-ABIDJAN-La
Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) a clôturé sa séance du vendredi
29 août 2014 en baisse par rapport à la séance précédente. L’indice BRVM 10 est
passé de 261,66 à 260,70 points, soit une baisse de 0,37%. L’indice BRVM
Composite, pour sa part, a cédé 0,36% à 246,52 points contre 247,41
précédemment. La valeur des transactions s’est établie à 440,90 millions de
FCFA contre 309,48 millions de FCFA, jeudi. La capitalisation boursière du
marché des actions se chiffre à 5985,51 milliards de FCFA. Celle du marché
obligataire s’élève à 1 263,64 milliards de FCFA. Le titre le plus actif en
volume est Ecobank Transnational Incorporated TG avec 425 312 actions
échangées. Le titre le plus actif en valeur est SGB CI avec 194,87 millions de
FCFA de transactions.
-NEW YORK-Les
cours du coton échangé à New York se sont stabilisés cette semaine, toujours
sous la pression d'une offre abondante dans le monde, notamment aux Etats-Unis.
Les prix de la fibre blanche, en net recul depuis mai, étaient parvenus à se
reprendre un peu la semaine dernière. Mais depuis, "ils évoluent peu, les
courtiers profitant de chaque rebond pour engranger quelques profits", a
souligné John Flanagan, de Flanagan Trading. "La production mondiale de
coton est très élevée", a-t-il rappelé. Et même si des conditions un peu
trop sèches dans certaines zones importantes de culture aux Etats-Unis ont fait
naître quelques craintes sur la récolte, "cela ne devrait pas beaucoup
impacter la production" dans le pays, a relevé John Flanagan.
Le département américain de l'Agriculture anticipe que la moisson à venir sera
la plus importante en quatre ans.
Mais dans le même temps, "même si on commence à voir cueillir du coton
dans le sud du Texas et dans une certaine mesure en Arizona, les agriculteurs
semblent réticents à vendre leur produit aux niveaux actuels du marché et
attendent de meilleurs prix", ont avancé les analystes de Plexus Cotton.
La livre de coton coté à New York pour livraison en décembre, la plus échangée
actuellement sur l'IntercontinentalExchange (ICE), évoluait en cours de séance
à 66,10 cents, contre 66,18 cents en fin de semaine dernière.
L'indice Cotlook A, moyenne quotidienne des cinq prix du coton les plus faibles
sur le marché physique dans les ports d'Orient, s'échangeait à 75,30 dollars
les 100 livres contre 74,90 dollars vendredi dernier.
-LONDRES-
L'or et les autres métaux précieux ont progressé cette semaine, les
investisseurs privilégiant les valeurs sûres dans un contexte de tensions
accrues entre les Occidentaux et la Russie à propos de l'Ukraine. "Dans le
contexte de l'aggravation de la situation entre la Russie et l'Ukraine, les
métaux précieux ont été demandés en tant que valeur refuge", ont expliqué
les analystes de Commerzbank. La situation s'est nettement dégradée jeudi,
après des informations faisant état de l'incursion de troupes russes dans l'est
séparatiste de l'Ukraine. L'or est d'ailleurs remonté ce jour-là jusqu'à
1296,65 USD l'once, son plus haut niveau en une semaine, tandis que l'argent a
atteint 19,90 USD l'once, son maximum en 15 jours. Les métaux précieux ont
réussi à progresser "malgré un environnement relativement négatif"
marqué par un dollar au plus haut depuis près d'un an face à l'euro (à 1,3153
USD), ont remarqué les économistes de Commerzbank. La semaine dernière, les
métaux précieux n'avaient pas résisté à la hausse du dollar, qui rend les
matières premières libellées dans la monnaie américaine plus coûteuse pour les
investisseurs munis d'autres devises. En début de semaine, l'argent a
d'ailleurs continué de perdre du terrain, tombant mardi à son plus bas niveau
depuis mi-juin, à 19,26 USD l'once. De son côté, après avoir souffert de la
hausse du USD et de prises de bénéfices la semaine dernière, le palladium s'est
redressé cette semaine, retrouvant des niveaux proches de son plus haut en 13
ans atteint le 18 août (à 901,45 USD l'once).
