Le Sénégal est-il en passe de devenir un Far West où la loi du plus fort est toujours la
meilleure ?
meilleure ?
Si ce n’est pas encore le cas, le champ politique national est devenu une arène de gladiateurs où la loi est piétinée en permanence. Ni la majorité présidentielle, ni l’opposition multipolaire, ni la société civile n’accordent la primauté au Droit et à l’Etat légal en accordant l’allégeance qui sied
aux Institutions, à leurs représentants et à l’Autorité républicaine.
aux Institutions, à leurs représentants et à l’Autorité républicaine.
Si le pays n’est pas en danger, la société, elle, se sent menacée par la violence verbale des hommes politiques et les positions de défiance fortement teintées de provocation qu’aiment à livrer les plus intolérants de ceux-ci. Si la République n’est pas en péril, les Institutions sont, elles, martyrisées par la défiance permanente que de nombreux acteurs sociaux affichent à leur endroit en ayant, en constance, recours à la vitupération, à la contestation si ce n’est à des accusations permanentes d’infamie et de trahison à l’endroit de leurs adversaires.
Le pays va mal comme l’entonne en refrain le chanteur ivoirien Tiken Jah Fakoly. Il va mal à cause de ses élites dirigeantes. De la majorité comme de l’opposition. A cause du monde intellectuel et de la société savante qui se sont emmurés dans le silence depuis la première alternance de l’an 2000. Le pays vit son époque et subit d’une manière violente et frontale les convictions qui caractérisent cette actuelle période de l’Histoire de l’Humanité. Une ère de mutation et de changements radicaux avec une pandémie déferlant sur la planète depuis la fin 2019 qui a entraîné une première crise économique devenue récession depuis le début de cette année 2022 avec la campagne d’Ukraine.
Pire qu’un bouleversement, le nouveau monde multipolaire qui sort des limbes interpelle les Nations qui pensent avoir une place à conserver, un rôle à jouer, une influence à propager s’ils ne veulent pas devenir des pays vassaux ou des Etats suzerains d’un des nouveaux impériums naissants. Car le monde de l’après Seconde Guerre Mondiale, divisé en deux blocs entre l’Est et l’Ouest, que la chute du Mur de Berlin et l’implosion de l’ancienne Union Soviétique ont remplacé entre 1989 et 1991, s’est, lui aussi, terminé avec la débandade américaine en Afghanistan l’année dernière.
Le monde se redéfinit et chacun cherche ses marques et se bat pour son existence alors qu’au Sénégal toute l’élite ne semble être préoccupée que par des positions de pouvoir et des postures de rentiers. Tous les maux de la société, tous les problèmes du pays sont occultés ou passent au second plan devant les permanentes, incessantes revendications et réclamations d’une faible minorité d’acteurs politiques ne parlant en tout lieu et en tout temps que de places à prendre, de positions à consolider mais jamais de l’avancée du désert et de la déforestation, les deux périls les plus prégnants. Sans oublier l’érosion côtière et le pillage de nos ressources halieutiques menaçant l’existence de millions de personnes vivant sur la bordure maritime du Sénégal et contraintes à l’exil professionnel auprès de nos pays limitrophes.
L’école sénégalaise en déperdition, la jeunesse déboussolée et désabusée, l’effondrement du faible tissu industriel hérité de l’époque coloniale complètement asphyxié par les importations massives de produits de piètre qualité en provenance de la Chine, de la Turquie, de Dubaï ne semblent point être des sujets d’intérêt pour nos acteurs politiques. Pour eux, il n’y a que le code électoral et le fichier électoral, les arrêts de la Cour Suprême, les décisions du Conseil Constitutionnel qui méritent engagement, bataille, confrontation, invectives, rodomontades et bras de fer.
A tel point, d’ailleurs, que la dernière actualité politique vient à nouveau d’installer le pays dans l’impasse avec ce combat frontal entre le Ministère en charge des élections, le Conseil Constitutionnel et l’opposition politique la plus radicale et la plus extrémiste qui veut remettre au goût du jour les combats de rue des années Sopi ou, pire encore, déboucher sur une insurrection.
