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Rebasing of Senegal's national accounts: The brand new GDP unveiled (2021)

Auteur: Youssouph SANÉ

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Rebasing des comptes nationaux du Sénégal : Le tout nouveau PIB dévoilé (2021)

As reported yesterday, Monday, by Seneweb, Senegal has completed the rebasing process of its national accounts. The process, which used 2021 as the base year, resulted in a 13.46% upward revision of the level of wealth generated for 2021.

 

“Senegal’s new GDP is now set at 17,316 billion CFA francs. In the old base, this level was 15,261 billion CFA francs. This corresponds to a revaluation of 13.46% compared to its level in the old base,” indicated Malick Diop, head of the National Accounts division at the National Agency for Statistics and Demography (ANSD).

 

This upward revision of the 2021 GDP figure is due to several factors, according to the Agency. "First, the inclusion of new surveys (new sources) and improved coverage contributed 11.64%," stated Mr. Diop. To this must be added the updating of current data and the revision of classifications, which contributed 3%.

 

However, Mr. Diop specifies that the improvement in methodology has led to a downward reassessment of -1.18%.

Auteur: Youssouph SANÉ
Publié le: Mardi 25 Novembre 2025

Commentaires (16)

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    Bu il y a 6 heures

    Implications par rapport au déficit budgétaire et au taux d'endettement?

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    Deug il y a 2 heures

    Tout ça pour ça,j ai envie de dire,le secteur informel leur échappe encore.Juste un travail de bureaucrates sans descente sur le terrain ni de mesure à appliquer pour réellement toucher le fond du problème..Nos intectuels sont tellement paresseux théoriques et aeriens dans leur pratiques,le résultat ne peut être que décevant ....

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    Fall il y a 6 heures

    Donc finalement c'est vrai que la Guinée a depassé le Sénégal en terme de PIB...

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    rick hunter il y a 5 heures

    si les guinéens valorisaient leurs richesses jamais le Sénégal ne pourrait avoir un pib supérieur au leur. la guinée fait partie des pays dits "scandales géologiques" tellement elle est riche en minerais voire en hydrocarbures sans compter la forêt l'agriculture le tourisme etc...

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    Ggc il y a 4 heures

    La guinée je suis desolé mais c'est un pays maudit ce pays avec tout les richesses qu'ils ont aurait du être la premiere economies africaine ..ils n'ont qu'a salier avec nous on a les resources humaines on partage ce gateau 😂

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    Aamx il y a 6 heures

    Expliquez d'abord c'est quoi le rebasing !!!!

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    niouss il y a 5 heures

    manam on va faire le vrai tappalé pour rehausser notre PIB pour wagni limite d'endentement comme ça niou meun lepp pour géré les voyages en jet privé de sonko fey les salaires et faire zero investissement et surtout gérer les caprices de ousmane meun dokhot

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    @Aamx il y a 5 heures

    Rebashing c'est admettre qu'il y a une dette énorme volée et cachée sous les lits, les oreilléts,..thiayas, soutient-gorges...de tous ceux et celles qui ont eu à gérer des fonds publiques et que Oussou cherche, lorgne...pour nous faire quitter le 4e sous-sol et nous amener au niveau rez de chaussée. Cqfd.☺

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    Senegal il y a 5 heures

    Le rebasing signifie mettre à jour la base de calcul d’un chiffre important, comme le PIB d’un pays. Cela veut dire qu’on repart d’une année plus récente pour refaire les calculs, parce que l’ancienne année de référence ne représente plus bien l’économie actuelle. Par exemple, si un pays utilisait des données de 2010 pour calculer son PIB, il peut faire un rebasing en utilisant 2020. C’est utile parce que l’économie change, de nouvelles activités apparaissent (applications, services numériques, etc.), et les anciennes méthodes ne montrent plus la vraie taille de l’économie.

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    Galsen il y a 5 heures

    Un jeu avec les chiffres

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    faye il y a 5 heures

    ANASER : une agence prise en otage par son DG
    1. Un directeur général en contradiction permanente
    L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
    Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
    2. Agents dispersés, missions inexistantes
    La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
    Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
    3. Illégalité et silence complice
    Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
    Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
    Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
    Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
    4. Népotisme et gestion clanique
    Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
    5. Une agence détournée de sa mission
    Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
    Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.

