Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Burkina: une cinquantaine de civils tués dans des attaques jihadistes depuis mai, selon HRW
Plus d’un millier de pêcheurs déplacés vivent toujours dans des conditions précaires à Khar Yalla, à Saint-Louis
HRW accuse la Mauritanie de "graves violations" des droits des migrants
L'ONG Human Rights Watch (HRW) a accusé mardi l'armée malienne et le groupe paramilitaire russe Wagner d'avoir perpétré "des dizaines d'exécutions sommaires et de disparitions forcées d'hommes de l'ethnie peule" depuis janvier 2025.
"On devait manger comme des chiens" : l'ONG Human Rights Watch (HRW) alerte sur les "pratiques abusives" des Etats-Unis dans des centres de rétention pour migrants sous Donald Trump, qui a fait de la lutte contre l'immigration l'une de ses priorités.
Un enseignant saoudien a été condamné à 20 ans de prison en Arabie saoudite pour des posts critiques sur les réseaux sociaux, ont annoncé mardi son frère et Human Rights Watch (HRW).
L'organisation Human Rights Watch s'est inquiétée lundi d'"exécutions sommaires présumées" en RDC.
De nouveaux documents vérifiés par France 24 illustrent l'ampleur des exactions commises par l'armée burkinabè le 25 février, puis le 3 mai ainsi que les 9 et 10 mai dans plusieurs localités du Burkina Faso. L'ONG Human Rights Watch avait rapporté en avril le massacre de 223 civils, dont des femmes et des enfants. Attention certaines images peuvent heurter la sensibilité.
Human Rights Watch a accusé mercredi un groupe jihadiste lié à Al-Qaïda et une milice communautaire d'avoir tué au moins 45 civils lors de deux évènements distincts en janvier dans le centre du Mali.
Des centaines de manifestants se sont rassemblés vendredi devant l'ambassade des Etats-Unis à Ouagadougou pour protester contre la réaction de Washington après des allégations de Human Rights Watch (HRW) accusant l'armée burkinabè d’exactions de civils, a constaté un journaliste de l'AFP.
Au Burkina Faso, les autorités militaires n’ont pas du tout apprécié le récent rapport de Human Rights Watch qui accuse les forces combattantes « d’exactions » sur les civils. Elles ont encore moins aimé voir les États-Unis et le Royaume Uni reprendre les grandes lignes de ce document dans une déclaration conjointe.
Le Burkina Faso a rejeté les "accusations infondées" sur l'exécution en février d'au moins 223 civils par l'armée dans le nord du pays, portées par Human Rights Watch (HRW).
Les radios britannique et américaine BBC et Voice of America (VOA), sont suspendues pour deux semaines au Burkina Faso pour avoir diffusé un rapport de Human Rights Watch (HRW) accusant l'armée "d'exactions" sur des civils, a annoncé jeudi soir l'autorité de la communication burkinabé.
L’organisation Human Rights Watch (HRW) a déclaré, ce mercredi, que le projet de loi d‘amnistie, qui est en train d’être examiné par les députés à l’Assemblée nationale, « ouvre la voie à l’impunité pour des crimes graves » dans le pays.
L’ONG Human Rights Watch (HRW), qui se donne pour mission de défendre les droits de l'homme,’suit de très près de ce qui se passe au Sénégal.
Dans un rapport, l'ONG Human Rights Watch a estimé que les "autorités sénégalaises répriment l'opposition, les médias et la société civile à l'approche des élections". Cependant, pour Aissata Tall Sall, l'ONG n'a fait que reprendre ce que disent les journalistes sénégalais et personne ne doit en être fier.
Human Rights Watch (HRW) a accusé l'armée du Burkina Faso d'avoir tué au moins 60 civils dans des frappes de drones présentées par le gouvernement comme ayant ciblé des combattants jihadistes, dans un rapport publié jeudi.
Human Rights Watch a dénoncé lundi la répression exercée selon l'ONG au Sénégal contre l'opposition, les médias et la société civile, dans un rapport publié un mois avant la présidentielle du 25 février.
Dans son dernier rapport sur les droits humains, l’ONG Human Rights Watch (Hrw) peint un tableau sombre du Sénégal
Human Rights Watch affirme dans un nouveau rapport que les jihadistes et les soldats maliens associés à des membres présumés du groupe Wagner ont tué au moins 175 civils, dont de nombreux enfants, au cours de cinq opérations entre avril et septembre au Mali.