N’étant ni juriste, ni constitutionnaliste, s’engager sur ce débat visqueux entre professionnels du Droit n’est pas notre exercice. Néanmoins, quelque chose nous turlupine dans ces dernières décisions entre l’Administration en charge d’assurer la mise en conformité par les acteurs politiques des étapes du processus électoral, et les dernières décisions du juge politique, le Conseil Constitutionnel.
Dans notre entendement, l’application du parrainage est un filtre pertinent et justifié car avec une jungle politique où plus de quatre cents partis foisonnent, il est normal de trouver un correctif démocratique pour éviter un chaos électoral avec des listes à n’en plus finir. Sur ce chapitre, nous pensons que le parrainage n’est pas un frein à l’expression citoyenne ou démocratique. Bien au contraire, cela est une attestation de la signifiance ou non de l’existence de véritables courants de pensée et de forces politiques et non l’encouragement à des expressions politiques sans contenu et n’exprimant que des calculs opportunistes.
L’introduction de la parité par le Président Wade a été une réelle avancée citoyenne et démocratique. Elle a l’avantage d’avoir apporté deux correctifs majeurs en faveur de la composante féminine de notre Nation. Tout en rétablissant l’égalité citoyenne entre les hommes et les femmes dans le champ politique, la parité a, aussi, dans son ADN l’équité en favorisant l’implication de la gent féminine dans l’arène politique. On peut bien comprendre et accepter la compréhension d’un juriste comme Me Wade qui, tout en reconnaissant les mêmes droits à l’homme et à la femme (tels Adam et Eve) a tenu, en plus, à inscrire sur le marbre la parité différente de la mixité ou de la discrimination positive avec la règle des quotas. La loi sénégalaise sur la parité indique que, sur toute liste élective, il faut aligner alternativement et impérativement un homme et une femme ou vice versa.
Ainsi donc, si notre système démocratique retient comme mode d’expression que le suffrage doit opposer des sensibilités politiques non uniformes donc s’étalonne sur la pluralité, cela veut bien dire que le principe c’est bien la participation et non l’élimination.
Alors, on ne peut comprendre que l’Administration en charge de veiller à la régularité et à la conformité des dossiers de candidature avec les tables de la loi refuse à une liste de porter des correctifs sur celle-ci après y avoir décelé erreurs, anomalies ou inexactitudes.
Heureusement que dans un premier temps, la sagesse du Conseil Constitutionnel a permis de rectifier une erreur sur la liste départementale de Yewwi à Dakar. Voilà pourquoi, nous trouvons incompréhensible la seconde décision de ce même Conseil consistant à invalider la liste majoritaire de Yewwi Askan Wi pour doublon et celle des suppléants de Benno Book Yakaar pour nonrespect de la parité en faisant suivre deux femmes sur leur liste et non une femme et un homme sur la liste des suppléants. Ces deux faits notés par le Conseil Constitutionnel paraissent plus relever d’une erreur ou d’une méprise plutôt que d’une faute ou d’une tentative de fraude ou d’irrégularité.
Le pays a besoin d’apaisement, le pays a besoin de sérénité et de quiétude. Le déni de réalité et le refus du bon sens sont aussi toxiques que la surenchère et l’insoumission aux règles communes et à l’Autorité.
Les élections locales de Janvier dernier sont là pour nous rappeler que chaque fois que le bon sens fonde l’interprétation des lois, il n’y a de péril nulle part dans la cité. Alors peut-on imaginer une élection nationale comme celle des législatives à dix-huit mois de la prochaine présidentielle sans la participation de l’opposition la plus combative du moment et qui, certes, fait peur à de larges couches de la population mais représente tout de même une sensibilité politique réelle avec des positions souvent extrémistes ? Ce qui serait lourd de danger et périlleux pour les temps à venir serait que la politique déserte les seules enceintes (les assemblées territoriales et nationales) où elle est habilitée à s’exprimer pour être confinée dans la rue.
