-ABIDJAN-Les
difficultés de la Côte d’Ivoire en termes d’inflation résident dans le franc
CFA, a déclaré vendredi à Abidjan M. Jean-Louis Billon ministre ivoirien
du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME. « Comme toute
monnaie, le franc CFA est perfectible. Alors si on peut l'améliorer il faut le
faire. Car, indexé à l'euro, le franc CFA est trop fort. Il faut donc une
flexibilité » a fait remarquer M. Billon qui présentait à la presse ses
‘’actions’’ et ses ‘’résultats’’ à la tête du département ministériel qu’il
occupe depuis novembre 2012. Le franc CFA (Communauté Financière d'Afrique) est
le nom de deux monnaies communes à plusieurs pays d'Afrique constituant en
partie la zone franc d'Afrique centrale (CEMAC) et la zone franc d'Afrique de
l'Ouest (UEMOA).
-DAKAR-Les
taux d'intérêt débiteur des banques de l’Union économique et monétaire ouest
africaine (UEMOA) ont connu une légère hausse à la fin du mois de juillet 2014
comparé au mois de juin de la même année, selon la Banque centrale des Etats de
l’Afrique de l’Ouest (BCEAO). Dans son enquête sur les conditions de banque
dans l'UEMOA, la BCEAO note que « le taux d'intérêt débiteur moyen, calculé
hors charges et taxes, est passé de 7,26% en juin 2014 à 7,80% au cours du mois
sous revue, soit une augmentation de 54 points de base ». Quant au taux
moyen de rémunération des dépôts de la clientèle, il est ressorti à 5,53 %
contre 5,50% au mois de juin, soit une baisse de 0,3 point de pourcentage.
La
moyenne des soumissions hebdomadaires sur le marché des adjudications de la
BCEAO est passée de 1. 234,9 milliards FCFA en juin 2014 à 1.188,0 milliards en
juillet 2014 (moins 3,8%). De son coté, le taux moyen pondéré sur le guichet
hebdomadaire est ressorti, en moyenne mensuelle, à 2,53%, quasi stable par
rapport à son niveau de 2,54% du mois de juin.
Concernant l'évolution du marché interbancaire de l'UEMOA, il a été marquée, en
juillet 2014, par une contraction du volume des transactions et une hausse des
taux d'intérêt. C'est ainsi que le volume moyen hebdomadaire des opérations
interbancaires, toutes
maturités confondues, s'est établi à 83,2 milliards FCFA contre 93 milliards
FCFA en juin 2014. Le taux moyen pondéré des opérations est ressorti à
4,35% en juillet 2014, en hausse de 2 points de base par rapport à juin 2014.
Sur le marché à une semaine par contre, le volume des opérations a baissé de
10,6 milliards, pour s'établir à 33,8 milliards.
Le taux d'intérêt moyen à une semaine est ressorti à 3,37%, en baisse de 33
points de base par rapport au mois précédent.
-ABIDJAN-La
Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM, basée à Abidjan) a clôturé sa
séance du vendredi 26 septembre 2014 en baisse par rapport à la séance précédente.
L’indice BRVM 10 est passé de 273,72 à 273,11 points, soit un repli de 0,22%.
L’indice BRVM Composite, pour sa part, a cédé 0,11% à 257,05 points contre
257,34 précédemment.
La
valeur des transactions s’est établie à 693,49 millions de FCFA contre 1,47
milliard de FCFA, jeudi. La capitalisation boursière du marché des actions se
chiffre à 6 247,56 milliards de FCFA. Celle du marché obligataire s’élève à 1
211,62 milliards de FCFA. Le titre le plus actif en volume est Ecobank
Transnational Incorporated TG avec 234 532 actions
échangées.
Le titre le plus actif en valeur est CIE CI avec 296,24 millions de FCFA de
transactions.
-DAKAR-Les
performances économiques réalisées par le Sénégal en mi 2014 sont
satisfaisantes, a déclaré vendredi à Dakar, lors d’une conférence de presse, le
nouveau Représentant résident du Fonds monétaire international (FMI) au
Sénégal.
Ali
Mansoor rendait compte de la mission du FMI qu'il a dirigée au Sénégal du 16 au
26 septembre 2014 dans des consultations du Fonds avec les Etats membres et de
l'Instrument de soutien à la politique économique (ISPE) approuvé en décembre
2010.