Ce métal précieux utilisé dans l'industrie automobile et la joaillerie est
porté par différents facteurs, dont des craintes sur l'offre après une grève de
cinq mois en Afrique du Sud (deuxième producteur mondial) et les tensions avec
la Russie (premier producteur mondial). Sur le London Bullion Market, l'once
d'or a terminé à 1285,75 USD vendredi au fixing du soir, contre 1277,25 USD le
vendredi précédent. L'once d'argent a clôturé à 19,47 USD, contre 19,49 USD il
y a sept jours. Sur le London Platinum and Palladium Market, l'once de platine
a fini à 1424 USD, contre 1416 USD sept jours plus tôt. L'once de palladium a
terminé pour sa part à 898 USD, contre 883 USD à la fin de la semaine
précédente.
-NEW
YORK-Wall
Street a terminé dans le vert vendredi et emmené le S&P 500 à un nouveau
record, à l'issue d'une séance hésitante avant un week-end prolongé et après
une salve de statistiques contrastées, sur fond de turbulences géopolitiques.
Selon des résultats définitifs, le Dow Jones a gagné 0,11% ou 18,88 points à
17.098,45 points et le Nasdaq 0,50% ou 22,58 points à 4.580,27 points. L'indice
élargi S&P 500 s'est adjugé 0,33%, ou 6,63 points, pour atteindre 2.003,37
points, un niveau jamais atteint auparavant. Il met ainsi fin en beauté à son
meilleur mois d'août depuis 2000. Comme depuis le début de la semaine,
l'activité est pourtant restée limitée sur le marché, a souligné David Levy de
Kenjol Capital Management. Les investisseurs voulaient juste tout mettre en
ordre avant la fin du mois et le week-end prolongé, lundi étant férié aux
Etats-Unis, a-t-il relevé. Les indices sont quand même parvenus à engranger de
nouveaux gains à la faveur de publications qui restent dans l'ensemble solides
pour l'économie américaine, surtout comparées aux autres économies dans le
monde, a avancé Peter Cardillo de Rockwell Global Capital. Le moral des ménages
américains a ainsi rebondi plus que prévu en août, selon l'indicateur établi
par l'Université du Michigan, et l'activité économique de la région de Chicago
a connu un fort rebond sur la même période, selon l'association professionnelle
ISM. Petite ombre au tableau, les dépenses des ménages aux États-Unis se sont
repliées en juillet pour la première fois depuis six mois, de 0,1%, et le
revenu des consommateurs a fait grise mine en n'augmentant que de 0,2% en
juillet, marquant une nette décélération par rapport aux +0,5% enregistrés en
juin. Mais on ne peut pas s'arrêter à une seule donnée, a souligné David Levy.
Dans l'ensemble ces derniers temps, les indicateurs pointent vers une
croissance soutenue aux Etats-Unis. Dans le même temps de l'autre côté de
l'Atlantique, les nouvelles sont beaucoup moins encourageantes entre un chômage
qui s'est maintenu en juillet au niveau très élevé de 11,5% dans la zone euro,
et surtout un nouveau ralentissement de l'inflation en août, à +0,3%.
-LONDRES- Le
marché mondial du cacao affichera finalement un surplus d'offre à la fin de la
saison actuelle 2013/14, qui se termine fin septembre, selon la troisième
estimation de l'Organisation internationale du cacao (ICCO) publiée vendredi.
L'organisation table désormais sur un excédent d'offre de 40'000 tonnes de
fèves brunes, contre un déficit de 75'000 tonnes lors de sa deuxième estimation
et un manque à gagner de 115'000 tonnes lors de la première. Cette
révision est due à la forte progression de l'offre mondiale, qui devrait
grimper de 10,2% par rapport à la saison 2012/13 à 4,345 mio de tonnes.
