Mali: HRW accuse l'armée et des milices d'avoir "massacré" au moins 31 civils
Human Rights Watch (HRW) on Tuesday accused the Malian army and Dozo militiamen of having "massacred" at least 31 civilians and burned houses in two villages in the Ségou region of central Mali last October.
HRW wrote in a statement that it had conducted interviews with witnesses and community leaders who reported two massacres. The first took place in the village of Kamona on October 2, where soldiers and Dozo militias "killed at least 21 men and burned at least 10 houses."
In another massacre perpetrated on October 13, these same forces "killed 9 men and one woman" in a village located 55 kilometers from Kamona, HRW said.
Since 2012, Mali has faced a deep security crisis, fueled in particular by violence from the Group for the Support of Islam and Muslims (JNIM, affiliated with Al-Qaeda), the Islamic State (IS) organization, as well as community criminal groups.
In response to the proliferation of violence, self-proclaimed self-defense groups have formed, some relying on traditional Dozo hunters.
"The October massacres in the Ségou region are just the latest in a series of atrocities attributed to the Malian army and its allied militias," said Ilaria Allegrozzi, Sahel researcher at HRW, quoted in the press release.
HRW adds that it contacted the government, which did not respond to its requests.
These massacres are taking place in a region where the jihadists of JNIM, affiliated with Al-Qaeda, are very active.
"Witnesses, according to HRW, believe that these murders, corroborated by (...) media reports, are linked to recent attacks by (JNIM) in the Ségou region."
In Mali, many civilians are regularly victims of reprisals and abuses by the army and its Russian auxiliaries or by jihadists, accused of having collaborated with the enemy camp.
Moreover, since September, JNIM jihadists have imposed blockades on several localities in the south and center and attacked fuel convoys, severely affecting the Malian economy and weakening the junta in power in Bamako.
Commentaires (12)
Si le Sénégal a réussi à dompter les rebelles c’est en grande partie liée de la bonne gestion de la guerre, très peu de massacres envers les civils soi disants pro mdfc ont été massacres gratuitement comme le font les juntes du Burkina et du Mali , même au Niger ils n’utilisent pas cette méthode
Le mensonge ne passera pas plus. Qaund les terroristes sont terrrorisés, ils deviennent des civils. Où etait cette organisation quand les militaires tombaient sous leurs balles.
Est ce qu'il faut que l'armée malienne se laisse massacrer ..... est ce que HRW a la solution lorsque des djihadistes attaquent des populations ou les intérêts du pays par surprise faisant plusieurs morts ? Pourquoi paradoxalement HRW ne fait pas état de ces morts civils attaqués et tués par ces groupes djihadistes ?
A un moment donné ces organismes bourrés d'espions nous fatiguent; ils prétendent venir aider l'Afrique mais ils sont là pour leur pays; ils piochent des infos ils les renvoient à leurs services de renseignements mais entretemps ils embrouillent le monde avec leurs discours qui montrent qu'ils nous prennent pour des idiots . . .
On provoque les pasteurs, ils repliquent, on les accuse pour les eliminer. La cpi EST AU TOURNANT
un civil qui pose les mines et engins explosifs (EEI) a perdu son statut d'innocent.
un civil qui indique les positions de miliatire a attaquer n'est qu'une cible a abattre.
vous au senegal vous croyez superhommes car la douce france vous protege.
Attention les amis Senegelais, quand la case du voisin brule,
ce n'est pas le moment de lui jetter le feu.
Ou etait HRW quand nos epouses ont ete brule vive , nos bebes masacares , nos soeurs assassinees ?
Ou est HRW quand nos chauffeurs se font tuer pour transporter le carburant dans le pays ?
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