Mieux Me El Hadji Diouf demande au Président de la République de dissoudre tout le gouvernement impuissant de régler les maux du pays. Sur un autre registre, plus précisément à propos de la cherté de courant par des factures qui connaissent chaque mois une hausse, le député demande à Me Wade d’épargner les Sénégalais à payer deux mois durant leurs factures en guise de dommages et intérêts suites aux désagréments causés par la SENELEC.
Samuel Sarr présente des "excuses" au peuple sénégalais
Le ministre sénégalais de l'Energie, Samuel Sarr, a présenté
mercredi des "excuses" au peuple sénégalais pour les coupures
d'électricité "plus qu'insupportables" qu'il subit, au cours d'une
session extraordinaire de l'Assemblée nationale, après une semaine de
protestations.
"Les ruptures plus qu'insupportables dans la distribution de l'électricité, combinées à des hausses de températures mais aussi surtout à l'appréhension des Sénégalais du mois de ramadan (qui doit débuter vers le 10 août, ndlr), justifient probablement leur colère", a déclaré le ministre.
Il s'exprimait devant les députés, durant un débat retransmis en direct par la télévision publique.
"Les difficultés techniques et financières de la Senelec (la Société nationale d'électricité, contrôlée par l'Etat), qu'elles soient structurelles ou conjoncturelles, justifient, dans la mesure où elles sont sources de rupture dans la continuité et la qualité du service, des excuses que nous présentons encore une fois au peuple sénégalais", a conclu le ministre.
Mais il a assuré que les délestages actuels étaient surtout dus à "l'utilisation accidentelle" de fuel contaminé ayant endommagé des machines et que des mesures étaient prises "pour que cela ne se reproduise plus".
Le Sénégal, qui produit l'essentiel de son électricité avec des machines fonctionnant au fuel, doit mettre en service dans les prochaines années une nouvelle centrale à charbon.
Les Sénégalais protestent depuis plus d'une semaine contre les longues et quotidiennes coupures de courant, à Dakar comme dans d'autres villes, qui pénalisent gravement l'activité économique. A Thiès (70 km de Dakar), les artisans ont ainsi appelé à ne plus payer les factures Senelec.
Une organisation de défense des droits de l'homme avait accusé dimanche la police d'avoir "battu à mort" un jeune, décédé le 14 juillet après une manifestation contre les délestages dans la banlieue de Dakar. Le ministère de l'Intérieur a démenti mardi cette accusation, en promettant une enquête.
"Les ruptures plus qu'insupportables dans la distribution de l'électricité, combinées à des hausses de températures mais aussi surtout à l'appréhension des Sénégalais du mois de ramadan (qui doit débuter vers le 10 août, ndlr), justifient probablement leur colère", a déclaré le ministre.
Il s'exprimait devant les députés, durant un débat retransmis en direct par la télévision publique.
"Les difficultés techniques et financières de la Senelec (la Société nationale d'électricité, contrôlée par l'Etat), qu'elles soient structurelles ou conjoncturelles, justifient, dans la mesure où elles sont sources de rupture dans la continuité et la qualité du service, des excuses que nous présentons encore une fois au peuple sénégalais", a conclu le ministre.
Mais il a assuré que les délestages actuels étaient surtout dus à "l'utilisation accidentelle" de fuel contaminé ayant endommagé des machines et que des mesures étaient prises "pour que cela ne se reproduise plus".
Le Sénégal, qui produit l'essentiel de son électricité avec des machines fonctionnant au fuel, doit mettre en service dans les prochaines années une nouvelle centrale à charbon.
Les Sénégalais protestent depuis plus d'une semaine contre les longues et quotidiennes coupures de courant, à Dakar comme dans d'autres villes, qui pénalisent gravement l'activité économique. A Thiès (70 km de Dakar), les artisans ont ainsi appelé à ne plus payer les factures Senelec.
Une organisation de défense des droits de l'homme avait accusé dimanche la police d'avoir "battu à mort" un jeune, décédé le 14 juillet après une manifestation contre les délestages dans la banlieue de Dakar. Le ministère de l'Intérieur a démenti mardi cette accusation, en promettant une enquête.
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