L'Afrique de l'Ouest, principale région productrice de cacao, a bénéficié de
conditions météorologiques idéales pour la culture du cacao, si bien que les
deux premiers producteurs mondiaux (la Côte d'Ivoire et le Ghana) ont revu en
forte hausse au printemps leurs prévisions de récolte. La demande mondiale
devrait elle aussi progresser en 2013/14, affichant une hausse de 3,7% par
rapport à la saison dernière (à 4,262 mio de tonnes). Les cours du cacao ont
bien réagi à l'annonce de l'ICCO, grimpant vendredi à Londres à des plus hauts
depuis 2011 (à 2060 GBP la tonne). Les prix de la fève brune affichent une
progression de 18% depuis le début de l'année, à Londres comme à New York,
après avoir grimpé de 25% en 2013, en raison de craintes sur un déficit d'offre.
Le marché mondial du cacao a d'ailleurs souffert d'un manque à gagner de
208.000 tonnes en 2012/13. Selon les analystes, la hausse des cours est
également attribuable aux investisseurs spéculatifs, qui parient
essentiellement sur une hausse de la fève brune dont la consommation augmente
notablement en Asie.
-NEW YORK- La
croissance devrait être encore plus faible que prévu cette année sur le marché
mondial des tablettes informatiques, selon le cabinet de recherche IDC qui a
baissé vendredi ses prévisions. IDC s'attend désormais à ce que les ventes
mondiales de tablettes augmentent de seulement 6,5% cette année, contre un
objectif précédent de 12,1% et une progression d'encore 50% en 2013. Après une
croissance explosive des ventes dans les premières années ayant suivi la sortie
de l'iPad d'Apple en 2010, le marché des tablettes connaît un fort
ralentissement. IDC l'explique par la saturation des marchés développés
d'Amérique du Nord et d'Europe occidentale, où les ventes vont stagner cette
année, quand le reste du monde devrait encore enregistrer une hausse d'environ
12%, selon le cabinet. Il précise que la croissance sera alimentée par "la
pression sur les prix des tablettes aux plus petits écrans (moins de 8 pouces
de diagonale, une vingtaine de centimètres) et l'évolution de l'usage des
tablettes sur les marchés émergents", et notamment l'intégration de plus
en plus de fonctionnalités permettant de les utiliser pour des appels vocaux.
-NEW YORK-
Les prix du pétrole ont nettement avancé vendredi à New York, dans un marché
misant sur des perspectives de demande en brut solides aux Etats-Unis et
surveillant l'escalade des tensions entre l'Ukraine et la Russie, un acteur
énergétique clef dans le monde. Le baril de light sweet crude (WTI) pour
livraison en octobre a grimpé de 1,41 dollar, à 95,96 dollars, sur le New York
Mercantile Exchange (Nymex). A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord
pour même échéance a fini à 103,19 dollars dollars sur l'Intercontinental
Exchange (ICE), en hausse de 73 cents par rapport à la clôture de jeudi. Une
série de statistiques globalement encourageantes sur l'économie américaine
offre, depuis jeudi, de bonnes perspectives pour la consommation en pétrole du
pays le plus gourmand de la planète en or noir, stimulant les achats sur le
marché du pétrole new-yorkais, a relevé Phil Flynn, de Price Futures Group.
La première économie mondiale a connu un rebond plus fort que prévu de sa
croissance au deuxième trimestre, à 4,2%, après un hiver rigoureux. En outre,
le moral des ménages américains a augmenté plus que prévu en août, selon
l'indicateur établi par l'Université du Michigan et l'activité économique de la
région de Chicago a connu un fort rebond sur la même période, selon
l'association professionnelle ISM. Les dépenses des consommateurs aux
États-Unis se sont toutefois repliées en juillet pour la première fois depuis
six mois, de 0,1%. Une situation économique nettement moins souriante en zone
euro bridait en revanche l'ascension du baril de Brent, coté à Londres, a noté
Tim Evans, de Citi Futures, après une nouvelle salve d'indicateurs préoccupante
en zone euro. Toujours affectée par un chômage élevé, bien que stable, à 11,5%
en juillet, la région a en outre connu un nouveau recul de l'inflation en août.