Dans la Rome antique, les combats des gladiateurs se déroulaient dans les arènes du Colisée tandis que les Sénateurs, eux, s’affrontaient sur le plan politique au Sénat. Deux combats, certes, mais au format et à l’expression différents. Au Colisée, la loi de la force prévalait tandis qu’au Sénat la force de la loi prédominait même si les joutes orales pouvaient faire penser à un combat de gladiateurs.
Le Président Abdou Diouf, à la suite de la présidentielle tumultueuse de Février 88, a su inventer la Table Ronde Nationale suivie d’un gouvernement de majorité présidentielle élargie ayant accouché du code électoral consensuel de 1992 pour vaincre les périls et les menaces qui pesaient sur le pays à l’époque.
Le Président Wade a eu le génie en 2000, en s’installant sur le fauteuil présidentiel, d’éviter la chasse aux sorcières et les règlements de comptes. Il a substitué la Cena à l’Onel et a rapporté la demande d’autorisation de marche pour les manifs afin d’éviter l’application de la loi du plus fort et de la justice des vainqueurs.
Le Président Macky Sall, nouveau Maître du jeu, est le seul à pouvoir nous sortir de cette impasse actuelle. Un véritable imbroglio où la raideur des postures et la vanité des ego ne contribuent qu’à faire monter la tension et la surenchère et polluer les rapports au sein de la classe politique. La violence verbale a dépassé les limites de la décence avec des accusations bêtes et méchantes comme celles du député Cheikh Abdou Bara Dolly. Le combat politique avec sa passion et ses excès ne devrait jamais dépasser les règles de bonnes manières et de civilités qui s’imposent à tout acteur de la société quelque soit son statut, son titre ou son rang.
La loi est faite pour être appliquée. Elle doit l’être dans toute sa rigueur à ceux qui d’une manière lucide et préméditée cherchent à faire mal à autrui ou à enfreindre la loi.
Le Maître du jeu n’a lui qu’une obligation : celle d’être à la hauteur de la situation en jaugeant avec pertinence les situations que traverse la société. Les excès et les bravades de l’opposition radicale et extrémiste et la rigidité dans l’interprétation par l’Administration et le Conseil Constitutionnel des lois et règlements mettent en selle le Président de la République, seul Maître du jeu.
Les élections doivent se tenir à date échue mais dans un climat serein et apaisé. Pour y parvenir, le Président Macky Sall est le seul à détenir la clé.
Mamadou Oumar NDIAYE
& Abdoulaye Bamba DIALLO
& Abdoulaye Bamba DIALLO
Post scriptum : Qu’on nous permettre d’ajouter que le péril djihadiste qui secoue le Sahel et les menaces terroristes qu’il fait peser sur notre sous-région ont été contenus jusqu’à présent.
Le Président Macky Sall qui, depuis quelques années, a mis à la disposition des forces de Défense et de Sécurité du pays des équipements et des armements de dernière génération fait sienne la vérité de Cheikh Anta DIOP. A savoir que la sécurité précède le développement.
Le préalable sécuritaire rempli et adapté au contexte sous régional a fait que la montée en gamme des différents corps d’armée de nos Diambars — à preuve par l’annonce, cette semaine même, de l’acquisition de trois patrouilleurs ultraperformants pour notre Marine — s’exprime avec efficacité dans tous les théâtres d’opération à l’intérieur comme à l’extérieur du pays (Mali, Gambie, Casamance). Les récents succès de l’Armée Nationale dans la partie Sud du Sénégal contre les derniers félons rescapés du MFDC et leurs complices infiltrés dans toutes les strates de la société sont là pour nous le rappeler.
Ainsi, la perspicacité et le pragmatisme du Président Sall lui ont permis de faire suivre le développement après avoir assuré le préalable sécuritaire. Pudc, Puma, Promovilles, TER, grands chantiers et infrastructures surgissent dans tous les endroits du territoire national.
Ainsi, dans la partie méridionale du pays des routes comme celle de la boucle du Boudié, des ponts comme ceux de Marsassoum et Emile Badiane ont été construits ou réhabilités.
