Une histoire de vol agite Liberté 4 où un père de famille a porté plainte contre son fils adoptif, J. A. B. Ndiaye, agent municipal âgé de 25 ans.
Selon l’accusation, ce dernier, de nature belliqueuse, mène la vie dure à la famille. «J. A. B. Ndiaye a l’habitude de dérober des affaires à la maison pour les vendre», accuse le plaignant. Repris par L’Observateur, le père de famille révèle que pour son dernier coup, le mis en cause n’a rien trouvé de mieux à faire que voler une chaise roulante qu’il a vendue à 4 000 F CFA, pour assurer sa consommation d’alcool. La victime n’est autre que son fils biologique O. Ndiaye qui est en situation de handicap, souligne le père de famille.
L’agent municipal a été arrêté par la police de Dieuppeul, suite à la plainte déposée contre lui, le 20 juin dernier, renseigne le journal. Celui-ci précise toutefois que les enquêteurs ont dû attendre que le mis en cause, interpellé en état d’ébriété, retrouve sa lucidité pour l’interroger.
« Il a reconnu sans ambages les faits qui lui sont reprochés, expliquant avoir trouvé la chaise, tôt le matin, dans la cour de la maison. C’est là qu’il a eu l’idée de la vendre pour satisfaire ses besoins personnels», relate la source.
J. A. B. Ndiaye a été déféré au terme de la durée légale de sa garde à vue.
Selon l’accusation, ce dernier, de nature belliqueuse, mène la vie dure à la famille. «J. A. B. Ndiaye a l’habitude de dérober des affaires à la maison pour les vendre», accuse le plaignant. Repris par L’Observateur, le père de famille révèle que pour son dernier coup, le mis en cause n’a rien trouvé de mieux à faire que voler une chaise roulante qu’il a vendue à 4 000 F CFA, pour assurer sa consommation d’alcool. La victime n’est autre que son fils biologique O. Ndiaye qui est en situation de handicap, souligne le père de famille.
L’agent municipal a été arrêté par la police de Dieuppeul, suite à la plainte déposée contre lui, le 20 juin dernier, renseigne le journal. Celui-ci précise toutefois que les enquêteurs ont dû attendre que le mis en cause, interpellé en état d’ébriété, retrouve sa lucidité pour l’interroger.
« Il a reconnu sans ambages les faits qui lui sont reprochés, expliquant avoir trouvé la chaise, tôt le matin, dans la cour de la maison. C’est là qu’il a eu l’idée de la vendre pour satisfaire ses besoins personnels», relate la source.
J. A. B. Ndiaye a été déféré au terme de la durée légale de sa garde à vue.
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