter de MSNBC.
«D'horribles secrets»
Qu'est-il arrivé à Caylee, ce fameux 16 juin 2008 ? Deux versions totalement opposées du drame ont été défendues. L'accusation affirme que Casey, jeune mère célibataire, a tué sa fille en couvrant son visage de Scotch après l'avoir endormie avec du chloroforme, car elle était incapable d'assumer ses responsabilités parentales. Les procureurs, qui ont présenté sept chefs d'accusation dont celui de meurtre avec préméditation, et qui réclamaient la peine capitale, affirment que le père de Casey a ensuite aidé sa fille à se débarrasser du corps, en allant l'enterrer dans un bois proche de leur maison. Pour appuyer leur démonstration, ils ont cité l'attitude erratique de Casey et les nombreux mensonges qu'elle a formulés. Casey Anthony a en effet mis 31 jours avant de signaler la disparition de sa fille, passant son temps en boîtes de nuit avec des amis dans l'intervalle. Elle a longtemps affirmé que Caylee était avec une baby-sitter, qui s'est révélée ne pas exister, mentant aussi sur son emploi du temps et son travail.
Mais son avocat, José Baez, a fait valoir que l'accusation n'a pas fourni une seule «preuve scientifique» de cet horrible scénario. Pour lui, Caylee est simplement morte dans la piscine de ses grands-parents, alors que sa mère Casey et son grand-père George se trouvaient sur place. Il affirme que le grand-père, un ancien officier de police, a effrayé sa fille, la convainquant qu'elle serait mise en prison pour négligence et qu'il fallait camoufler l'accident en meurtre.
Baez a évoqué la personnalité égoïste de George, qui s'est livré selon lui à une fausse tentative de suicide pendant l'instruction. Lors du procès, il avait déjà parlé du huis clos effrayant d'une famille où «tout est mensonge et secrets, d'horribles secrets». Abusée sexuellement par son père depuis son plus jeune âge, selon Baez, Casey se serait créé un monde imaginaire pour survivre, ce qui expliquerait le tissu de fausses pistes livré aux policiers. L'accusation parle d'homicide mais n'a pas formulé d'hypothèse crédible sur la manière dont l'enfant est morte, a martelé la défense, soulignant qu'en l'absence de preuve, il fallait rejeter en bloc les chefs d'accusation. «C'est parce qu'il n'y a pas eu meurtre», a-t-il proclamé d'une voix vibrante, évoquant un «malheureux accident», avant de serrer sa cliente dans ses bras après sa plaidoirie.
Les jurés ont donc choisi de le croire, en ne retenant que l'accusation de mensonge, à quatre reprises. La jeune femme, dont la peine sera fixée jeudi par le juge, risque un an de prison par mensonge. A l'annonce du verdict, Casey Anthony s'est effondrée en larmes.
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A voir ta façon de parler, on comprend tout de suite que tu ne pries toi non plus. Mais sache que si tu négliges ta prière, tu finiras exactement comme elle ou bien pire.
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{comment_ads}Mactar
En Avril, 2022 (19:21 PM)Adji SARR, une chose est sûre, si elle avait fait sa prière ce jour là, elle n'aurait jamais accusé SONKO et toute cette tragédie 14 morts auraient pu être évitées. Et le jour où Adji SARR commencera à accomplir la prière, elle ira se dénoncer toute seule au tribunal sans aucune pression de personne. Vous sous estimez le pouvoir de la prière. Il ne faut pas être bêtes ! Comportez-vous comme des musulmanes, n'essayez pas d'imiter les occidetaux et athées parce que eux ne vous imitent pas.
Hibjhui
En Juillet, 2011 (00:29 AM)Tandis que la France scrutait New York et les ratés du bureau du procureur Cyrus Vance dans l'affaire Strauss-Kahn, l'Amérique se passionnait pour un tout autre procès, qui s'est conclu aujourd'hui. Celui de Casey Anthony, une jolie jeune femme brune de 25 ans au nez retroussé et aux yeux bleus éteints, accusée par l'État de Floride d'avoir assassiné sa petite fille de deux ans et demi, Caylee Anthony, le 16 juin 2008, pour pouvoir mener à sa guise une vie de soirées et de débauche. Mardi, le jury l'a acquittée après seulement 11 heures de délibération.