Une élection pouvant nous entraîner dans le déchirement et le chaos ne vaut, donc, pas que des efforts comme tous ces investissements et réalisations opérés depuis quelques années en fassent les frais à cause de potentiels contentieux pré ou post électoraux. L’actualité de ce qui se déroule en Ukraine devrait nous servir de leçon.
23 Commentaires
Hery
En Juin, 2022 (16:54 PM)Oumar
En Juin, 2022 (17:01 PM)Rosamo
En Juin, 2022 (17:46 PM)Grands , Dessneu !
En Juin, 2022 (17:52 PM)Bientôt L'impact.
En Juin, 2022 (18:04 PM)Reply_author
En Juin, 2022 (12:58 PM)Aujourdhui c'est la presse sous le format radio mille collines qui veut brûler le pays.
Un pays ne peut pas se gérer sur des arrangements sans respecter la loi. La liste de Yewi pour le départtement de Dakar aurait pu être invalidée.
L'inflation est partout dans le monde. Comment peut-on reprocher une hausse des prix à un président qui a bloqué les prix du carburant pendant plus de 3 mois au moment où en France et aux USA les prix ont augmenté depuis longtemps.
Aujourd'hui on est entre l'amalgame et la mauvaise foi et les conséquences, s'il y'en a seront pour nous tous. Faisons attention, on ne joue pas avec un pays. Demandez aux lybiens, s'ils savaient ce qui les attendait, ils seraient beaucoup plus conciliants.
Vive le Sénégal pour tous et par tous.
Adama
En Juin, 2022 (16:55 PM)Si jamais il ya mort d'hommes dans cette manosfestation de ce 17 juin. Elle devra être poursuivie pour hommicide et trouble à l'ordre publique au sens du code pénal comme dans les pays développés.
Reply_author
En Juin, 2022 (17:05 PM)Finalement si toutefois on aime ce pays cultivons la paix ci kaw deug ( verité) et non partisaneries et interets personnels.
50 basmallah au nom du peuple surtout les veridiques .
Reply_author
En Juin, 2022 (17:36 PM)Reply_author
En Juin, 2022 (19:16 PM)123
En Juin, 2022 (17:03 PM)Le Sénégal traverse depuis quelque temps une crise politique majeure qui, si on ne fait pas attention, peut déboucher sur des lendemains sombres et incertains pour tout le pays. En effet, l’heure est grave et nous allons tout droit vers la dérive. Dès lors, nous demandonsau PDS et à la coalition Wallu Sénégal de prendre leur distance des agitations puérilesafin de se concentrer sur la préparation des élections législatives.Comme je l’ai toujours affirmé, l’opposition regroupée au sein de la coalition Yewwi Askan WI est responsable, en grande partie, de cette situation. En effet, ses responsables et mandataires ont commis la faute de n’avoir pas étés à la hauteur dans la phase de confection puis de dépôt des listes, conformément aux règles préétablies.En vérité, nous avons tous l’obligation de préserver la paix sociale et la stabilité nationale, et ce, malgré nos divergences et nos ambitions politiques. Les enjeux sécuritaires du moment ainsi que les nouvelles formes de menaces asymétriques qui ont jusque-là épargner notre pays doivent pousser chacun de nous à plus de responsabilité dans l’intérêt supérieur du Sénégal. Si les menaces sécuritaires de toute formes sont stoppés net devant nos frontières, au quotidien, c’est grâce au travail remarquable que nos vaillantes forces de sécurité et de défense. Mettons nous aussi à l’esprit que suite aux démantèlements des bases de la rébellion en Casamance, plusieurs éléments combattants sont dans la nature et n’attendent que le moment et l’occasion pour opérer.Dès lors, nous ne devons, sous aucun prétexte, accepter que le Sénégal tombe enfin à l’image des pays qui nous entourent dans une situation de crise sécuritaire. Les ambitions politiciennes de certains de nos leaders ne doivent nullement en valoir la peine. C’est pour cette raison que nous invitons la direction de notre parti, le