Le marché surveillait aussi la nette dégradation de la situation en Ukraine, où
l'Otan a demandé fermement vendredi à la Russie de cesser ses actions
militaires illégales après des incursions de ses troupes dans le pays.
-PARIS-Les
taux d'emprunt ont évolué dans de faibles marges vendredi sur le marché
obligataire en zone euro après un chiffre sans surprise sur l'inflation au sein
de l'Union monétaire. Les pays les plus solides ont subi "une petite
correction par rapport aux derniers jours", qui avaient vu leurs taux
nettement baisser, pour atteindre des records historiques, souligne Cyril
Regnat, un stratégiste obligataire de Natixis. A 18H00 (16H00 GMT), le taux
d'emprunt à 10 ans de l'Allemagne a très légèrement progressé à 0,890%. La
veille, il avait terminé à 0,883% sur le marché secondaire où s'échange la
dette déjà émise, après avoir atteint un record à 0,866%. Le taux de la France
s'est tendu à 1,254% contre 1,241% la veille. De son côté, le taux d'emprunt à
10 ans de l'Espagne a très peu baissé à 2,229% contre 2,232%, celui de l'Italie
s'inscrivant à 2,436% contre 2,443% la veille.
Le marché avait anticipé un recul de l'inflation au mois d'août en zone euro,
qui s'est établie à 0,3%, souligne Crédit Agricole CIB. Avec ce chiffre, en
ligne avec les attentes, les investisseurs sont contraints de réviser leurs
anticipations vis-à-vis de la prochaine réunion de la BCE le 4 septembre. Le
marché s'est nourri de spéculations sur une éventuelle action supplémentaire de
la Banque centrale européenne pour faire face au risque de désinflation.
L'indicateur majeur du jour "douche un peu ces espoirs", selon Crédit
Agricole-CIB, qui ajoute que l'inflation sous-jacente remonte. L'inflation
sous-jacente, jugée plus pertinente par les économistes pour évaluer les
tendances car elle mesure l'évolution des prix sans certains éléments volatils
comme l'énergie, l'alimentation, les boissons et le tabac, est légèrement
remontée, à 0,9% contre 0,8% le mois précédent, souligne Johannes Gareis, économiste
à Natixis. De son côté, le taux britannique a baissé à 2,368% contre 2,371%
jeudi.
Aux États-Unis, le taux à 10 ans montait à 2,338% contre 2,336% jeudi, tandis
que celui à 30 ans était stable à 3,074%. Le taux à trois mois reculait à 0,02%
contre 0,03% jeudi. L'inflation sur un an s'est stabilisée en juillet, selon
l'indice des prix associé aux dépenses de consommation (PCE) publié vendredi
par le département du Commerce.
-NEW YORK- La
Bourse de New York évoluait dans le vert à la mi-séance vendredi, digérant des
statistiques américaines en demi-teinte et faisant fi d'un regain de tensions
géopolitiques: le Dow Jones gagnait 0,06% et le Nasdaq, 0,36%. Vers 16H10 GMT,
le Dow Jones s'appréciait de 10,77 points à 17.090,34 points et le Nasdaq, de
16,14 points à 4574,11 points. L'indice élargi S&P 500 s'adjugeait 0,24%,
ou 4,74 points, à 2001,48 points. "Le marché continue de monter à la
faveur de publications qui restent dans l'ensemble solides pour l'économie
américaine, surtout comparées aux autres économies dans le monde, et de
l'espoir d'une action supplémentaire de la Banque centrale européenne", a
avancé Peter Cardillo de Rockwell Global Capital. Le moral des ménages
américains a ainsi rebondi plus que prévu en août, selon l'indicateur établi par
l'Université du Michigan.