« L'activité économique s'est accélérée durant cette période tandis que
l'inflation demeure faible », a relevé M. Mansoor, ajoutant que
l'exécution budgétaire est satisfaisante avec des recettes dépassant le
programme.
Il s'est dit en phase avec le gouvernement sénégalais qui a décidé de contrôler
les dépenses courantes pour dégager des ressources pour les investissements. De
l'avis toujours du représentant résident du FMI ‘'la bonne performance des
recettes combinée avec une sous-exécution des dépenses a permis d'enregistrer
un déficit budgétaire plus faible que programmé durant la première moitié de
l'année 2014''. Il a cependant déploré l'installation tardive de l'hivernage et
le ralentissement anticipé de l'activité touristique qui pourraient avoir des
impacts négatifs sur le taux de croissance du pays projeté par le FMI à 4,5% en
2014, légèrement en-dessous de la projection initiale.
-CHICAGO-Les cours du maïs, du blé et du soja ont une nouvelle
fois poursuivi leur chute cette semaine vers de nouveaux nadirs depuis 2010,
les moissons aux Etats-Unis laissant anticiper des récoltes encore plus
importantes que prévu. "Les premières
nouvelles sur les rendements des récoltes de maïs laissent anticiper des
moyennes de rendement gigantesques à l'échelle nationale", a remarqué Paul
Georgy, de la maison de courtage Allendale. Il en allait de même pour le soja.
"On est tout juste en train de voir les
moissons de soja et de maïs rentrer dans leur période la plus intense et l'on
entend sur le terrain que l'offre promet d'être très, très bonne", a noté
Dewey Strickler, de AG Watch Advisors.
Dans ces conditions, le marché tablait "sur
une nouvelle révision en hausse le mois prochain des estimations de récoltes
aux Etats-Unis" pour ces deux produits agricoles, a-t-il poursuivi.
Or, dans son rapport mensuel sur l'offre et la
demande de produits agricoles dans le monde (Wasde) début septembre, le
département américain de l'Agriculture (USDA) avait déjà augmenté ses
prévisions. Selon le ministère, les deux cultures les plus importantes aux
Etats-Unis, devaient atteindre des niveaux jamais vus auparavant, à
respectivement 366 millions et 106,5 millions de tonnes.
"Il se pourrait que ce soit encore
plus", a insisté M. Strickler. Or,
"une très forte hausse du dollar qui enchaîne les semaines de progression
accentue la pression sur les matières premières", a relevé de son côté Mike
Zuzolo, de Global Commodity Analytics and Consulting. L'indice du dollar ou "dollar index"
évoluait en effet à des niveaux plus atteints depuis 4 ans, notamment portés
par des attentes de resserrement de la politique monétaire américaine et par
des craintes sur l'économie mondiale, en particulier en zone euro, qui pesaient
sur ses rivales. Un billet vert plus fort
rend moins accessible les achats de matières premières libellées dans cette
monnaie pour les acheteurs munis d'autres devises. "La demande en produits agricoles américains
montre pourtant des signes de reprises, à ces niveaux très bas de prix", a
ajouté M. Zuzolo, notamment pour le soja, "ce qui pourrait permettre
d'amorcer un petit rebond des cours".
Le boisseau de maïs (environ 25 kg) pour livraison
en décembre 2014, le plus échangé actuellement sur le marché, évoluait vendredi
à 3,2425 dollars contre 3,3150 dollars vendredi dernier, à son plus bas en
séance depuis juillet 2010.
Le boisseau de blé pour livraison en décembre,
le contrat le plus actif en ce moment, cotait à 4,7300 dollars contre 4,7450
dollars en fin de semaine dernière, évoluant à des niveaux plus vus depuis
juillet 2010.
Le boisseau de soja pour livraison en novembre,
le plus coté, a fini à dollars contre 9,5700 dollars vendredi dernier, à des
seuils inconnus depuis février 2010.