PDS, et à la coalition Wallu Sénégal dont nous sommes membre à se démarquer des positions jusqu’au-boutistes et radicales de la coalition Yewwi Askan WI.Maintenant que nos mandataires ont signé les bons à tirer à la DGE, nous invitons les responsables de notre coalition à se concentrer sur l’électiondu 31 juillet. Continuons le montage des comités électoraux et l’animation de nos bases en attendant le démarrage de la campagne électorale.Pour terminer, nous savons que cette opposition qui donne l’impression d’être radicale n’a pas confiance à notre parti et à ses dirigeants. Et pourtant, nous avons vécu seuls dans la dignité et le courage des moments d’extrêmes difficultés, entre 2012 et 2016, sans le soutien de personnes parmi ceux-là qui s’agitent aujourd’hui.Au contraire, ils ont constamment attaqué et vilipendé notre parti et ses dirigeants avec une violence verbale sans précédent. Rappelons nous aussi qu’en 2019, lorsque la candidature du PDS à la présidentielle a été rejeté par le même conseil constitutionnel, on a été seul dans le combat.Nous pouvons pardonner, être ensemble, mais nous ne devons pas oublier.Tous aux élections ! Barrons la route à toute tentative de faire basculer le Sénégal dans la violence avec le dessein caché d’étouffer certaines affaires.Alinard NDIAYEResponsable PDSMembre de la coalition Wallu Sénégal
Adama
En Juin, 2022 (17:09 PM)Gerre Civile
En Juin, 2022 (17:38 PM)Oumou
En Juin, 2022 (17:52 PM)A écouter ces voyous, l'Etat doi ceder aux desideratas des opposants pour meriter le label de démocratie ! A écouter ces voyous , un opposant ne doit jamais répondre de ses crimes ? A écouter ces voyous , les hommes de justice sont des marionnettes du Président sauf quant ils leur donne raison!! A écouter ces voyous , ce peuple est leur otage et doit obeir là la lettre pour leur permettre d'acceder au pouvoir car ils sont les euls capables de faire son bonheur !!!
Non, demain vendredi , il ne passera tousssssss et ceux qui veulent instaurer le rapport de force l'apprendront à leurs depens .
Enfin, les élections législatives se passeront comme lettre à la poste le 31 juillet et ceux qui sont en précampagne de la Présidentielle de 2024 depuis 2019 avec leur polémique stérile sur le troisième regarderont les débats de l'Assemblée Nationale sur leur poste TV.
UN ETAT JUSTE DOIT ETRE FORT FACE AUX VOYOUS
Mohamed Ghaly Kane
En Juin, 2022 (17:49 PM)Pour ton information l'ukraine edt victime d'une agression de la Russie qui veut l'annexer.
Pour la Côte d'Ivoire le problème est la confiscation de la victoire de Ouatara par Gbagbo.
C'est différent du Sénégal où YAW reconnaissant son erreur veut contester la décision du Conseil Constitutionnel alors que celle est irrévocable.
Le plus curieux et le plus drôle c'est que YAW ne reconnaît aucune institution judiciaire du Sénégal et veut porter plainte contre le Conseil Constitutionnel.
La plainte sera déposée à la mairie de Ziguinchor ou CEDEAO
Mohamed Ghaly Kane
En Juin, 2022 (17:49 PM)Pour ton information l'ukraine edt victime d'une agression de la Russie qui veut l'annexer.
Pour la Côte d'Ivoire le problème est la confiscation de la victoire de Ouatara par Gbagbo.
C'est différent du Sénégal où YAW reconnaissant son erreur veut contester la décision du Conseil Constitutionnel alors que celle est irrévocable.
Le plus curieux et le plus drôle c'est que YAW ne reconnaît aucune institution judiciaire du Sénégal et veut porter plainte contre le Conseil Constitutionnel.
La plainte sera déposée à la mairie de Ziguinchor ou CEDEAO
Mama
En Juin, 2022 (18:02 PM)Constructifs
En Juin, 2022 (18:54 PM)Beny
En Juin, 2022 (19:09 PM)Noumadia
En Juin, 2022 (08:35 AM)Guy Kane
En Juin, 2022 (08:39 AM)Participer à la Discussion