L’Association des élèves et étudiants musulmans du Sénégal (AEEMS), réunie, hier dimanche à Dakar a adopté des résolutions appelant à la justice et à l’engagement citoyen.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
L’Association des élèves et étudiants musulmans du Sénégal (AEEMS), réunie, hier dimanche à Dakar a adopté des résolutions appelant à la justice et à l’engagement citoyen.
Une grosse perte pour la Ummah islamique et la communauté éducative.
«L’école sénégalaise est, depuis quelques jours, confrontée à une situation inquiétante marquée par les mouvements de grève des enseignants. En effet, depuis 2018...
L’AEEMS invite l'État du Sénégal et toutes les forces vives de la nation à une véritable évaluation du produit de notre école depuis l'indépendance
L’AEEMS invite l'État du Sénégal et toutes les forces vives de la nation à une véritable évaluation du produit de notre école depuis l'indépendance
Le gouvernement cherche "un emploi décent et durable" pour tous les jeunes sachant lire et écrire, même s’ils n’ont pas de qualification professionnelle, a assuré, samedi, à Dakar, le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction civique, Mame Mbaye Niang.
La viande de buffle importée prend petit à petit une place importante dans notre alimentation quotidienne. L’augmentation récente des prix de la viande de mouton et de bœuf a créé une ruée vers les produits venus de l’extérieur. Toutefois les Sénégalais semblent dans leur grande majorité ignorer ce qu’ils consomment.
Le Collectif des victimes et famille de victimes des violences électorales a invité mercredi le gouvernement à veiller à ce que soit accélérée la cadence du traitement pénal des dossiers de ses membres.
Mama Diop, père de Mamadou Diop tué fin janvier 2012 lors d'une manifestation politique, anime un point de presse, mercredi à partir de 15h30 à ENSEPT à Dakar, a appris l'APS dans l'entourage de la famille.
Lamine Touré, bachelier non orienté, a été arrêté et conduit à la prison de Rebeuss (Dakar). Ce jeune faisait partie des 65 bacheliers qui ont décliné l’offre du Président de la République d'intégrer les écoles de formation à la solde de l'Etat, renseigne L'Observateur. « Durant les 22 jours que je suis resté à Rebeuss, je ne me suis pas allongé une seule fois pour dormir. Les conditions inhumaines dans lesquelles on était me rappelaient l’histoire de la Maison des esclaves, à Gorée. Nous étions serrés les uns contre les autres, accroupis sur des barres de fer transversales à hauteur de 1 m 30. Il manquait seulement les chaînes à la main…
Au Sénégal, si l’islam des confréries cultive la tolérance, il n’est pas pour autant prémuni contre une avancée de l’extrémisme.
« L’islam intervient comme une variable des Républiques musulmanes sans en constituer le facteur explicatif. Du point de vue de l’analyse politique, il n’existe d’ailleurs pas en tant que catégorie, bien que nous rencontrions sans conteste des musulmans. Là, comme ailleurs, l’interprétation culturaliste embrouille ce qu’elle prétend éclairer : la dimension culturelle de l’action politique. » (Jean François Bayart, in L’islam républicain, Editions Albin Michel, 2010).Cette remarque d’ordre méthodologique semble ne pas préoccuper la plupart des chercheurs ou analystes de « l’islam politique ». L’obstacle est quasi insurmontable chez les professionnels de la politique ou les journalistes. D’où l’interrogation rhétorique du politiste français : « Pourquoi douter de la compatibilité de l’islam avec la République quand des centaines de millions de musulmans vivent d’ores et déjà en République, plutôt qu’en monarchie ou en théocratie ? »
L’espace universitaire est marqué par la prédominance de pratiques religieuses qui nuisent à la bonne marche de l’université, a dénoncé le président de l’Association des élèves et étudiants musulmans du Sénégal (AEEMS), Mouhamadou Lamine Gaye.‘’Le constat est alarmant, les pratiques religieuses prédominent sur le volet pédagogique à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar’’, s’est-il indigné lors de la clôture samedi des journées interuniversitaires à Dakar.
Alors que la communauté internationale demande la fin du blocus de Gaza et dénonce l’intervention de l’armée israélienne, les Sénégalais se joindront ce matin (10h) à ce mouvement de protestation, face à l’ambassade d’Israël à Dakar. Cette manifestation arrive quatre jours après une attaque cinglante de l’armée israélienne contre une flottille de six bateaux qui se dirigeait vers la Bande de Gaza pour y apporter, selon les organisateurs, plus de 10.000 tonnes d’aide humanitaire dont 100 maisons préfabriquées.
La libération de neuf homosexuels sénégalais le 20 avril suscite bien des remous. Les leaders religieux dénoncent l’ingérence de la France dans ce dossier. Plus généralement, reprochent à la communauté internationale de faire pression pour que le pays de la Teranga dépénalise l’homosexualité. Les « neuf homosexuels de Mbao », coupables d’être libres ? Ces militants de la lutte contre le sida chez les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes (HSH) ont retrouvé la liberté le 20 avril.
Mouhamadou Barro, journaliste et membre de l'Association des Etudiants et Eleves Musulmans du Sénégal (AEEMS) Les crises profondes et multiformes qui secouent notre pays semblent effacer toute lueur d'espoir dans l'esprit des sénégalais. L'effritement généralisé des valeurs éthiques, morales et religieuses s'ajoutant au dénuement des populations et à la désacralisation de nos institutions, sont entre autres, les phénomènes qui risquent de mettre le pays dans le chaos si l’on n’y prend garde. De l'indépendance à l'an 2000, le Sénégal a connu beaucoup de dérives...
La passion destructrice contre Israël a parlé hier, à l’entrée du Pavillon A du campus universitaire Cheikh Anta Diop de Dakar. Le temps était, en effet, aux attaques en règle contre l’Etat hébreu. L’Association des étudiants et élèves du Sénégal (Aeems) exprimait ainsi sa colère contre les attaques israéliennes sur la Palestine. Juste après la prière du vendredi, hier, une voix amplifiée appelait la foule à venir au hall du pavillon A de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Très vite, une foule se forme. Sur les escaliers, sont massés des étudiants nouant un foulard vert sur lequel est écrit : ‘Vive Hamas’. Tout autour flottent des drapeaux de la Palestine.
Dakar, 1-er jan (APS) - L’Association des élèves et étudiants musulmans du Sénégal (AEEMS) organise, vendredi à Dakar, une ‘’démonstration de force’’ en soutien au peuple palestinien face à ‘’l’agression’’ de l’armée israélienne, vendredi à Dakar, annonce un communiqué reçu à l’APS. La manifestation aura lieu à la mosquée de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar après la prière de 14 heures, précise la même source. Les partis politiques, les syndicats, la société civile et toutes les forces vives de la nation sont invitées a cette manifestations, soutient l’AEEMS qui demande la rupture des relations diplomatiques entre le Sénégal et Israël.
« Il est inadmissible qu’au Sénégal qu’on ait des religions révélées qui sont toutes des religions de vertus et qu’il y ait des détournements, des scandales à en plus finir impliquant parfois des familles maraboutiques ». Ces propos sont du président de l’association des élèves et étudiants musulmans du Sénégal (AEEMS), M. Mansour Ndiaye. Selon lui, il s’agit d'un mariage d’intérêt entre la classe politique et les familles religieuses qui devaient être les portes-voix des sans voix et leurs éclaireurs. « Ils sont responsables de toutes les dérives que nous sommes en train de vivre », soutient-il.