Rebasing des comptes nationaux du Sénégal : Le tout nouveau PIB dévoilé (2021)
Comme annoncé hier lundi par Seneweb, le Sénégal a bouclé le processus de rebasing de ses comptes nationaux. Le processus, qui a pris 2021 comme année de base, a abouti à une révision à la hausse du niveau de richesse générée de 13,46% pour 2021.
«Le nouveau Pib du Sénégal est désormais établi à 17 316 milliards de francs Cfa. Dans l’ancienne base, ce niveau était de 15 261 milliards de francs Cfa. Ce qui correspond à une réévaluation de 13,46% par rapport à son niveau dans l’ancienne base», a indiqué Malick Diop, chef de la division de la Comptabilité nationale à l’Agence nationale de la Statistique et de la démographie (Ansd).
Cette révision à la hausse du Pib de 2021 s’explique par plusieurs facteurs selon l’Agence. «D’abord, la prise en compte de nouvelles enquêtes (nouvelles sources) et l’amélioration de la couverture qui ont contribué à 11,64%», a indiqué M. Diop. A cela, il faut ajouter la mise à jour des données courantes et la révision sur les classifications qui ont contribué à hauteur de 3%.
Cependant, précise M. Diop, l’amélioration de la méthodologie a induit une réévaluation à la baisse de -1,18%.
Commentaires (22)
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
Quand l’une souffle du vent, elle gonfle le ventre de l’autre
Retourner à FMI pour demander des financements de leur projet de merde.
Ou bien les bœufs après la charrue.
Y a jamais de feu sans fumée.
Ou bien la fumée avant le feu
La fumée, le fumage, l'enfumage, l'enfumage
La suite, après la publi-CITE
Les modèles de la Malaisie et du Rwanda sont peut être des exemples à suivre, et de l’Ile Maurice aussi.
On voit en tout cas que la vision existe, mais il reste seulement à trouver un bon équilibre entre la politique et l’économie, car l’un ne peut aller sans l’autre
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