Le 10 septembre, j’ai pris la décision de rendre publique une opinion que j’avais longtemps partagée, en privé, avec plusieurs responsables du parti et certains collaborateurs à la Présidence. Dieu est témoin: si ce n’était pas le seul moyen de me faire entendre sincèrement, je ne me serais jamais résolue à publier ce texte sur Facebook. Mon intention n’a jamais été polémique. Elle s’inscrit dans une démarche constructive, fidèle à ma conviction profonde en la liberté d’expression et en la critique utile.