-NEW YORK- Les prix du pétrole ont terminé en hausse à New York
vendredi, encouragés par la révision en hausse de chiffres sur la croissance
américaine, sur fond de vives tensions au Moyen-Orient. Le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en novembre a gagné
1,01 dollar, à 93,54 dollars, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
En dépit de quelques ajustements sur leur
portefeuille à l'orée du week-end, les investisseurs ont été encouragés aux
Etats-Unis par la révision en hausse de la croissance américaine au deuxième
trimestre et la confiance solide des consommateurs américains, a relevé Tim
Evans, de Citi Futures.
Comme attendu par les
économistes, la croissance du Produit intérieur brut (PIB) aux États-Unis au
deuxième trimestre a été relevée à la hausse de 4,2% à 4,6%. Il avait reculé de
2,1% au premier trimestre, accusant la plus forte contraction en cinq ans pour
la première économie mondiale. Or, une
économie américaine vigoureuse laisse anticiper de bonnes perspectives de
demande en brut au sein du premier consommateur d'or noir de la planète.
Le moral des ménages américains a légèrement
progressé en septembre par rapport à août, selon une deuxième estimation
publiée vendredi par l'Université du Michigan, mais sa hausse a quelque peu
déçu les attentes plus élevées des analystes.
En outre, le WTI est resté aidé par la forte
baisse des réserves aux Etats-Unis cette semaine, révélée mercredi par le
Département américain de l'Energie (DoE), a souligné John Kilduff, de Again
Capital.
Les vives tensions géopolitiques au
Moyen-Orient, après de nouvelles frappes américaines et de ses alliés arabes,
sur des positions des jihadistes en Syrie, notamment sur des raffineries,
continuaient aussi à apporter du soutien.
Des militants islamistes ont ainsi indiqué
vendredi que le pompage dans les six champs pétroliers contrôlés par le groupe
État islamique (EI) à Deir Ezzor, dans l'est de la Syrie, a été stoppé par peur
des frappes américaines.
Mais l'abondance de l'offre mondiale
n'apparaissait pas remise en cause, loin de là.
-NEW YORK- Wall Street évoluait en légère hausse vendredi à la
mi-séance, tentant de panser ses plaies après un plongeon la veille, encouragée
par la croissance américaine et de bons résultats d'entreprises: le Dow Jones
prenait 0,35% et le Nasdaq 0,31%. Vers 16H00
GMT, le Dow Jones s'adjugeait 58,76 points à 17'004,56 points et le Nasdaq
13,96 points à 4480,71 points. L'indice
élargi S&P 500 prenait 0,19%, soit 3,82 points, à 1969,81 points.
"Le marché sort un peu la tête de l'eau et
tente de se remettre après les coups qui lui ont été assénés" jeudi, a
noté Michael James, de Wedbush Securities.
La Bourse de New York avait été plombée
notamment par des craintes accrues sur les tensions au Proche-Orient et dans la
crise ukrainienne et sur la politique monétaire américaine. "Et ces craintes n'ont pas disparues. Elles
continuent à peser", a insisté M. James.
Les investisseurs trouvaient toutefois du
soutien dans la révision en hausse, attendue mais de bon augure, du rythme de
la croissance américaine au deuxième trimestre. Le produit intérieur brut (PIB) américain a ainsi affiché une
progression de 4,6% en rythme annualisé d'avril à juin, selon une troisième
estimation du département du Commerce publiée vendredi. Il avait reculé de 2,1%
au premier trimestre, accusant la plus forte contraction en cinq ans pour la
première économie mondiale.
Les courtiers digéraient aussi l'annonce de la
légère progression du moral des ménages américains en septembre par rapport à
août, qui a toutefois quelque peu déçu les attentes plus élevées des analystes,
selon la deuxième estimation de l'Université du Michigan publiée vendredi.
-LONDRES- La Bourse de Londres de Londres sera dominée la semaine
prochaine par les publications macro-économiques, qui permettront d'avoir une
idée plus précise de la santé de l'économie britannique. Durant la semaine
écoulée, l'indice FTSE-100 des principales valeurs a chuté de 2,76% pour
terminer vendredi à 6649,39 points. La troisième
et dernière estimation du produit intérieur brut (PIB) du deuxième trimestre
est attendue mardi et devrait confirmer un bon niveau de croissance à 0,8%.
Mais cette publication devrait également s'accompagner d'une révision des
données depuis 2013 par l'Office des statistiques nationales (ONS).
