Les technologies de l’information et de la communication (TIC) sont au cœur du développement de l’enseignement supérieur et de la recherche. Ceci, pour permettre d'améliorer l’accès à l’enseignement supérieur et à l’efficacité du système.
Avec près de 50 000 étudiants, l’Université virtuelle du Sénégal (UVS) et ses espaces numériques ouverts (ENO) est la deuxième université publique du pays.
"Il faut souligner que toutes les universités publiques de notre pays sont interconnectées à Internet, que des réseaux wifi ont été déployés sur les campus pédagogiques et dans les campus sociaux, et que toutes les universités ont été dotées d’équipements pour la production de cours en ligne du projet Smart Sénégal mis en œuvre par l’ADIE, avec l’appui de Huawei", a affirmé le Pr. Olivier Sagna, Directeur des études et de la coopération (DEC) de la Direction générale de l'Enseignement supérieur (DGES) du MESRI. C'etait lors de la cérémonie de Remise de prix de Huawei ICT Competition Sénégal 2021.
Il se félicite qu'aujourd'hui, toutes les universités publiques, l'École polytechnique de Thiès et l'Institut supérieur d’enseignement professionnel (ISEP) disposent, sous une forme ou sous une autre, d’une structure en charge de concevoir, produire et mettre en ligne des ressources pédagogiques destinées aux étudiants, dans le cadre de formations à distance ou de formations hybrides.
Grâce aux différents dispositifs mis en place par l'État avec la survenue de la pandémie de la Covid-19, les cours pédagogiques ont pu être poursuivis. Ce qui a permis d'obtenir un résultat fort appréciable faisant en sorte que l’année universitaire 2019-2020 ne soit pas perdue.
"Toujours dans cette dynamique, le Sénégal a réceptionné un supercalculateur de dernière génération qui, avec une puissance d'environ 320 TeraFlops et une capacité de stockage intégrée de 21 TeraOctets, est le plus puissant au sud du Sahara, en dehors de l’Afrique du Sud", a soutenu le Pr. Sagna.
Selon le professeur, avec le numérique - par excellence un secteur innovant - les étudiants pourraient y trouver leur compte, comme s’ils étaient salariés dans une entreprise.
Avec près de 50 000 étudiants, l’Université virtuelle du Sénégal (UVS) et ses espaces numériques ouverts (ENO) est la deuxième université publique du pays.
"Il faut souligner que toutes les universités publiques de notre pays sont interconnectées à Internet, que des réseaux wifi ont été déployés sur les campus pédagogiques et dans les campus sociaux, et que toutes les universités ont été dotées d’équipements pour la production de cours en ligne du projet Smart Sénégal mis en œuvre par l’ADIE, avec l’appui de Huawei", a affirmé le Pr. Olivier Sagna, Directeur des études et de la coopération (DEC) de la Direction générale de l'Enseignement supérieur (DGES) du MESRI. C'etait lors de la cérémonie de Remise de prix de Huawei ICT Competition Sénégal 2021.
Il se félicite qu'aujourd'hui, toutes les universités publiques, l'École polytechnique de Thiès et l'Institut supérieur d’enseignement professionnel (ISEP) disposent, sous une forme ou sous une autre, d’une structure en charge de concevoir, produire et mettre en ligne des ressources pédagogiques destinées aux étudiants, dans le cadre de formations à distance ou de formations hybrides.
Grâce aux différents dispositifs mis en place par l'État avec la survenue de la pandémie de la Covid-19, les cours pédagogiques ont pu être poursuivis. Ce qui a permis d'obtenir un résultat fort appréciable faisant en sorte que l’année universitaire 2019-2020 ne soit pas perdue.
"Toujours dans cette dynamique, le Sénégal a réceptionné un supercalculateur de dernière génération qui, avec une puissance d'environ 320 TeraFlops et une capacité de stockage intégrée de 21 TeraOctets, est le plus puissant au sud du Sahara, en dehors de l’Afrique du Sud", a soutenu le Pr. Sagna.
Selon le professeur, avec le numérique - par excellence un secteur innovant - les étudiants pourraient y trouver leur compte, comme s’ils étaient salariés dans une entreprise.
5 Commentaires
Nope
En Décembre, 2021 (21:26 PM)Reply_author
En Décembre, 2021 (00:29 AM)La coopération sud sud est capitale pour apprivoiser localement et le mettre à la disposition des enfants écoliers et étudiants le Web sans que l'aspect pécuniaire soit un facteur bloquant. La plus part de nos enfants sont les premiers de générations de leurs parents à aller à l'école et souvent l'argent fait défaut et même le bourse defois serve à aider la mère au village. Les apports du net sont incontournables et décisifs à la bonne acquisition du savoir. Le première sacerdoce d'un l'état dans ce cas est de rendre disponible et accessible à tous l'internet dans les campus pour l'égalité de tous envers l'apprentissage du savoir pour que seule la valeur intreseque et l'effort fourni aux études les différencie. Nos remerciements vont à l'endroit de son EXCELLENCE LE PRESIDENT DE LA République. Mettre à la disposition du web à tous les apprenant du pays est un grand geste de patriotisme qui va déterminer l'avenir des générations d'enfants de ce pays. Pour Moi tous ce qui contribue à notre indépendance numérique est au delà de la politique au même titre que les combats des indépendances d'alors
Reply_author
En Décembre, 2021 (00:39 AM)Interconnectés
En Décembre, 2021 (23:38 PM)Internet est le réseau des réseaux. On s'y connecte. On peut aussi dire que l'on s'interconnecte via Internet, autrement dit les universités sont interconnectées par Internet.
Les TeraFlops ne serviront à rien sans développeurs spécialisés sur le calcul à haute performance. Commençons par mettre en place toutes les couches éducatives et des filières adaptées...