Grève générale annoncée dans le secteur primaire : Les travailleurs réclament leur indemnité de logement
L’Intersyndicale des travailleurs du secteur primaire va observer une grève générale à partir du lundi 22 septembre 2025. Le mouvement, qui doit durer 72 heures renouvelables, vise à protester contre le non-paiement de l’indemnité de logement promise aux agents.
Selon les responsables syndicaux, cette indemnité avait été intégrée dans la loi de finances rectificative votée le 28 juin 2025 et publiée au Journal officiel le 10 juillet dernier. Mais, trois mois plus tard, les 16 000 fonctionnaires concernés n’ont toujours pas vu la mesure appliquée à leur solde.
"Les travailleurs attendent avec impatience la concrétisation de cet engagement majeur. Le retard observé suscite incompréhension et frustration", a déclaré l’Intersyndicale affiliée à la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (CNTS).
Les syndicalistes interpellent directement le président de la République et le Premier ministre pour que des instructions fermes soient données, et demandent une rencontre avec les ministères de la Fonction publique, des Finances et le Haut conseil du dialogue social afin de trouver une solution.
Tout en réaffirmant leur ouverture au dialogue, les travailleurs préviennent qu’ils resteront mobilisés tant que l’indemnité de logement ne sera pas effectivement intégrée dans leur rémunération.
Commentaires (17)
Au Canada les jours greves sont payés par Syndicat en fonction de ses moyens , pas par le gouvernement, le Sénégal est un pays formidable, malgré le manque de moyens les gens se permettent de défier le gouvernement par des greves pour oui ou non et surtout en percevant des salaires.
Le pays manque de moyens et le client se permet de s'octroyer une caisse Haram d 'apres chéri Adji
Renseigne toi avant de débiter des sornettes. Aucun jour de grève n’est payé.
et il n'y'a pas d'indemnités de logement au canada ! il faut sortir du système européen vous voyez ce que qui se passe en France ils sont aussi surendettés que le Sénégal , Tu fais la gréve good c'est ton droit mais on te paye que les jours travaillés donc coupure de salaire comme dans tous les pays normaux
Tu es vraiment malhonnête. Politique motakh tu racontes du n'importe quoi. Droit de grève dal amatoul
Les politiciens déguisés , anciens copains de l'ancien régime
Tant que ces lois sur le droit de grève resteront ainsi, avec des politiciens prêts a allumer le feu, rien ne pourra se faire dans l'administration.
Wassalam !
Tu racontes n'importe quoi. Tu es juste un affidé de Pastef et tu es malhonnête G Diop
N'oubliez pas que Macky le généreux n'est plus au pouvoir. Nous avons affaire actuellement aux diouti man.
Un diouti man ne peut-être généreux et ne sait qu'encaisser.
c'est le cas aussi chez les travailleurs des collectivités territoriales les percepteurs réclament un circulaire émanant du ministère des finances voila de petits détailles qui vont décrédibiliser le régime .Un accord doit scrupuleusement être respecté .La vie est chère de nos jours au SENEGAL
Ce Gouv ne peut être décrédibilisé plus qu'il ne l'est déjà ...
Les autres fonctionnaires perçoivent des indemnités de logement et la minorité est laisser en rade.
C'est ça une injustice aller en grève pour réparation.
Ya rien de politique
L'indemnité de logement c'est pour les agents affectés hors de leur d'habitation. Ce n'est pas régulier quand on réside chez soi. Ces travailleurs exagèrent vraiment| !
Il faut les virer tous sans droit
Le contraste est saisissant entre l’opulence de la « fiesta » de Sonko à Milan – avion présidentiel et délégation pléthorique en villégiature – et l’absence totale de réponses concrètes aux urgences du pays. Au lieu de présenter un véritable plan de redressement, ce déplacement a surtout servi de prétexte pour mobiliser, tout en multipliant les mises en garde contre journalistes, chroniqueurs, opposants et même le président Diomaye.
Pourtant, Sonko avait promis de mettre fin aux inondations deux ans après son accession au pouvoir. Aujourd’hui, les réalités l’ont rattrapé : Touba, Dakar et bien d’autres zones sont toujours submergées. Là où l’on attendait un Premier ministre proche des populations sinistrées, on n’a eu qu’un chef de gouvernement absent, replié sur la scène internationale.