"Il pourrait bien y avoir des révisions à
la hausse", estime Howard Archer, économiste du cabinet IHS. Le Comité de politique financière de la Banque
d'Angleterre doit également publier jeudi un communiqué portant sur sa dernière
réunion. Celle de juin s'était traduite
par des mesures pour éviter une surchauffe du marché immobilier. Mais "le
marché a depuis perdu de son élan", si bien que "nous ne nous
attendons pas à ce que le Comité prenne des mesures supplémentaires",
jugent les économistes de HSBC.
Pour le Royaume-Uni, les indices PMI dans le
secteur manufacturier (mercredi) et des services (vendredi) sont également
attendus. A noter également que malgré le début d'un congé en Chine mercredi,
les indices PMI officiels sont attendus aussi mercredi et vendredi dans
l'Empire du milieu, alors que les marchés craignent toujours un ralentissement
significatif de la croissance chinoise. Cela risque encore de peser sur les
nombreuses sociétés minières cotées à Londres. Dans le zone euro voisine, la décision de la Banque centrale européenne
(BCE) jeudi et la conférence de presse de son gouverneur Mario Draghi seront
suivies de près. Aux Etats-Unis, ce seront les chiffres du chômage et de
l'emploi de septembre, attendus vendredi, qui domineront.
-PARIS- Les Bourses européennes, dans leur ensemble, sauf
Francfort, ont profité vendredi du regain d'optimisme à Wall Street, dans le
sillage de la révision en hausse de chiffres sur la croissance américaine. La croissance américaine au deuxième trimestre a
confirmé son net rebond après la contraction de l'hiver: le produit intérieur
brut (PIB) a ainsi affiché une progression de 4,6% en rythme annualisé d'avril
à juin, selon une troisième estimation du département du Commerce.
"Cette semaine, cela a été un marché
girouette sans réelle tendance", estime Renaud Murail, un gérant de
Barclays Bourse. Retour de la volatilité,
début de consolidation à Wall Street: la question est de savoir si le marché
américain "est entré dans une phase de consolidation un peu plus forte que
ce qu'on a pu voir depuis deux ans", avance M. Murail.
L'Eurostoxx a gagné 0,54%.
La Bourse de Paris a rebondi franchement
(+0,91%) au lendemain d'un net repli.
Le CAC 40 a pris 39,47 points à 4.394,75
points, dans un volume d'échanges faible de 2,9 milliards d'euros. Parmi les valeurs, Air France-KLM a perdu 1,73% à 7,49
euros au douzième jour de la grève des pilotes. Si le projet Transavia Europe
est enterré, de difficiles négociations devaient se poursuivre entre la
direction et les pilotes.
ADP a terminé stable (-0,06% à 95,63 euros).
Bouygues a à peine fléchi (-0,16% à 25,66
euros), alors que l'Autorité de la concurrence a refusé de suspendre
immédiatement l'accord de mutualisation d'antennes et de réseaux conclu entre
SFR et Bouygues Telecom. Les valeurs
bancaires ont soutenu le marché à l'image de BNP Paribas (+0,32% à 52,83
euros), Société Générale (+0,47% à 40,67 euros) et Crédit Agricole (+1,15% à
11,89 euros).
La Bourse de Londres a terminé en hausse de
0,15%, l'indice FTSE-100 des principales valeurs grimpant de 9,68 points à
6649,39 points. Pour les banques,
Lloyds a gagné 0,60% à 76,66 pence, Royal Bank of Scotland 0,30% à 362,5 pence
et Barclays 0,04% à 227,75 pence. Les
compagnies aériennes ont aussi été bien orientées: EasyJet a pris 3,19% à 1.393
pence et IAG (maison-mère de British Airways et Iberia) 1,51% à 370,7 pence.
Elles ont bénéficié de l'optimisme affiché par leur concurrente Ryanair qui
table sur un résultat annuel dans la fourchette haute de ses prévisions.
Le secteur de la distribution a en revanche
continué de subir les conséquences de la crise de Tesco: Sainsbury a dévissé de
3,06% à 250,1 pence et Morrison de 1,78% à 171 pence. Tesco a pour sa part
encore reculé de 0,49% à 191,55 pence.