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    KALKULART il y a 5 heures

    L’economie et les finances, deux sœurs souvent fantomatique.
    Quand l’une souffle du vent, elle gonfle le ventre de l’autre

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    Tip il y a 5 heures

    Dans quelque jours ils vont venir avec un nouveau taux d endettement inferieur à 100%.
    Retourner à FMI pour demander des financements de leur projet de merde.

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    DMT il y a 5 heures

    Ce rebasage du PIB constitue une véritable bouffée d’oxygène statistique. Il permet de corriger l’image macroéconomique du Sénégal afin qu’elle reflète plus fidèlement la réalité, notamment en intégrant mieux le poids du secteur tertiaire et celui des hydrocarbures. Ce faisant, il réduit mécaniquement le ratio d’endettement mis en lumière par le récent audit. Mais attention au piège : une baisse du ratio de dette ne signifie pas que les problèmes de trésorerie sont réglés. L’argent dû reste dû, quelle que soit la taille du PIB recalculé. Pendant près d’un an, l’administration sénégalaise a été injustement accusée de dissimuler des dettes, alors que ces accusations ont eu pour effet d’accentuer le déclin économique et de fragiliser les fondamentaux du pays. Par une gestion hasardeuse et des choix idéologiques discutables, les nouvelles autorités ont fait reculer un pays qui avançait. Le Sénégal, jadis modèle de stabilité et de performance, se retrouve aujourd’hui en queue de peloton. Triste gestion d’un très bon héritage laissé par Macky Sall. Il faut reconnaître que sous Macky Sall, le travail accompli avait placé le pays sur une trajectoire solide. Le Sénégal aurait pu éviter cette grave crise née de toutes pièces, conséquence directe de l’amateurisme des dirigeants élus en 2024. Le Sénégal ne mérite pas de vivre une telle régression

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    Galsenboy il y a 3 heures

    Il ne faut pas falsifier l'Histoire non plus. Le pouvoir de Macky Sall, ce sont aussi des enfants de moins de 20 ans tués dans des manifestations, des détournements de deniers publics à n'en plus finir, des décalarations honteuses et claniques qui nous ont fait friser la guerre ethnique, un mépris sans aucune mesure de la population, etc.

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    Pays de crève la faim il y a 5 heures

    simple calcul du PIB qui ne donnera pas à manger aux crève la faim qui constituent la majorité du PEUPLE

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    KALKULART il y a 5 heures

    La charrue avant les bœufs.
    Ou bien les bœufs après la charrue.
    Y a jamais de feu sans fumée.
    Ou bien la fumée avant le feu
    La fumée, le fumage, l'enfumage, l'enfumage
    La suite, après la publi-CITE

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    Gougnafierie il y a 4 heures

    Ce n'est pas le bidouillage des chiffres qui va mettre un terme à nos souffrances ni faire remonter notre note de C â B.

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    Nono il y a 4 heures

    D'après mes recherches lenpib de la Guinée est inférieure

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    Economiste il y a 4 heures

    L'ANSD a entamé le processus de REBASING depuis 2023 sous l'ère Macky. Juste pour info à ceux qui pensent que ce sont des bricolages des chiffres pour faire baiser le taux d'endettement.

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    Gendy il y a 3 heures

    On va laisser les économistes nous décortiquer tout cela. Mais pour nous profanes, le PIB porté par le secteur primaire et l’industrialisation a un meilleur effet sur les populations et l’emploi en général. Les services aussi c’est pas mal.
    Les modèles de la Malaisie et du Rwanda sont peut être des exemples à suivre, et de l’Ile Maurice aussi.
    On voit en tout cas que la vision existe, mais il reste seulement à trouver un bon équilibre entre la politique et l’économie, car l’un ne peut aller sans l’autre

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    Wakh DEUG il y a 2 heures

    C'est cela que la Guinée avait fait il ya quelques mois et les guinéens jubilés en disant que leur pib a dépassé celui du Sénégal. Comment la Guinée peut dépasser le Sénégal alors que plus 20% de sa population travaille pour le Sénégal.

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    Anna il y a 1 heure

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