Depuis des semaines, des millions d'Américains étaient suspendus à leurs postes de télévision qui diffusent en boucle, presque jusqu'à la nausée, des images de la jeune femme assise, les yeux baissés, dans la salle d'audience, d'autres de Casey faisant sauter Caylee sur ses genoux, mais aussi des photos d'elle dansant langoureusement sous les spots de discothèques, ou des images de paquets en plastique supposés contenir les ossements de l'enfant. Ces photos ne prouvent rien et sont détachées de leur contexte. Mais bombardées sur les écrans jour après jour, elles ont contribué à créer un climat presque hystérique dans une opinion qui a tendance à s'identifier avec le destin tragique de la petite fille.
«Justice pour Caylee!», écrivait en banc-titre HLN, une chaîne cadette de CNN qui se spécialise dans ce genre d'affaires. Maquillées et pomponnées, des présentatrices vedettes caricaturales, comme Nancy Grace ou Greta Van Susteren, y ont donné leur avis d'une voix forte sans faire dans la dentelle, jouant sur les émotions de l'opinion, tranchant et découpant comme si elles étaient juges de l'affaire. Des centaines de personnes qui, parfois, ont voyagé depuis d'autres États, ont pris d'assaut l'immeuble du tribunal de la ville d'Orlando, en Floride, pour tenter d'entrer dans la salle d'audience. Les autres ont dû se contenter de faire le pied de grue devant le tribunal en criant «Baby killer» à l'adresse de Casey Anthony. Ils pouvaient aussi suivre le procès en direct dans les cafés voisins, puisque les caméras sont autorisées à l'intérieur de la salle. «Je n'ai jamais vu autant d'émotion pour un procès. C'est encore plus fort que le procès du footballer américain O.J. Simpson», rapportait un reporter de MSNBC.
«D'horribles secrets»
Qu'est-il arrivé à Caylee, ce fameux 16 juin 2008 ? Deux versions totalement opposées du drame ont été défendues. L'accusation affirme que Casey, jeune mère célibataire, a tué sa fille en couvrant son visage de Scotch après l'avoir endormie avec du chloroforme, car elle était incapable d'assumer ses responsabilités parentales. Les procureurs, qui ont présenté sept chefs d'accusation dont celui de meurtre avec préméditation, et qui réclamaient la peine capitale, affirment que le père de Casey a ensuite aidé sa fille à se débarrasser du corps, en allant l'enterrer dans un bois proche de leur maison. Pour appuyer leur démonstration, ils ont cité l'attitude erratique de Casey et les nombreux mensonges qu'elle a formulés. Casey Anthony a en effet mis 31 jours avant de signaler la disparition de sa fille, passant son temps en boîtes de nuit avec des amis dans l'intervalle. Elle a longtemps affirmé que Caylee était avec une baby-sitter, qui s'est révélée ne pas exister, mentant aussi sur son emploi du temps et son travail.
Mais son avocat, José Baez, a fait valoir que l'accusation n'a pas fourni une seule «preuve scientifique» de cet horrible scénario. Pour lui, Caylee est simplement morte dans la piscine de ses grands-parents, alors que sa mère Casey et son grand-père George se trouvaient sur place. Il affirme que le grand-père, un ancien officier de police, a effrayé sa fille, la convainquant qu'elle serait mise en prison pour négligence et qu'il fallait camoufler l'accident en meurtre.
Baez a évoqué la personnalité égoïste de George, qui s'est livré selon lui à une fausse tentative de suicide pendant l'instruction. Lors du procès, il avait déjà parlé du huis clos effrayant d'une famille où «tout est mensonge et secrets, d'horribles secrets». Abusée sexuellement par son père depuis son plus jeune âge, selon Baez, Casey se serait créé un monde imaginaire pour survivre, ce qui expliquerait le tissu de fausses pistes livré aux policiers. L'accusation parle d'homicide mais n'a pas formulé d'hypothèse crédible sur la manière dont l'enfant est morte, a martelé la défense, soulignant qu'en l'absence de preuve, il fallait rejeter en bloc les chefs d'accusation. «C'est parce qu'il n'y a pas eu meurtre», a-t-il proclamé d'une voix vibrante, évoquant un «malheureux accident», avant de serrer sa cliente dans ses bras après sa plaidoirie.