L'activité économique de la région de Chicago a, elle, connu un fort rebond sur
la même période, selon l'association professionnelle ISM. Petite ombre au
tableau, les dépenses des ménages aux États-Unis se sont repliées en juillet pour
la première fois depuis six mois, de 0,1%. Le revenu des consommateurs a aussi
fait grise mine et n'a augmenté que de 0,2% en juillet, marquant une nette
décélération par rapport aux +0,5% enregistrés en juin. Les courtiers
soupesaient également l'annonce d'un nouveau ralentissement de l'inflation en
août dans la zone euro, à 0,3%, selon l'office européen de statistiques
Eurostat. "Cela confirme que la déflation se rapproche dans la région et
que la BCE va probablement intervenir", a relevé Peter Cardillo. La mise
en place d'un programme de rachats d'actifs sur les marchés financiers, à
l'image de ce que fait la Réserve fédérale américaine, est régulièrement
évoquée, "ce qui signifierait un afflux de liquidités sur les marchés
européens qui profiterait aussi aux marchés des actions aux États-Unis."
-NEW YORK-Le
marché faisait, ce vendredi, "preuve de résilience face aux facteurs
géopolitiques externes", qu'il s'agisse de l'escalade des tensions entre
l'Ukraine et la Russie ou du relèvement par la Grande-Bretagne de son niveau
d'alerte de sécurité de "substantiel" à "grave", selon Peter
Cardillo de Rockwell Global Capital. Dans l'ensemble, les échanges restaient
toutefois très limités en cette dernière semaine d'août et à l'approche d'un
week-end de trois jours, lundi étant férié aux États-Unis à l'occasion de la
Fête du travail. Du côté des entreprises, Google montait de 0,13% à 569,95
dollars. Le groupe a annoncé jeudi expérimenter un service de livraisons par
drones, projet sur lequel travaille également le géant du commerce en ligne
Amazon (-0,07% à 339,79 dollars). Le groupe Johnson & Johnson cherche de
son côté un acheteur pour l'une de ses filiales de matériel médical, Cordis,
pour un prix pouvant atteindre 1,5 milliard à 2 milliards de dollars, selon le
Wall Street Journal. L'action grignotait 0,54% à 103,51 dollars. La chaîne de
magasins de mobilier à bas prix Big Lots reculait de 1,65% à 46,42 dollars
après avoir fait part de résultats inférieurs aux attentes. Les comptes
trimestriels du concepteur de logiciels Splunk étaient en revanche très bien
accueillis (+19,41% à 54,08 dollars). Le marché obligataire évoluait en légère
baisse. Le rendement des bons du Trésor à 10 ans progressait à 2,338% contre
2,334% jeudi soir, et celui des bons à 30 ans, à 3,074% contre 3,072% la veille
à la clôture.
-PARIS- La
Bourse de Paris, focalisée sur les politiques monétaires, attend beaucoup de la
Banque centrale européenne (BCE), espérant un nouveau geste de soutien lors de
sa réunion qui sera l'événement marquant de la semaine prochaine. Lors de la
semaine écoulée, l'indice CAC 40 a pris 3,02% pour terminer vendredi à 4381,04
points. Ses gains depuis le 1er janvier atteignent désormais 1,98%. Le marché
parisien n'a quasiment que la BCE en tête depuis quelques jours et cela devrait
être encore le cas jusqu'à sa réunion prévue jeudi prochain. Ces considérations
sur la politique monétaire l'emportent sur tout autre sujet, que ce soit
l'annonce mardi dernier d'un nouveau gouvernement en France ou les tensions
géopolitiques toujours vives en Ukraine. "La réunion de la BCE est
indéniablement l'événement marquant de la rentrée et on peut penser que les
attentes sont beaucoup trop fortes", relève Christopher Dembik, économiste
chez Saxo Banque. Comme d'habitude, l'institution rendra sa décision sur ses
taux en début d'après-midi avant la conférence de presse toujours très attendue
de son président Mario Draghi. La BCE en profitera pour dévoiler ses nouvelles
perspectives économiques. La pression est grande sur l'institution monétaire
qui se trouve face à un risque déflationniste et une croissance économique à
l'arrêt en zone euro.