Un Premier ministre qui fuit ses responsabilités, qui préfère accuser les autres plutôt qu’assumer les siennes. Pour lui, l’enfer, ce sont toujours les autres.
Le contraste est saisissant entre l’opulence de la « fiesta » de Sonko à Milan – avion présidentiel et délégation pléthorique en villégiature – et l’absence totale de réponses concrètes aux urgences du pays. Au lieu de présenter un véritable plan de redressement, ce déplacement a surtout servi de prétexte pour mobiliser, tout en multipliant les mises en garde contre journalistes, chroniqueurs, opposants et même le président Diomaye.
Pourtant, Sonko avait promis de mettre fin aux inondations deux ans après son accession au pouvoir. Aujourd’hui, les réalités l’ont rattrapé : Touba, Dakar et bien d’autres zones sont toujours submergées. Là où l’on attendait un Premier ministre proche des populations sinistrées, on n’a eu qu’un chef de gouvernement absent, replié sur la scène internationale.
Un Premier ministre qui fuit ses responsabilités, qui préfère accuser les autres plutôt qu’assumer les siennes. Pour lui, l’enfer, ce sont toujours les autres.
C'est une injustice qui était constaté dans l'administration sénégalaise, l'état a pris un engagement pour rectifier cette injustice d'ailleurs cette indemnité à été inscrit dans la LFR .autre chose il faut que le ministres des finance communiquer
Le grand spectacle de Milan avait tout d’une comédie bien rodée : avion présidentiel rutilant, délégation pléthorique sans autre mission que de parader, et un Premier ministre en chef d’orchestre… pour rien. Plutôt que de présenter un plan de redressement crédible, Ousmane Sonko a préféré distribuer des sermons et des menaces, adressées tour à tour aux journalistes, aux chroniqueurs, aux politiciens et même à son propre président, Diomaye.
Pour rappel, le même Sonko avait juré – la main sur le cœur – d’en finir avec les inondations deux ans après son accession au pouvoir. Aujourd’hui, la pluie a eu le mérite de démasquer la supercherie : Touba, Dakar et d’autres zones pataugent toujours dans les eaux. La seule chose qui coule à flot, c’est la parole creuse.
Plutôt que d’aller se montrer auprès des victimes, il a choisi le confort des salons italiens. Voilà un Premier ministre fainéant, poltron, toujours prompt à accuser les autres et jamais à assumer. Chez lui, l’enfer n’est jamais dans son camp : ce sont les autres, toujours les autres.
Le grand spectacle de Milan avait tout d’une comédie bien rodée : avion présidentiel rutilant, délégation pléthorique sans autre mission que de parader, et un Premier ministre en chef d’orchestre… pour rien. Plutôt que de présenter un plan de redressement crédible, Ousmane Sonko a préféré distribuer des sermons et des menaces, adressées tour à tour aux journalistes, aux chroniqueurs, aux politiciens et même à son propre président, Diomaye.
Pour rappel, le même Sonko avait juré – la main sur le cœur – d’en finir avec les inondations deux ans après son accession au pouvoir. Aujourd’hui, la pluie a eu le mérite de démasquer la supercherie : Touba, Dakar et d’autres zones pataugent toujours dans les eaux. La seule chose qui coule à flot, c’est la parole creuse.
Plutôt que d’aller se montrer auprès des victimes, il a choisi le confort des salons italiens. Voilà un Premier ministre fainéant, poltron, toujours prompt à accuser les autres et jamais à assumer. Chez lui, l’enfer n’est jamais dans son camp : ce sont les autres, toujours les autres.
@« Senegal » : arrêtes d’usurper le nom du pays pour débiter ta haine et tes mensonges. Ceux qui sont allés rencontrer Sonko valent mieux que toi, pauvre diable!
IL FAUT COUPER LRS SALAIRES. IF YOU DONT WORK, YOU DONT GET PAID.
Une classe ennemi de la société: ces travailleurs qui ont ruiné toutes les société d'état par leur cupidité et leur avidité | Honte sur eux
Laissez les aller en grève, il faut Couper les jours de grève sur leur solde comme dans tout pays organisé
C'est très bien de se comparer au Canada. Mais il ne faut pas le faire de façon aussi selective. Et si on se comparait au Canada en matiere de bonne gouvernance, de liberté, de développement, de mentalité, de ....?
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