Les jurés ont donc choisi de le croire, en ne retenant que l'accusation de mensonge, à quatre reprises. La jeune femme, dont la peine sera fixée jeudi par le juge, risque un an de prison par mensonge. A l'annonce du verdict, Casey Anthony s'est effondrée en larmes.
As
En Juillet, 2011 (00:30 AM)Ass
En Juillet, 2011 (00:31 AM)Ass
En Juillet, 2011 (00:36 AM)From London
En Juillet, 2011 (00:48 AM)Louse
En Juillet, 2011 (00:57 AM)Boy Town
En Juillet, 2011 (01:00 AM)C'etait sur ce site que je vous avez fait la révélation , qu'IDY etait à st tropez dans une résidence dit lafayette le 23 juin passé pendant que le peuple se révoltait.
C'etait sur ce site que je vous avez fait la révélation , qu'IDY etait à st tropez dans une résidence dit lafayette le 23 juin passé pendant que le peuple se révoltait.
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Dymo
En Juillet, 2011 (01:02 AM)Kade
En Juillet, 2011 (01:40 AM)je pense que pour le moment, c est de se battre ensemble pour que wade decalre qu il ne se presentera pas. apres on verra.
Feeegne
En Juillet, 2011 (01:58 AM)Vautourdiop
En Juillet, 2011 (01:59 AM)Candidat
En Juillet, 2011 (02:24 AM)Rappel
En Juillet, 2011 (03:59 AM)Tamdia
En Juillet, 2011 (05:51 AM)Sidharta
En Juillet, 2011 (05:52 AM)Bachirndiaye
En Juillet, 2011 (06:04 AM)Ibrarewmibergamo
En Juillet, 2011 (08:00 AM)Peuls,
En Juillet, 2011 (08:47 AM)Domourewmi
En Juillet, 2011 (08:54 AM)bonne chance au sénégal
J'aime Mon Pays
En Juillet, 2011 (08:58 AM)Dd
En Juillet, 2011 (09:14 AM)Conscient
En Juillet, 2011 (09:28 AM)Lagaffe
En Juillet, 2011 (09:40 AM)Héhéééé, NGOR, c'est NGOR.Malgré ton avertissement et ton plan détaillé, je suis certain qu'il va droit dans le premier mur qui se dressera sur son chemin.Il a une idée fixe.DSK a "touché" a cette fille, et ça, son BON AVOCAT va le prouver. Tu vois? Tu ne pourra pas lui faire changer d'avis. Laisse le "gaou" là., pour lui, c'est ça. ABANA.
Alcallo
En Juillet, 2011 (09:52 AM)Woutico
En Juillet, 2011 (09:59 AM)Recalcitrant
En Juillet, 2011 (10:00 AM)Ndiack
En Juillet, 2011 (10:35 AM)Deux importants messages à regarder par tous les sénégalais sur Youtube en tapant :
1) Wade 2012
2) SJD départ wade
Faites partager ces 2 vidéos
Lagaffe
En Juillet, 2011 (10:54 AM)Dd
En Juillet, 2011 (11:12 AM)Yéyé
En Juillet, 2011 (11:57 AM)Rigolot
En Juillet, 2011 (13:15 PM)Msk
En Juillet, 2011 (13:19 PM)Ma Ko Wax
En Juillet, 2011 (13:46 PM)Lyns
En Juillet, 2011 (14:09 PM)Rigolot
En Juillet, 2011 (14:51 PM)Petition Stop Wade
En Juillet, 2011 (15:56 PM)La Perle
En Juillet, 2011 (16:28 PM)Dd
En Juillet, 2011 (16:48 PM)dieye commission
et ecoutez le discours de Cheikh Bamba DIEYE face aux députes membres de la commission des lois le 21 juin.
Voila notre futur chef d'état
Pierrot
En Juillet, 2011 (17:08 PM)Constellation 7
En Juillet, 2011 (19:17 PM)Kheus
En Juillet, 2011 (22:14 PM)Participer à la Discussion