-PARIS - Le
groupe diversifié français Bolloré a vu son bénéfice net part du groupe net
reculer de 7,9% au premier semestre, à 139 millions d'euros, sous un effet de
base défavorable, mais a publié un résultat opérationnel en hausse. Le résultat
opérationnel progresse de 11%, à 314 millions d'euros, grâce aux activités
transport, à la bonne marche d'Havas et de la poursuite des dépenses dans le
stockage d'électricité, indique le groupe dans un communiqué diffusé vendredi.
Le résultat financier du premier semestre 2013 intégrait une plus-value de 109
millions d'euros sur la cession du solde de la participation dans Aegis,
souligne-t-il. Le résultat net consolidé s'établit donc à 225 millions d'euros
(dont 139 millions d'euros de résultat net part du groupe), contre 241 millions
d'euros au premier semestre 2013, ajoute-t-il. Le chiffre d'affaires recule de
5,2% à 5,1 milliards d'euros, et de 3,3% à périmètre et taux de change
constants, avec un effet de change négatif de 107 millions d'euros impactant
les activités transport et logistique et communication (Havas). L'Ebitda
s'établit à 469 millions d'euros (+7%) et la progression du résultat
opérationnel s'appuie sur la bonne tenue des activités transport et logistique,
la progression des résultats du secteur communication grâce à Havas et des
dépenses qui restent soutenues dans le stockage d'électricité même si elles
sont inférieures à celles engagées au premier semestre 2013. Par ailleurs,
l'activité logistique pétrolière a pesé (-17,5%) en raison de la douceur des
températures au premier semestre 2014.
2 Commentaires
Fall
En Août, 2014 (22:24 PM)Malgré l?opposition du notaire à violer le secret de sa fortune, le maire de Dakar a communiqué à la presse ses biens qui s?établissent comme suit :
Une maison à Amiens (France) acquise en 1992.
Une villa dans le Var (France) en co-propriété avec sa femme avec qui il est marié depuis 12 ans sous le régime de la communauté des biens
Une maison familiale à Grand-Yoff héritée de son père
Une maison à Sacré C?ur 2 (8635 D) acquise en 1993
Une maison aux Parcelles Assainies Unité 20, acquise en 1985
Une maison au Point E, et une autre à Mermoz en co-propriété avec son épouse
Un verger à Niague (Communauté rurale de Sangalcam, Rufisque) d?une superficie d?un hectare, obtenu en 1984
Un terrain de 600m² à Yoff Ranrhar (1987), pas encore construit du fait d?un litige foncier, un terrain de 300m² dans le même secteur et un autre terrain à la Zac Mbao par le biais de la coopérative de l?Assemblée nationale au cours de son mandat de député
Trois terrains à Ndeni Guedj, toujours dans la communauté rurale de Sangalcam, acquis en 2008
Des actions (199) au sein de la BICIS à raison de 35.000 francs CFA l?unité
Une assurance au BNP Paribas, ??fortement secouée par la campagne électorale?? avec juste 45 000 euros (29,250 millions de FCFA) dans le compte
Un compte épargne au Crédit Lyonnais, Rue du Havre, Agence Hausman, avec 5000 euros (3,250 millions de FCFA).
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Fall
En Août, 2014 (22:26 PM)Que des messages mensongers. Ce qui est affiché là n'est pas le patrimoine de Khalifa Sall. C'est faux.
Même si, c'est absolument rien comparé aux 800 milliards supposés de Karim obtenus en 3 ans, ou à la fortunes de plus de 80 milliards de Idrissa Seck, ou les 47 milliards de Aida Ndiongue, etc. Le dignitaire du PDS le plus pauvre peut racheter la fortune de Khalifa Sall sans signer un chèque ou utiliser sa carte bleue, mais juste en sortant les valises de liquidités cachées dans sa maison.
Donc parlez nous d'autre chose
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