A
contre-courant des autres places européennes, la Bourse de Francfort a fini en
recul, pénalisée par le retentissement sur Allianz des turbulences au sein de
sa filiale américaine Pimco.
L'indice vedette Dax a encore cédé 0,20%, finissant à
9490,55 points. Le Mdax des valeurs moyennes a quant à lui grignoté 0,13%. Allianz (-6,18% à 128,20 euros), a dégringolé, juste
après l'annonce de la démission du Bill Gross, légende de la finance, patron de
sa filiale américaine, le fonds d'investissement Pimco. Adidas (-1,21 % à 60,54 euros) n'a guère profité des
bénéfices supérieurs aux attentes annoncés par son rival, l'américain Nike.
Les grands animateurs du début de semaine, SAP
(+0,95% à 57,31 euros), Siemens (+0,69% à 93,91 euros) et Merck KgAA (+0,70% à
73,30 euros) sont restés dans le vert après avoir annoncé respectivement le
rachat des américains Concur, Dresser-Rand et Sigma-Aldrich.
Lufthansa (+0,24% à 12,65 euros) a terminé en
hausse malgré les inquiétudes sur une possible grève de ses pilotes.
Milan a fini en hausse, l'indice FTSE Mib
gagnant 1,88% à 20'795 points.
Le site de prêt-à-porter en ligne Yoox a
fait figure de moteur, prenant 6,09% à 17,93 euros, alors que la semaine de la
mode parisienne bat son plein.
Parmi les valeurs ayant profité de la séance,
deux banques: Ubi Banca (+4,85% à 6,48 euros) et Banca Popolare (+4,18% à 11,47
euros). A l'inverse, le fabricant italien
de pneus Pirelli a chuté, perdant 0,64% à 10,90 euros.
L'indice AEX de la Bourse d'Amsterdam a
clôturé en hausse de 0,30% à 418,49 points.
La hausse la plus importante a été
enregistrée par le groupe de télécoms KPN, qui a gagné 2,39% à 2,49 euros. A la
baisse, le numéro un mondial de la peinture Akzo Nobel a cédé 1,85% à 54,09
euros.
Madrid a fini dans le vert, après que le
gouvernement a relevé ses prévisions de croissance pour 2014 et 2015.
L'Ibex 35 a pris 0,63% à 10'851,4 points.
Parmi les plus fortes hausses, la banque Caixabank a gagné 1,52% à 4,88 euros.
Le numéro un mondial de la réservation de voyages, Amadeus, a gagné 1,16% à
28,77 euros
Bruxelles a progressé de 0,30%, terminant à
3206,49 points.
Après avoir lâché près de 3% la veille, le
câblo-opérateur Telenet a rebondi de 5,17% à 45,53 euros. Le groupe Cofinimmo
(immobilier) a lui gagné 2,17% à 89,34 euros et l'assureur Ageas 1,53% à 26,26
euros.
A l'autre bout de l'indice, bpost a reculé de
2,69% à 18,67 euros et le groupe métallurgique Bekaert de 1,87% à 26,22 euros.
La Bourse suisse a terminé la semaine sur une
hausse symbolique, l'indice SMI progressant de 0,10% à 8781,27 points.
Transocean, l'opérateur de plateformes
pétrolières, a gagné 2,51% à 31,41 francs suisses.
UBS s'est également inscrit en hausse de 0,84% à
16,73 francs suisses imité par Crédit Suisse (+1,35% à 26,33 CHF).
La banque Julius Baer a également gagné 1,17% à
42,23 francs suisses.
Dans le luxe, Richemont, dont la marque Cartier
a annoncé la mise en chômage partiel de 230 employés d'un site horloger, a
perdu 1,53% à 80,35 francs suisses.
Lisbonne gagné 0,67% à 5.717,68 points, tirée
par les banques et Portugal Telecom.
La banque BPI a gagné 1,90% à 1,66 euro et
sa concurrente BCP 0,98% à 0,10 euro.
L'opérateur historique Portugal Telecom s'est
apprécié de 2,05% à 1,69 euro, alors que son concurrent NOS a reculé de 0,17% à
4,72 euros.
2 Commentaires
Chou
En Septembre, 2014 (22:49 PM)Hm1
En Septembre, 2014 (09:19 AM)Participer à la Discussion